Why I Never Became A Dancer de Tracey Emin

Utilisant sa vie privée comme source de son art, dans ce court métrage, Emin raconte les années de son adolescence en bord de mer où elle a grandi.
Utilisant sa vie privée comme source de son art, dans ce court métrage, Emin raconte les années de son adolescence en bord de mer où elle a grandi.
« Jukai » a été sélectionné cette année au Festival de Clermont-Ferrand en compétition nationale et au Festival Court Métrange en compétition européenne. Il fait également partie des nominés pour le César du meilleur court métrage d’animation 2017.
Le film dépeint une relation étroite entre deux frères vivant avec leurs parents dans un fjord reculé. Nous pénétrons dans leur monde à travers le regard du plus jeune frère et nous l’accompagnons dans un voyage qui marquera un tournant dans leur vie.
Après moult péripéties dignes du meilleur de la SF des années 50, voici la première partie de notre reportage annuel sur L’Étrange Festival, cette manifestation parisienne hautement singulière.
Sélectionné cette année au Festival du Film Court de Villeurbanne et à celui d’Annecy, « Spoon » est un court-métrage d’animation réalisé par Markus Kempken et un récit autobiographique sur l’enfance et la relation tumultueuse de ce dernier avec sa mère.
« Manoman » de Simon Cartwright, un hilarant et accrocheur court-métrage d’animation d’une durée de 11 minutes, nous rapproche du côté obscur de la force et en même temps nous invite à perdre le contrôle total, comme ses protagonistes. Primé par le Jury Prix Format Court au Festival Court Métrange, nominé au BAFTA et ayant fait ses débuts à la Cinéfondation 2015, ce film est loin de rendre indifférent le public et les jurys festivaliers. Le film est projeté ce soir à Paris, à l’occasion de la Soirée Format Court au Studio des Ursulines.
Le couple de cinéastes Jonathan Vinel et Caroline Poggi nous donne de ses nouvelles au travers d’un clip réalisé pour le groupe Grand Blanc.
Fin octobre, Montpellier accueillait le Festival de cinéma méditerranéen Cinemed. De très nombreux courts-métrages figuraient au programme de cette 38ème édition. Parmi eux, un certain nombre de films récents, passés pour certains par Cannes 2016, mais aussi quelques raretés issues du catalogue de la Cinémathèque Française. Pour la première fois, Format Court suivait les programmes courts et vous en propose, un mois plus tard, une sélection de films brillants, d’autres beaucoup plus ternes.
Bonne news pour les mordus d’animation comme nous. Deux des 10 films d’animation semi-finalistes aux Oscars, soutenus par l’Office national du film du Canada (l’ONF), sont en ligne sur le site web de Court-Circuit, la case courte d’Arte : « Vaysha, l’aveugle » de Theodore Ushev et « Une tête disparaît » de Franck Dion.
Hugo, six ans, rencontre pour la première fois le nouveau compagnon de sa mère… qui s’avère être un drôle d’oiseau.
L’Académie des Oscars a annoncé aujourd’hui les noms des 10 courts métrages d’animation en lice pour la 89ème cérémonie des Oscars, sur les 69 présélectionnés. Les membres du comité court devront choisir 5 films sur cette liste de 10 pour le 2ème tour. Les nominations pour la cérémonie des Oscars seront annoncées le mardi 24 janvier 2017. Le vainqueur sera connu le dimanche 26 février 2017.
Gagnant du Prix France Télévisions au 13ème Festival Court-Métrange, projeté également au Festival de Brest, « Spoetnik » de Noel Loozen est, contrairement à la thématique spatiale qu’introduit son titre, une fable humaniste et une comédie romantique tout droit venue d’un conte de fée.
Naples, fin des années cinquante. Un carabinier, colosse taciturne que son chef surnomme O’Moro, “Le Maure”, a pour mission d’arrêter la racaille de la ville. Un matin, sur le port, la rencontre d’une gitane va changer le cours de sa vie.
Venu du monde de la bande dessinée indépendante, avec des œuvres comme « Welcome to the Death Club » (2001), « Monsieur Ferraille » (2001), « Pat Boon » (2001) ou « Pinocchio » (2008), Vincent Paronnaud alias Winshluss a bifurqué ensuite vers le cinéma d’animation en co-réalisant notamment « Persepolis », en 2007. Artiste discret et protéiforme, il navigue seul ou en équipe, entre cinéma et bande dessinée, alternant film fauché et production plus lourde.
Il y a quelques années, en 2008, Agnès B. et Potemkine ont édité un coffret DVD dédié à Barry Purves, le réalisateur et animateur britannique indépendant, spécialiste de la stop-motion (3D, image par image), « Barry Purves – His Intimate Lives », comprenant six courts-métrages d’animation pour adultes, des interviews et un livret de 80 pages en couleurs. Ce bijou de l’un des maîtres de l’animation de marionnettes contemporaine est un must pour les passionnés et amoureux du genre animé.
Sacha Feiner, le réalisateur belge récompensé au festival Le Court en dit long du Prix Format Court pour son dernier court-métrage d’animation « Dernière porte au sud », plonge dans son film le spectateur dans un univers fantastique d’après le point de vue d’un enfant et de sa tête siamoise. La précision des détails, du décor, la volonté de retranscrire et d’adapter la bande dessinée de Philippe Foerster, met en avant la sensibilité du réalisateur pour ses personnages, une sensibilité que l’on retrouve dans ses deux précédents films : « Gremlins fan film », et « Un monde meilleur ».
Réalisé dans le cadre de la collection « Dessine toujours » (lancée par Canal+ à la suite des attentats contre Charlie Hebdo en janvier 2015, avec pour thème la liberté d’expression), « Journal Animé » de l’italien virtuose Donato Sansone (« Videogioco », « Topo Glassato Al Cioccolato », « Portrait »), est un film d’animation improvisé sur un mois, au jour le jour, entre le 15 septembre et le 15 novembre 2015, et qui commente l’actualité en détournant les pages du journal quotidien Libération.
Stéphane Blanquet a plus d’une corde à son arc. A la fois plasticien, dessinateur, scénographe, réalisateur, il distille à travers ses différents travaux une forme d’inquiétante étrangeté, doublée d’une incroyable cohérence intrinsèque. Naviguant en eaux troubles, son œuvre parvient à se frayer un chemin sinueux et personnel au gré des multiples influences pour nous amener dans des contrées inexplorées et pourtant curieusement familières.
Dans ce conte de fées cyclique, un homme et une femme sont condamnés à être séparés pour toujours, sauf quand ils se changent en animaux. Mais quand cela se produit, leur passion est assombrie par leurs instincts de chasse.
Pour sa 2ème projection parisienne de l’année, Format Court vous invite jeudi 10 novembre 2016 à 20h30 à une séance spéciale consacrée aux Pays-Bas au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). 5 courts-métrages récents & plus anciens (dont « Feest » de Paul Verhoeven) seront projetés à l’occasion de cette soirée organisée avec le soutien de l’Ambassade des Pays-Bas en France et de EYE International. Pour l’occasion, 2 réalisateurs seront présents pour accompagner cette toute nouvelle Soirée Format Court.