Séance spéciale Le Jour le plus court, vendredi 19 décembre 2014 !

Séance spéciale Le Jour le plus court, vendredi 19 décembre 2014 !

Cinématographies locales et étrangères, films sélectionnés et/ou primés en festival, films d’étudiants, moyens-métrages, regards plus confidentiels et cinéma de patrimoine composent nos projections mensuelles au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Notre prochaine séance (en entrée libre !), organisée le vendredi 19 décembre à 20h30, s’inscrit dans le cadre du Jour le plus court mis en place par le CNC.

Hillbrow de Nicolas Boone

Hillbrow de Nicolas Boone

Tout commence par un souffle prêt à rompre, celui d’un garçon sur le toit d’un gratte-ciel. On ne sait pas vraiment où on est, mais on devine bientôt, c’est bien Johannesburg derrière lui. Ce garçon surgit dans l’étrange lourdeur d’une caméra qui plane. Il respire fort, il est sur le point de sauter, il est à bout de course, son regard ne dérive pas.

La bonne rentrée de Format Court

La bonne rentrée de Format Court

Cet été, Format Court est parti en vacances. Quelques articles et appels à films ont été publiés et de nombreux courts métrages ont été diffusés sur notre site. Juillet et août ont toutefois été très profitables pour Format Court. Nous avons à cet effet d’excellentes nouvelles à vous communiquer. Préparez vos bouchons !

Jan Sitta : « Mon film est la projection de mon propre fantasme, de ma propre peur »

Jan Sitta : « Mon film est la projection de mon propre fantasme, de ma propre peur »

Le parcours éclectique de Jan Sitta est éclectique : un DEA de sciences politiques à Nice, une formation de comédien à Cannes, un diplôme de réalisateur à Toulouse. Il a ensuite travaillé au théâtre comme au cinéma avec des casquettes de vidéaste, d’acteur et d’assistant-réalisateur avant de se dédier totalement à son activité d’auteur-réalisateur.

Ron Dyens : « En tant que producteur, j’ai un devoir d’exigence, celui de ne pas ennuyer le spectateur »

Ron Dyens : « En tant que producteur, j’ai un devoir d’exigence, celui de ne pas ennuyer le spectateur »

Ron Dyens, à la tête de la société de production Sacrebleu, a le don de dénicher des talents dont les films voyagent dans des festivals aux quatre coins du monde. Il est aussi l’un des producteurs les plus engagés concernant la place de l’animation en France : il se bat pour un cinéma d’animation de qualité et reconnu. Cette année, il était à Cannes avec deux films en sélection : « Man on the chair » de Dahee Jeong à la Quinzaine des Réalisateurs et « Une chambre bleue » de Tomasz Siwinski à la Semaine de la Critique. Rencontre avec un producteur passionné et au franc-parler assumé.

Événements

Événements

Soirées Format Court Réservé à une poignée d’initiés, sous-médiatisé et peu montré en salle, le court métrage demeure confidentiel. Confrontés au jour le jour à ce problème de visibilité et au nécessaire accompagnement des oeuvres courtes, nous avons commencé à assurer, depuis mars 2012, la programmation et la communication de soirées mensuelles de courts métrages, […]

Soirées Format Court

Soirées Format Court

De l’écrit à l’écran Réservé à une poignée d’initiés, sous-médiatisé et peu montré en salle, le court métrage demeure confidentiel. Confrontés au jour le jour à ce problème de visibilité et au nécessaire accompagnement des oeuvres courtes, nous avons commencé à assurer, depuis mars 2012, la programmation et la communication de soirées mensuelles de courts […]

Présentation

Présentation

Apparu sur la Toile il y a 15 ans, en 2009, le magazine en ligne Format Court couvre au quotidien l’actualité du court métrage mondial par le biais d’informations, de couvertures festivalières, de critiques de films, de fiches techniques, d’interviews de professionnels, de films en ligne, de chroniques DVD et de reportages. Depuis sa création, […]

Short Screens #36: H/histoire(s)

Short Screens #36: H/histoire(s)

Par sa capacité à reproduire, réinterpréter et réinventer ce qui a été, le cinéma est l’art le plus à même de faire revivre ce qui n’est plus. Six récits taillés dans la douleur et la beauté, ouvrent les fenêtres du passé et transgressent les frontières entre réel et imaginaire. Une programmation éclectique et internationale où des petites histoires côtoient la grande Histoire ! Jeudi 27 mars à 19:30 au Cinéma Aventure, Bruxelles.

Le Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages

Le Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages

Après Jane Campion, Michel Gondry et Atom Egoyan, c’est au tour de Abbas Kiarostami de prendre la présidence du Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages du prochain festival de Cannes. Le réalisateur et scénariste iranien sera entouré de Noémie Lvovsky (France), Daniela Thomas (Brésil), Mahamat-Saleh Haroun (Tchad) et Joachim Trier (Norvège).

Prochaine soirée Format Court, le jeudi 10 octobre 2013 au Studio des Ursulines !

Prochaine soirée Format Court, le jeudi 10 octobre 2013 au Studio des Ursulines !

Après le succès de la reprise des séances Format Court le jeudi 12 septembre dernier, Format Court vous convie à sa nouvelle projection de courts, le jeudi 10 octobre prochain, à 20h30, au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Pour ce deuxième rendez-vous de l’année, nous vous proposons une balade cinématographique inédite en présence des équipes, comme à l’accoutumée : Hu Wei, Julien Féret et Jean Legrand (réalisateur, producteur et chef opérateur de « La Lampe au beurre de Yak ») et Steve Achiepo, Vincent Maury, Bastien Bourhis et Sékou Baradji-Diarra (réalisateur, co-scénariste et comédiens de « En équipe »).

Rentrée des courts

Rentrée des courts

C’est la rentrée. Du côté des festivals, les évènements se bousculent et se chevauchent même. Cette semaine, Silhouette referme ses parapluies pour ses projections en plein air, l’Etrange Festival affole et perturbe ses spectateurs au Forum des images, Off-Courts invite une nouvelle fois le Québec au centre de Trouville.

Oscar Ruiz Navia : « Je ne choisis pas des gens parce qu’ils sont de bons acteurs, mais parce que j’aime ce qu’ils sont en tant qu’êtres humains et parce qu’ils me touchent »

Oscar Ruiz Navia : « Je ne choisis pas des gens parce qu’ils sont de bons acteurs, mais parce que j’aime ce qu’ils sont en tant qu’êtres humains et parce qu’ils me touchent »

Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs 2013, « Solecito » d’Oscar Ruiz Navia est un film lumineux, touchant et pertinent sur les relations amoureuses entre deux jeunes adolescents colombiens, Maicol et Camila. Construit en deux parties (entretiens face caméra/tournage extérieur), à la croisée du documentaire et de la fiction, ce court signé Oscar Ruiz Navia fait partie de notre séance spéciale Quinzaine des Réalisateurs, programmé jeudi 13 juin au Studio des Ursulines. Juste avant sa projection, nous vous invitons à en savoir plus sur « Solecito », en compagnie du réalisateur Oscar Ruiz Navia et du co-producteur français du film, Guillaume De Seille (Arizona Films), rencontrés tous deux à Cannes.

Ali Asgari : « Le cinéma iranien s’inspire de la vie »

Ali Asgari : « Le cinéma iranien s’inspire de la vie »

Si cette année, à Cannes, Asghar Farhadi a défendu son « Passé » en compétition officielle, du côté des courts, trois auteurs iraniens se sont fait repérer, que ce soit du côté de la Cinéfondation ou de la compétition officielle des courts. Dans la section réservée aux films d’écoles, Anahita Ghazvinizadeh a remporté le Premier Prix pour son piquant « Needle » et Navid Danesh nous a intéressés pour ses plans d’amour mobile. À l’officielle, Ali Asgari, le réalisateur de « Bishtar Az Do Saat » (« Plus de deux heures ») a développé, pour sa part, une histoire de transgression vécue dans une société traversée par les tabous.

Matthias Zuder : « Les médiations sont supposées être satisfaisantes pour la victime et c’est pour cela que ça existe »

Matthias Zuder : « Les médiations sont supposées être satisfaisantes pour la victime et c’est pour cela que ça existe »

Au point conférence du festival de Clermont-Ferrand, édition 2013, Matthias Zuder nous explique qu’à la suite d’un malentendu, il a dû se plier à la pratique de la médiation. Réflexion sur la violence, son film « Mediation » installe un agresseur et sa victime dans un tête-à-tête surprenant. Mais si le réalisme de l’histoire nous interpelle, il est aussi tout étonnant de constater le soin que prend Matthias Zuder, à l’image de l’agresseur de son propre film, à se livrer le moins possible : le scénario n’est pas de lui et ses réponses lors de cette interview polissent un certain mystère.