Nouvelle carte blanche Format Court au Point Ephémère, jeudi 13 septembre 2018 !

Nouvelle carte blanche Format Court au Point Ephémère, jeudi 13 septembre 2018 !

Les Séances au top Format Court, organisées tout l’été  sur le rooftop du Point Ephémère (Paris 10ème), touchent à leur fin. Notre cinquième et dernière soirée de projection aura lieu le jeudi 13 septembre de 21h à 22h30. 4 films repérés cette année, pour la plupart chroniqués sur notre site, seront projetés sur le toit du Point, en présence de Yohan Levy (Format Court) Nicolas Boone (Las Cruces) et de Charline Bourgeois-Tacquet (Pauline asservie). Soyez de la partie !

Dialogues #1. Projection-rencontre : Sameh Alaa et Vasilis Kekatos

Dialogues #1. Projection-rencontre : Sameh Alaa et Vasilis Kekatos

Format Court a le plaisir de vous inviter à son nouveau rendez-vous digital : « Dialogues ». Pour inaugurer ce cycle, nous avons le plaisir d’organiser une rencontre sur Beem, une nouvelle plateforme digitale alliant projections et échanges, autour des deux derniers lauréats de la Palme d’or du court-métrage : Sameh Alaa, primé à Cannes en 2020, et Vasilis Kekatos, gagnant en 2019.

Sébastien Betbeder : « Le court, une bouée d’air pour tenter des choses »

Sébastien Betbeder : « Le court, une bouée d’air pour tenter des choses »

Après avoir été sélectionné au Festival de Clermont-Ferrand 2020, Jusqu’à l’os fait partie des films présélectionnés aux César 2021. Le court-métrage de Sébastien Betbeder est inspiré de l’histoire vraie de Nicolas Belvalette aka Usé, musicien amiennais devenu candidat du Parti sans cible pour dénoncer la fermeture de son local.

William Laboury : « On ne peut pas prévoir ce qu’on va ressentir devant un personnage qu’on n’a pas filmé, il faut rester ouvert »

William Laboury : « On ne peut pas prévoir ce qu’on va ressentir devant un personnage qu’on n’a pas filmé, il faut rester ouvert »

Après avoir été sélectionné au TIFF et au dernier Festival de Clermont-Ferrand, Yandere fait partie des courts-métrages présélectionnés aux César 2021. Le court-métrage de William Laboury raconte le parcours de Maïko, la petite amie holographique de Tommy qui va voir ce dernier la quitter pour une fille bien réelle.

Joël Curtz : « Je vois le cinéma comme une somme de compétences, un assemblage de pièces que j’ai appris à manier »

Joël Curtz : « Je vois le cinéma comme une somme de compétences, un assemblage de pièces que j’ai appris à manier »

Déjà montré à Rotterdam, Une chance unique a fait sa première nationale à Clermont-Ferrand. Inspiré d’une nouvelle d’Erwan Desplanques, la première fiction du cinéaste et plasticien Joël Curtz raconte la rencontre douce-amère de Lazare et de deux jeunes auto-stoppeuses.

Aurélie Reinhorn : « J’aime que ce ne soit pas si simple pour le spectateur de statuer sur ce qu’il est en train de vivre »

Aurélie Reinhorn : « J’aime que ce ne soit pas si simple pour le spectateur de statuer sur ce qu’il est en train de vivre »

Dans son deuxième court-métrage, Raout Pacha, qui vient de remporter le Prix Canal + et le Prix du rire « Fernand Raynaud » à Clermont-Ferrand, la comédienne de formation Aurélie Reinhorn nous invite à repenser la notion de travail aux côtés de trois personnages aussi fantasques qu’attachants, empêtrés dans des travaux d’intérêt général.

Riad Bouchoucha : « J’aime me dire que ta famille, c’est à la fois tes limitations et ta force »

Riad Bouchoucha : « J’aime me dire que ta famille, c’est à la fois tes limitations et ta force »

Dans son deuxième court-métrage, La Veillée, en sélection nationale à Clermont-Ferrand, Riad Bouchoucha raconte le malaise de Salim qui étouffe dans le petit appartement familial et ne trouve pas le calme et l’intimité auxquels il aspirait pour veiller le corps de sa mère.

Dayan D. Oualid : « Il y a eu des larmes et de la sueur dans mon film »

Dayan D. Oualid : « Il y a eu des larmes et de la sueur dans mon film »

À peine auréolé du Grand Prix du Court-métrage au Festival international du film fantastique de Gérardmer, Dayan D. Oualid est venu à Clermont-Ferrand présenter sa première réalisation, Dibbuk (compétition nationale), qui raconte le chemin de croix d’un homme pieux convoqué par une femme pour guérir son mari d’un mal mystérieux.

Lauriane Escaffre, Yvonnick Muller : « On écrit ensemble mais pour le tournage, c’est plus segmenté »

Lauriane Escaffre, Yvonnick Muller : « On écrit ensemble mais pour le tournage, c’est plus segmenté »

Pile Poil raconte avec légèreté et tendresse la déchirure d’une jeune femme partagée entre ses envies d’envol et les projets que son père boucher a formés pour elle. Après avoir été récompensé du Prix du Rire lors du dernier Festival de Clermont-Ferrand, le court métrage du duo Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller fait partie des courts présélectionnés aux César 2020. Nous avons rencontré Lauriane et Yvonnick en compagnie de l’actrice de du film, Madeleine Baudot.

Foued Mansour : « Aujourd’hui, tu peux faire le court de la décennie, aller aux César et à Berlin, et te retrouver au RMI »

Foued Mansour : « Aujourd’hui, tu peux faire le court de la décennie, aller aux César et à Berlin, et te retrouver au RMI »

Le Chant d’Ahmed raconte la rencontre d’Ahmed, un employé des bains-douches proche de la retraite, avec Mike, un adolescent à la dérive qui rêve de devenir rappeur. Après sa sélection dans la compétition nationale du dernier Festival de Clermont-Ferrand, le cinquième court-métrage de Foued Mansour vient d’être présélectionné aux Cesar 2020.

Ariane Labed : « Les courts-métrages demandent une disponibilité, une générosité immédiate »

Ariane Labed : « Les courts-métrages demandent une disponibilité, une générosité immédiate »

Interview-plage. La comédienne Ariane Label est venue ce mois-ci à Cannes présenter son premier court-métrage en tant que réalisatrice. Produit par Apsara Films et sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs 2019, « Olla » évoque en 28 minutes l’histoire d’une jeune femme slave débarquant en France pour rejoindre un homme rencontré sur Internet et vivre une nouvelle vie loin de chez elle.

Maxime Roy : « Si tu pars d’une nécessité, de quelque chose d’original, et que tu restes humain et sincère, la technique te sert à avancer »

Maxime Roy : « Si tu pars d’une nécessité, de quelque chose d’original, et que tu restes humain et sincère, la technique te sert à avancer »

Maxime Roy vient remporter le prix SACD de la meilleure œuvre de fiction à Clermont-Ferrand pour Beautiful Loser, qui raconte la reconstruction d’un ancien toxico tout juste devenu père. Ce court, comme le long-métrage en préparation qui en sera le prolongement, est inspiré de la vie du comédien François Creton, qui joue son propre rôle et avec qui il a co-écrit.