Israël en courts à Cannes

En ce 72ème festival de Cannes, parmi les courts métrages sélectionnés, on découvre trois réalisateurs israéliens : Yona Rozenkier, Yarden Lipshitz Louz et Dekel Berenson.
En ce 72ème festival de Cannes, parmi les courts métrages sélectionnés, on découvre trois réalisateurs israéliens : Yona Rozenkier, Yarden Lipshitz Louz et Dekel Berenson.
Cinq jours de courts, cinq jours de découvertes et de surprises. Du 3 au 7 avril dernier, avait lieu le premier festival de Format Court au Studio des Ursulines, dans le 5e arrondissement de Paris. La richesse de cette édition tenait notamment au fait qu’elle n’était pas compétitive mais s’organisait selon une logique rétrospective.
L’affiche du Festival de Cannes 2019, tirée de La Pointe courte, le premier long-métrage d’Agnès Varda. Il s’agit de la 2ème collaboration de la graphic designer Flore Maquin avec le festival après un premier essai réussi et bleuté l’an passé (d’après une photo de George Pierre prise sur le tournage de Pierrot le Fou).
Maxime Roy vient remporter le prix SACD de la meilleure œuvre de fiction à Clermont-Ferrand pour Beautiful Loser, qui raconte la reconstruction d’un ancien toxico tout juste devenu père. Ce court, comme le long-métrage en préparation qui en sera le prolongement, est inspiré de la vie du comédien François Creton, qui joue son propre rôle et avec qui il a co-écrit.
Pour fêter le 20ème anniversaire de Festen, Doriane Films a sorti le 6 septembre dernier, une nouvelle édition DVD contenant le film, deux courts-métrages de Thomas Vinterberg, ainsi que Free Dogme, un documentaire de Roger Narbonne et Marie Berthélius, abordant les principes du Dogme95.
Il a plus d’une corde à son arc. Trublion des plateaux de Canal +, tour-à-tour scénariste, écrivain, acteur, il est à lui tout seul l’élégance discrète et la nonchalance joviale. Vous avez deviné, c’est bien évidemment de Jackie Berroyer dont il est question. Entre deux projections de l’excellent Étrange Festival où il présentait une carte blanche en septembre, il a joyeusement accepté de répondre à quelques-unes de nos questions.
Prematur, le cinquième court-métrage de la réalisatrice norvégienne Gunhild Enger met en scène Martin, norvégien, et sa petite-amie espagnole, Lucia, dans l’espace confiné et clos d’une voiture, 17 minutes durant. Pour la jeune femme enceinte, c’est un premier contact avec la Norvège et ses beaux-parents.
Les Séances au top Format Court se poursuivent sur le rooftop du Point Ephémère (Paris 10ème) cet été. Après notre première carte blanche programmée le mercredi 20 juin passé, nous vous donnons rendez-vous ce jeudi 5 juillet de 22h à 23h30 pour une nouvelle séance intitulée « The place to be », programmée par Fanny Barrot (Format Court). Pour info/rappel, nos 3 prochaines cartes blanches auront lieu les 26 juillet, 8 août et 13 septembre prochains.
Où voir du court ? La question se pose indiscutablement quand on s’intéresse comme nous au court-métrage. Par le passé, nous avons déjà attiré à plusieurs reprises votre attention au sujet de CIEL. Ne regardez pas en haut, mais plutôt droit devant : CIEL alias Cinéma indépendant en ligne est un site internet, un webzine coloré proposant tous les trimestres des films courts en ligne et en libre accès.
Tiphaine Raffier, dramaturge, metteuse en scène et comédienne pour le théâtre vient de réaliser La Chanson son premier court-métrage. Après avoir découvert son film lors de la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes, nous avions envie d’en savoir un peu plus sur l’univers de Tiphaine et son rapport au cinéma…
Bonne info : Format Court participe aux Séances au top organisées par le Point Ephémère (Paris 10ème) cet été. 5 cartes blanches offertes à Format Court auront lieu sur le rooftop du lieu les 20 juin, 5 et 26 juillet, 8 août et 13 septembre. Du cinéma sur le toit, un écran géant, des casques audio, des programmations éclectiques, des films français et étrangers, des courts récents ou non, des réalisateurs présents, … : soyez de la partie, venez voir du court, rencontrer notre équipe et nos invités, croquer du pop corn au Wasabi et des chouchous caramélisés !
Un homme au torse nu et largement tatoué se tient debout au carrefour de plusieurs ruelles, il attend nerveusement, se retourne sans cesse, tape du pied, soudain une moto en wheeling le frôle, suivi d’une bicyclette passant derrière lui à toute allure, il se retourne, trop tard, une seconde bicyclette approche plus lentement, son geste est assuré, rapide, le couteau menaçant, la bicyclette enfourchée. « Elle est à moi maintenant » crie-t-il à l’ancien propriétaire tout en s’enfuyant.
Le 26ème festival Le Court en dit long, festival compétitif de courts métrages produits ou coproduits en Belgique francophone, se déroule actuellement au Centre Wallonie-Bruxelles (46, Rue Quincampoix, 75004 Paris). 32 films en compétition, répartis en six programmes thématiques, y sont projetés jusqu’à samedi soir. Corps, films d’écoles et d’ateliers, adolescents, questions de société, de l’amour, questions de genres : allez-y.
On connaissait Tiphaine Raffier dans le milieu du spectacle vivant. Dramaturge, metteuse en scène, et comédienne, elle a monté sa compagnie « La Femme coupée en deux » en 2015. France-Fantôme, son troisième spectacle créé en 2017 a été salué par la critique et reprendra en 2019. La Chanson, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs cette année, est son premier court-métrage, adapté de sa première pièce du même nom
Hier, mardi 22 mai, avait lieu au Cinéma du Panthéon (Paris, 5ème), la reprise de la Cinéfondation et des courts-métrages en compétition officielle à Cannes 2018. Deux séances organisées pour ceux et celles qui n’avaient pas pu voir les films sur la Croisette ce mois-ci et qui souhaitaient se rattraper pour découvrir les nouveaux talents mis en avant par les sélectionneurs de courts de Cannes.
Il est des films ou l’on pourrait aimer évoquer un syndrome de Stendhal cinématographique tant les formes et la beauté des mouvements nous imprègnent à travers les tableaux picturaux qui s’enchaînent.
Le long-métrage Prendre le large de Gaël Morel produit par les Films du Losange est disponible depuis peu aux éditions Blaq Out. Ce film nous propose d’accompagner Edith, 45 ans, ouvrière dans une usine textile, qui voit sa vie bouleversée par un plan social. Sans attaches, elle choisit d’accompagner son usine délocalisée au Maroc plutôt que de toucher ses indemnités de licenciement.
Après la production, les festivals, le scénario et la télévision, Format Court vous invite à son 5ème rendez-vous professionnel consacré à la musique et au cinéma. Cette nouvelle édition aura lieu le jeudi 26.4 2018 à 19h30, au MyCowork Beaubourg (5 Rue du Cloître Saint-Merri, 75004 Paris).
Le vent a soufflé sur la bourgade d’Aubagne à la fin du mois de mars dernier, éteignant dans le même élan les dix-neuf bougies du Festival International du Film, dont le surtitre révèle une surprenante symbiose : Musique et Cinéma.
Ayant obtenu un César d’honneur en 2001, une Palme d’honneur à Cannes en 2015 et un Oscar d’honneur en novembre dernier pour l’ensemble de sa carrière, Agnès Varda, la grand-mère de la nouvelle vague aux allures de petite fille continue à faire parler d’elle, à près de 90 ans.