Archives par mot-clé : Algérie

Azedine Kasri : « Je pense moi-même être un loser merveilleux »

Azedine Kasri : « Je pense moi-même être un loser merveilleux »

Originaire des Ardennes, Azedine Kasri est un acteur que l’on a pu voir officier chez Kim Chapiron dans La Crème de la crème. Après être passé par la Résidence de la Fémis, il se situe maintenant du côté de la réalisation avec son dernier film Boussa présenté en hors-compétition, dans le programme “Regards d’Afrique”, durant le dernier festival de Clermont-Ferrand. L’aventure d’un couple qui va essayer tant bien que mal de pouvoir s’embrasser dans une Algérie en proie au changement, un récit plein d’espoir dont la genèse nous est partagée ici par son réalisateur.

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui en DVD

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui en DVD

En 2013, notre magazine décernait un Prix Format Court au film de Karim Moussaoui « Les Jours d’avant », lors du Festival international du film francophone de Namur. Après un excellent parcours en festival, de nombreuses sélections, notamment aux Césars 2015, l’obtention de plusieurs prix (Prix du Jury au festival de Namur 2013, Prix de la meilleur fiction au Festival de cinéma Vues d’Afrique de Montréal en 2014, …) et une sortie en salle, en février 2015, dont nous étions partenaires, le film est désormais disponible en DVD.

Format Court, partenaire de la sortie des « Jours d’avant » de Karim Moussaoui

Format Court, partenaire de la sortie des « Jours d’avant » de Karim Moussaoui

En octobre 2013, Format Court avait repéré et primé l’un des plus beaux courts vus dans sa petite histoire (6 ans), « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui. Au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF), notre jury (Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) avait attribué le Prix Format Court du Meilleur Court Métrage international à ce très beau film franco-algérien pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.

N comme Nous, dehors

N comme Nous, dehors

Manel, jeune fille de 23 ans, a porté le voile pendant deux ans. Aujourd’hui, elle est sur le point de changer sa vie et de se libérer du hijab qui l’opprime de plus en plus. Manel se cherche, elle est en quête de réponses au cœur d’une société qui a du mal à accepter deux concepts : la liberté et le respect. A travers son histoire, nous rencontrons d’autres femmes de son âge mais aussi d’autres générations. Elles se font par de leurs quêtes, de leurs doutes et des expériences qu’elles ont vécues.
Réal. : Bahïa Bencheikh-El-Fegoun, Merieme Achour Bouakkaz
Documentaire, 53′, 2013
Algérie

Petit déjeuner & Ce qu’on doit faire de Karim Moussaoui

Petit déjeuner & Ce qu’on doit faire de Karim Moussaoui

Avant de tourner cette année « Les Jours d’avant », Prix Format Court au Festival du Film Francophone de Namur (FIFF), Karim Moussaoui a tourné deux courts métrages en 2003 et 2006. Ces films, réalisés sans moyens, ont été les premières expérimentations d’un réalisateur n’ayant pas fait d’école mais ayant concrétisé ses envies de cinéma au moment de l’arrivée du numérique.

Karim Moussaoui : « Quand on est à la recherche d’une justesse, je ne pense pas qu’on puisse raconter quelque chose qu’on ne connaît pas »

Karim Moussaoui : « Quand on est à la recherche d’une justesse, je ne pense pas qu’on puisse raconter quelque chose qu’on ne connaît pas »

Programmateur cinéma à l’Institut Français d’Alger, Karim Massaoui est le réalisateur du très beau film, « Les Jours d’avant », sélectionné à Locarno et au Festival du Film Francophone de Namur où il a remporté le Prix du Jury et le Prix Format Court. Fin novembre, il est venu à Paris pour présenter son film au festival Maghreb des Films, à l’Institut du Monde Arabe. Nous en avons profité pour le rencontrer, l’interroger sur l’Algérie, son parcours, ses expériences personnelles et son dernier film.

Karim Moussaoui, Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur 2013

Karim Moussaoui, Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur 2013

Début octobre, Format Court remettait pour la première fois un prix au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF). Notre jury avait élu comme meilleur film international « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui (Algérie, France) pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.

J comme Les Jours d’avant

J comme Les Jours d’avant

Dans une cité du sud d’Alger, au milieu des années 90.
 Djaber et Yamina sont voisins mais ne se connaissent pas.
 Pour l’un comme pour l’autre, il est si difficile de se rencontrer entre filles et garçons qu’ils ont presque cessé d’y rêver.
 En quelques jours pourtant, ce qui n’était jusque là qu’une violence sourde et lointaine éclate devant eux et modifie à jamais leurs destins.
Réal. : Karim Moussaoui
Fiction, 47′, 2013
Algérie, France

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui, élu Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui, élu Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Le 28ème Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) s’est clôturé ce vendredi 4 octobre. Pour la première fois, Format Court y a attribué le Prix Format Court du Meilleur Court Métrage international. Parmi les douze films en compétition, le Jury Format Court (composé de Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) a choisi de récompenser le film « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.

O comme On ne mourra pas

O comme On ne mourra pas

Oran. Vendredi. Eté 1994. Après un reportage à Kaboul, Salim revient dans sa ville à l’heure de la prière. Il retrouve Houria, la femme qu’il aime, cachée dans un appartement clandestin. Pour fêter leurs retrouvailles, Salim sort une bouteille de vin, dénichée en Afghanistan. Seulement voilà, Houria n’a pas de tire-bouchon…
Réal. : Amal Kateb
Fiction, 20′, 2010
France

Amal Kateb : “Je reste nourrie et habitée par un besoin de continuer à dire les choses qui me bouleversent et qui me sont proches »

Amal Kateb : “Je reste nourrie et habitée par un besoin de continuer à dire les choses qui me bouleversent et qui me sont proches »

Parfois, il se passe quelque chose d’important lors des interviews, ces moments peu naturels où deux inconnus se font face pour la première fois, où l’un est censé se livrer plus que l’autre. Ce genre de situation se produit rarement mais survient quand on rencontre quelqu’un comme Amal Kateb, comédienne et réalisatrice de « On ne mourra pas », Prix des bibliothécaires à Angers et film en lice pour le Prix France Télévisions. Habitée par l’Algérie, marquée par l’engagement et à l’origine de trous dans les murs, elle se raconte sur le fil, autour d’un film et d’une certaine histoire.

K comme Khouya (Mon frère)

K comme Khouya (Mon frère)

Trois sœurs, un frère et leur mère ; tels sont les protagonistes de « Khouya », un huis-clos qui se déroule dans un intérieur algérien ordinaire. Le frère bat ses sœurs, et la mère le laisse faire. Quand l’une de ses filles refuse un mariage arrangé pour elle, c’est le drame. La violence atteint alors un point de non retour…

Réal. : Yanis Koussim
Fiction, 17′, 2010, Algérie