Concours You Tube : « Un jour dans la vie »

1 monde. 24 heures. 6 milliards de regards. « Un jour dans la vie » est une expérience inédite visant à créer un film documentaire à partir de vidéos réalisées par des internautes du monde entier.
1 monde. 24 heures. 6 milliards de regards. « Un jour dans la vie » est une expérience inédite visant à créer un film documentaire à partir de vidéos réalisées par des internautes du monde entier.
Un jeu, une expérience, une voix et une envie de donner. Une comédienne, cinq possibilités pour une leçon d’actrice à découvrir et à dévoiler… 5 X Nathalie Baye pour 10 minutes maximum dans tous les genres et sous toutes les formes.
Après avoir collaboré à plusieurs festivals québécois, Bernard Boulad a rejoint le Festival européen du film court de Brest. Depuis deux ans, il en est le directeur artistique. Le hasard a ses bons côtés : Bernard Boulad se laisse parfois apercevoir, de façon impromptue, du côté de Paris. Bouton-Enregistreur enfoncé, à proximité des sapins de l’église Saint-Eustache, à l’aube du 25ème anniversaire du Festival.
Dans la lignée de sa campagne institutionnelle articulée autour du voyage, Louis Vuitton a imaginé un concours international de création sur ce même thème, les « Journeys Awards »,dans le but de mettre en valeur les talents de cinéastes émergents. Des étudiants d’écoles de cinéma les plus prestigieuses ont été appelés à réaliser des films selon le scénario original « Journeys », dans le but de glaner un des deux prix proposés, le Prix du Jury et celui du Public.
Le Canadien Denis Villeneuve, sélectionné à Cannes en 1997 à la Quinzaine des réalisateurs pour un long métrage collectif intitulé « Cosmos », collectionne, depuis plus de 20 ans, prix et distinctions dans le monde entier. Pour ce réalisateur de 42 ans, le court métrage n’est pas un exercice, mais bien un moyen d’exprimer un univers visuel particulier sur un format qui se prête à toutes les audaces.
À Cannes, il présente à la Semaine de la Critique en séance spéciale « No skate ! », le nouveau film de Guil Sela, dans lequel il joue Isaac, un homme-sandwich inspiré en plein JO estivaux, aux côtés de Cléo (Raïka Hazanavicius). Drôle et curieux, le comédien Michael Zindel (épatant dans « Le Dernier des Juifs » de Noé Debré) raconte son parcours, ses apprentissages par le court, l’empathie qu’il recherche chez les réalisateurs et ce qui l’intéresse dans l’écriture et la comédie.
Le Festival de Cannes a débuté mardi dernier et pour lancer ces 12 jours d’intenses projections, c’est le film « Partir un jour » d’Amélie Bonnin, en hors-compétition, qui a fait l’ouverture. Un titre familier puisqu’il s’agit aussi de celui de son court-métrage, Césarisé en 2023.
Ce mardi 13 mai 2025, s’est ouvert le festival le plus médiatisé du monde. Nous, à Format Court, on parlera, comme chaque année, des courts qui nous plaisent (à l’officielle, à la Quinzaine, à la Semaine). On s’intéressera également à quelques premiers longs qui font partie de la programmation dense de cette 78ème édition.
Le Festival de Cannes débute aujourd’hui. Si la Croisette se pare de ses plus beaux habits de lumière, les festivaliers arrivent progressivement dans l’espoir de profiter au maximum des films que cette édition a à nous offrir.
La Semaine de la Critique, section parallèle du Festival de Cannes, a annoncé hier sa sélection de courts-métrages. Voici les œuvres courtes retenues pour cette édition 2025, en sélection et en séance spéciale.
Ce 8 mai, Diaphana Distribution sort en DVD « Hiver à Sokcho », avec Bella Kim et Roschdy Zem. Sélectionné au Festival International du film de Toronto et au Festival de San Sebastian en 2024, le premier long-métrage du réalisateur franco-japonais Koya Kamura est tiré du roman du même nom de l’écrivaine Elisa Shua Dusapin. Format Court vous propose de remporter 3 exemplaires de ce DVD.
Dernière sélection très attendue du côté de Cannes, celle des courts et des films de la Cinef, dévoilée aujourd’hui. Sur 4 781 films, 11 courts métrages font partie de la compétition cette année. Du côté de la Cinef, ce sont 16 films (sur 2700 candidatures présentées par les écoles de cinéma à travers le monde) qui font partie de la sélection 2025.
La Quinzaine des Cinéastes, l’une des sections parallèles du Festival de Cannes, a annoncé ce mardi matin sa sélection de longs et de courts. Voici les 10 œuvres courtes et moyennes retenues sur 2634 films reçus pour cette édition 2025.
Orbites, court métrage de Sarah Seené, vient de remporter le Grand Prix Canadien et le Prix de la Critique internationale FIPRESCI au festival Regard à Saguenay. Le film dévoile une série de conversations entre la réalisarrice et sa protagoniste Marie-Christine Ricignuolo, jeune femme qui a perdu la vue à cause d’un glaucome congénital. Marie-Christine réapprend à voir le monde et toute sa beauté, qu’elle a toujours énormément admirée, grâce aux bouts de ses doigts. Elle utilise désormais un nouveau sens pour absorber les plus belles choses du monde : la nature, les fleurs, le soleil, son enfant, son compagnon. La réalisatrice française, installée au Québec depuis 2016, nous raconte le parcours de création de son nouveau projet.
Mercenaire (2024), dernier court-métrage du cinéaste montréalais Pier-Philippe Chevigny, fait l’actualité des festivals francophones. Il a fait ses débuts au Festival international du film de Toronto, 2024 (en première mondiale), figurant dans le TIFF’s Top Ten et a reçu le Prix spécial du jury international à Clermont-Ferrand. Aujourd’hui, le réalisateur présente son film au Festival Regard à Saguenay, où il a été membre du jury en 2024.
Selon Pasolini, la poésie ne réside pas dans les livres ou les films, mais dans la vraie vie où nous rencontrons des moments de pure émotion. Dans le documentaire Orbites, de Sarah Seené, nous accompagnons Marie-Christine, une jeune femme quebecoise qui a vécu toute sa vie plongée dans la poésie, qui a toujours vu de la beauté autour d’elle, qui s’est émerveillée devant les couleurs des fleurs et la lumière du soleil. Pourtant, Marie-Christine a perdu la vue il y a quelques années. Capable désormais de voir uniquement des perceptions lumineuses, elle cherche, depuis, à retrouver cette beauté avec la pulpe de ses doigts.
Infos sympa ! Le Lab Format Court se dote d’un comité de sélection composé de 3 professionnel·les du cinéma !
Auréolée du César du meilleur court métrage documentaire pour Les Fiancées du Sud, par écrans interposés, Elena López Riera revient sur sa filmographie attentive aux portraits de femmes et à l’oralité des récits. Elle nous parle de ses inspirations, ses envies, le féminisme et l’intime. Après trois courts-métrages, et un long-métrage de fiction, El Agua, elle revient au court-métrage avec un documentaire qui donne un espace de parole à des femmes matures sur l’amour, le mariage, le désir, couplé à une attention particulière vis-à-vis des gestes et rituels des archives de mariage. Avec une voix tendrement rauque, un bel accent qui n’éclipse pas sa parfaite maîtrise de la langue française, elle se livre tout sourire au jeu de l’entretien, dévoilant avec générosité ses obsessions d’artiste.
Dans les années 90, quelque part en Bosnie-Herzégovine, en pleine guerre, un train s’arrête en pleine campagne. Des miliciens, dirigés par Alexis Manenti, montent à bord, ils se mettent à vérifier les papiers des 500 passagers et à débusquer les « ennemis » d’Etat. Dans une rame, un peu comme dans la vie, chacun se met à réagir à la menace imminente : certains se taisent, d’autres protestent mollement, un seul agit. Voici l’histoire de « The Man Who Could Not Remain Silent », un film passionnant, inspiré d’une histoire vraie, sur les utopies, la lâcheté et les gestes qui font la différence.
Son film « Queen Size », comédie romantique autour d’un matelas s’est fait une place dans la compétition des César. Tout en simplicité, Avril Besson y raconte la rencontre inopinée de India Hair et Raya Martigny, deux femmes aux caractères décalés dans un moment de passage à vide avec sensibilité et humour. Réalisatrice mais aussi monteuse et ancienne étudiante de la Fémis, elle prépare maintenant son premier long-métrage « Les Matins Merveilleux ». Entre deux deux moments de pré-production, Avril Besson a répondu à nos questions sur sa double casquette et sa manière d’écrire en restant proche des acteurs et de la vie quotidienne.