Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 9 février 2017

Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 9 février 2017

Format Court a le plaisir de vous inviter le jeudi 9 février 2017 à 20h30 à sa nouvelle soirée au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Cette projection mettra en avant cinq courts-métrages français et étrangers (Belgique, Canada, Tunisie, Chili) sélectionnés et primés en festivals, en présence de trois équipes. En guise de bonus, les 2 films d’animation programmés (« Vaysha, l’aveugle » de Théodore Ushev et « La Table » d’Eugène Boitsov, Prix Format Court au Festival d’Angers 2017) feront l’objet de 2 expositions de dessins & croquis préparatoires.

Sacha Feiner : « Mon envie d’enfant est de faire du genre, de jouer avec des éléments de science-fiction et des monstres »

Sacha Feiner : « Mon envie d’enfant est de faire du genre, de jouer avec des éléments de science-fiction et des monstres »

En juin dernier, le Jury Format Court a décerné son deuxième prix au festival Le Court en dit long 2016 à « Dernière porte au sud » de Sacha Feiner. Ce film d’animation fantastique est une adaptation de la bande-dessinée du même nom de l’artiste belge Philippe Foerster et dresse le portrait sinistre d’un petit garçon qui vit à l’écart du monde extérieur avec sa mère veuve

Manoman de Simon Cartwright

Manoman de Simon Cartwright

« Manoman » de Simon Cartwright, un hilarant et accrocheur court-métrage d’animation d’une durée de 11 minutes, nous rapproche du côté obscur de la force et en même temps nous invite à perdre le contrôle total, comme ses protagonistes. Primé par le Jury Prix Format Court au Festival Court Métrange, nominé au BAFTA et ayant fait ses débuts à la Cinéfondation 2015, ce film est loin de rendre indifférent le public et les jurys festivaliers. Le film est projeté ce soir à Paris, à l’occasion de la Soirée Format Court au Studio des Ursulines.

Hommage à Nicolas Granger

Hommage à Nicolas Granger

Nous avons appris dimanche dernier la disparition de l’acteur Nicolas Granger, à l’âge de 40 ans. Après une importante carrière théâtrale étalée sur vingt ans, au cours desquels il avait notamment collaboré avec le metteur en scène Pascal Rambert, il s’était illustré ces dernières années dans plusieurs courts-métrages qui ont marqué la production française, en particulier les films « Peine perdue » d’Arthur Harari et « Il est des nôtres » de Jean-Christophe Meurisse.

Or Sinai. Les femmes sous un autre angle & les petites histoires

Or Sinai. Les femmes sous un autre angle & les petites histoires

Parmi les jeunes réalisatrices actuelles, l’Israélienne Or Sinai, diplômée de l’École Sam Spiegel de Jérusalem, nous intéresse particulièrement. Son film de fin d’études « Anna » a fait ses débuts à la Cinéfondation en mai, cette année où il a gagné le Premier Prix. Un mois plus tard, il obtenait le Prix Format Court au Festival de films d’écoles de Tel Aviv. Il fait le tour des festivals actuels et vient d’obtenir le Grand Prix du Jury au Poitiers Film Festival ce weekend.

Barry Purves – His Intimate Lives

Barry Purves – His Intimate Lives

Il y a quelques années, en 2008, Agnès B. et Potemkine ont édité un coffret DVD dédié à Barry Purves, le réalisateur et animateur britannique indépendant, spécialiste de la stop-motion (3D, image par image), « Barry Purves – His Intimate Lives », comprenant six courts-métrages d’animation pour adultes, des interviews et un livret de 80 pages en couleurs. Ce bijou de l’un des maîtres de l’animation de marionnettes contemporaine est un must pour les passionnés et amoureux du genre animé.

Stéphane Blanquet : « Ce sont dans les formes populaires, prétendues moins nobles, qu’il y a de véritables émotions »

Stéphane Blanquet : « Ce sont dans les formes populaires, prétendues moins nobles, qu’il y a de véritables émotions »

Stéphane Blanquet a plus d’une corde à son arc. A la fois plasticien, dessinateur, scénographe, réalisateur, il distille à travers ses différents travaux une forme d’inquiétante étrangeté, doublée d’une incroyable cohérence intrinsèque. Naviguant en eaux troubles, son œuvre parvient à se frayer un chemin sinueux et personnel au gré des multiples influences pour nous amener dans des contrées inexplorées et pourtant curieusement familières.

Pierre Etaix n’est plus

Pierre Etaix n’est plus

Pierre Etaix est parti vendredi matin, a-t-on appris. Quelle tristesse. Nous l’avions rencontré au Festival de Vendôme en 2010, il y a près de 6 ans. Gentil, poli, souriant, élégant, il avait raconté ses souvenirs, son lien au court-métrage, au gag, à Tati, à Keaton, au music-hall, au cirque avant de présenter avec humour « Le Grand Amour » devant un parterre composé de nombreux jeunes conquis par ce vieux monsieur, petit enfant aimant la scène comme personne.