Ce lundi 15 juin 2020, le Festival international du film d’animation d’Annecy aurait dû prendre place dans la « Venise des Alpes » et fêter ses 60 ans d’existence. Cette année, comme beaucoup d’autres festivals, il se tiendra en ligne. On vous invite d’ailleurs à le suivre sur le web, le festival étant accessible à tous pour […]
Inutile, sans doute, de présenter le célèbre Docteur Frankenstein et son abominable création. L’un savant fou dépourvu de toute conscience morale, l’autre simple amas de cadavres cousus ensemble, maudissant la vie et celui qui l’a lui a donnée.
Pour continuer sur notre lancée, l’ACID (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion), qui vient de dévoiler sa sélection, accueille également certains cinéastes passés par le court. Voici lesquels, film à l’appui.
La Semaine de la Critique a annoncé sa sélection ce matin. Tout comme la sélection officielle de Cannes 2020, de nombreux réalisateurs, en lice côté longs et court-métrages ont démarré par le court. En voici certains, disponibles en ligne.
Aujour’hui à 18h, Thierry Frémaux et Pierre Lescure ont dévoilé la sélection officielle de la 73e édition du festival de Cannes. Les 56 films retenus ont été classés en 7 catégories : Les Fidèles, les Nouveaux Venus, un film à Sketches, Les Premiers films, 3 documentaires, 5 comédies et 4 films d’animation.
David Lynch vient de sortir son court-métrage d’animation “Fire (Pozar)”sur sa chaîne youtube « Davis Lynch Theater », avec en prime, une bande son signée Marek Zebrowski.
Lancé le 16 mars, My Darling Quarantine Short Film Festival est un festival en ligne de courts-métrages visant à soutenir le monde du court et à récolter des fonds pour les organismes de santé en cette période de pandémie. Il se déroule en ce moment sur la plateforme “Talking Shorts” jusqu’à la fin de la quarantaine. Format Court vient de rejoindre le projet en tant que partenaire.
C’est l’une des scènes les plus connues du cinéma de Buñuel, sinon du cinéma en général : cet œil que l’on fend d’un rasoir. Une scène insoutenable, qui nous force à fermer les yeux et n’a rien à envier aux films d’horreur contemporains.
Ce mercredi 22 avril 2020, aurait dû démarrer la 2ème édition de notre Festival Format Court au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) et ce, jusqu’à ce dimanche.
En 1981, la bande-dessinée franco-belge connaît son âge d’or. La science-fiction et la fantaisie ont le vent en poupe. Bilal, Bourgeon, ou les frères Schuiten se révèlent les uns après les autres. Mœbius et Jodorowsky publient le premier tome de L’Incal, RanXerox montre enfin le bout de sa carcasse cybernétique, et Loisel planche déjà, avec Le Tendre, sur ce qui deviendra La Quête de l’Oiseau du Temps.
En 2007, The Guardian fait un classement des 40 meilleurs réalisateurs vivants. En douzième position, juste au-dessus de Béla Tarr, Wong Kar-Wai, Perdo Almodovar, Todd Haynes et Quentin Tarantino, nous trouvons Lynne Ramsay.
Il y quelques jours, L’American Cinematheque a mis en ligne sur YouTube un court métrage inédit d’Agnès Varda, La Petite Histoire de Gwen la bretonne, un an après la disparition de la réalisatrice- photographe.
En 1967, David Lynch est étudiant à la Pensylvania Academy of Fine Arts. Artiste plasticien et peintre comme il convient, il possède déjà un patte artistique notable, identité torturée qui le conduit à envisager une série de variations picturales, autour du thème de la fusion des corps et des machines (notamment, des corps de femmes).
Si le réalisateur américain Edmund Elias Merhige s’est illustré par une pincée de thrillers grand publics (deux en réalité : L’Ombre du Vampire en 2000, et Suspect Zero en 2004), sa renommée n’est due qu’à un seul et unique métrage, dont le titre reste pour certains synonyme de « film culte », à l’image d’un Tetsuo (Shin’ya Tsukamoto, 1989) ou d’un Eraserhead (David Lynch, 1977), avec lesquels il partage nombre de caractéristiques : Begotten, sorti en 1991.
Hasard du web. La Table, réalisé par Eugène Boitsov, film d’école de la Poudrière, vient de rejoindre la Toile. Le film a reçu le Prix Format Court au Festival Premiers Plans d’Angers 2017 dans la catégorie des « Plans animés ».
La fin des années soixante, et le début de la décennie soixante-dix furent, au Japon comme ailleurs, mouvementées. Les traumatismes de la guerre et l’invasion américaine ont laissées des meurtrissures profondes dans la population. Les mœurs changent. La modernité, économique et idéologique, est en train de transformer le pays.
En 1958, paraît le magnum opus d’André Bazin : Qu’est ce que le cinéma ?. En tête de l’ouvrage, un petit texte déjà paru dans dans l’indifférence générale en 1944 : « Ontologie de l’image photographique ».
En 2003, le cinéaste Gus Van Sant dévoile son dernier-né : Elephant. Inspiré de l’un des faits divers les plus traumatisants de la récente histoire américaine, la fusillade de Columbine, le film se fixe comme objectif de retranscrire le malaise global qui couve toute une génération de lycéens, et, plus universellement, cette période intermédiaire, difficile pour beaucoup, que l’on nomme adolescence.
Oscar du meilleur film étranger en 2015 (Ida de Pawel Pawlikowski), deux nominations de suite dans la même catégorie (Cold War de Pawlikowski en 2018 et La Communion de Jan Komasa en 2019), le cinéma polonais fait de plus en plus parler de lui. Et cela concerne tout aussi bien le court-métrage.