Jonathan Millet, Pauline Seigland et Laurent Sénéchal autour des Fantômes
La promotion est nécessaire pour toute sortie de long-métrage. On sait à quel point tout premier long-métrage est fragile, a besoin d’accompagnement, de presse, de promotion, de regards bienveillants, qu’ils viennent de l’industrie, de la presse, des spectateurs, du bouche-à-oreille. Au moment et dans la foulée de Cannes, on n’a pas eu le temps de publier l’interview de Jonathan Millet qu’on suit depuis de nombreuses années. Il a signé Les fantômes, un thriller social sur fond de djihadisme, de réparation de résilience qui a ouvert la 63ème Semaine de la Critique en mai dernier.