Une chambre bleue de Tomasz Siwiński

Une chambre bleue de Tomasz Siwiński

Cinquième court-métrage du peintre et réalisateur polonais Tomasz Siwinski, « Une chambre bleue » est une fiction animée de 14’, révélée l’an passé à la Semaine de la Critique (Cannes). Depuis, le court-métrage a été sélectionné au sein de nombreux festivals internationaux et concourt en ce moment même au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand.

Soirée Format Court, jeudi 12 février : Spéciale Festival du Nouveau Cinéma (FNC) !

Soirée Format Court, jeudi 12 février : Spéciale Festival du Nouveau Cinéma (FNC) !

En octobre 2014, Format Court se rendait pour la première fois à Montréal pour couvrir le Festival du Nouveau Cinéma (FNC) et y attribuer un Prix Format Court au sein du focus Québec. À l’occasion de notre nouvelle Soirée Format Court, le jeudi 12 février 2015 à 20h30, nous consacrons une séance spéciale à ce festival incontournable en matière de nouvelles images. Venez découvrir ce soir-là au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) 5 films atypiques, surprenants, sensibles et ambitieux, sélectionnés à la dernière édition du FNC. En présence de deux équipes de films et de Daniel Karolewicz, programmateur.

Concours : remportez 10 invitations pour « Les Jours d’Avant !

Concours : remportez 10 invitations pour « Les Jours d’Avant !

Nous vous l’annoncions il y a quelques jours : « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui, Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) 2013 sort en salles ce mercredi 4 février, en France. À l’occasion de cette sortie (dont Format Court est partenaire), nous avons 10 invitations (valables pour 2 personnes) à vous offrir, grâce au distributeur Damned Films.

Format Court, partenaire de la sortie des « Jours d’avant » de Karim Moussaoui

Format Court, partenaire de la sortie des « Jours d’avant » de Karim Moussaoui

En octobre 2013, Format Court avait repéré et primé l’un des plus beaux courts vus dans sa petite histoire (6 ans), « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui. Au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF), notre jury (Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) avait attribué le Prix Format Court du Meilleur Court Métrage international à ce très beau film franco-algérien pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.

Format Court, invité par la SRF au Bar des Réalisateurs, à Clermont-Ferrand, mardi 3 février !

Format Court, invité par la SRF au Bar des Réalisateurs, à Clermont-Ferrand, mardi 3 février !

Organisé depuis une dizaine d’années par la Société des réalisateurs de films (SRF) pour favoriser les liens entre les réalisateurs et les différents acteurs de la filière court métrage, le Bar des réalisateurs est un lieu incontournable pendant le festival de Clermont-Ferrand pour tous ceux qui souhaitent rencontrer des professionnels dans une ambiance conviviale.

Kijé de Joanna Lorho, Prix Format Court au Festival d’Angers 2015

Kijé de Joanna Lorho, Prix Format Court au Festival d’Angers 2015

Depuis deux ans, Format Court attribue un Prix au festival d’Angers dans la catégorie « Plans animés européens ». Le prix consiste en un focus en ligne sur Format Court, une projection du film primé dans le cadre des séances mensuelles Format Court, au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) et d’un DCP doté par le laboratoire numérique Média Solution.

P comme Pride

P comme Pride

Manol, grand-père à la retraite, est un patriarche qui a toujours su imposer fermement ses valeurs au sein de sa famille. Mais aujourd’hui, il apprend que le garçon qu’il a élevé est homosexuel. Voilà ses certitudes ébranlées par les choix de vie de ses proches, dans une bataille perdue d’avance.
Réal . : Pavel G. Vesnakov
Fiction, 30′, 2013
Bulgarie

Pride de Pavel G. Vesnakov

Pride de Pavel G. Vesnakov

« Bonsoir, je suis gay, fier, bien dans ma peau, heureux, et j’aime me faire enculer… ». Bercé d’une rigueur verbale où la concession morale est aussi présente que la tolérance au sein de la politique nazie envers les Juifs, les communistes et les homosexuels, cette logorrhée révolutionnaire fait l’effet d’une bombe. On a entendu ces mots à l’aube de l’an 2000 dans un film de Jean-Gabriel Périot, dont le titre prend l’apparence insolente d’une fausse question : « Gay ? »