Fantoche, le palmarès

La 7e édition de Fantoche, festival international d’animation à Baden (Suisse), s’est clôturée dimanche. 223 courts et longs métrages issus de 45 pays y ont été projetés durant 6 jours. En voici le palmarès.
La 7e édition de Fantoche, festival international d’animation à Baden (Suisse), s’est clôturée dimanche. 223 courts et longs métrages issus de 45 pays y ont été projetés durant 6 jours. En voici le palmarès.
Pour clôturer un été sous le signe des shorts et des lardons, Format Court consacre son numéro de rentrée au Festival d’Annecy. Présent au rendez-vous de l’image animée, F.C. a visionné les films courts en compétition, sillonné les ruelles de la vieille ville, participé au Jury Fipresci, et raconté des salades vertes autour d’une fondue.
Créée en 1998 à Paris, la revue Repérages est passée par tous les genres cinématographiques avant de se focaliser sur le court métrage. Le magazine suit régulièrement quelques festivals majeurs en France, (Clermont-Ferrand, Némo, l’Étrange Festival, Annecy), et est systématiquement accompagné d’un DVD depuis 2003.
Du 4 au 12 décembre, se dérouleront les 32èmes Rencontres Henri Langlois (Festival International des Ecoles de Cinéma). Le Prix du Jury étudiant, attribué à l’un des films en compétition, sera déterminé par sept étudiants issus de différentes UFR de l’Université de Poitiers, ayant assisté à l’ensemble des séances et participé aux réunions de délibération.
Lauréat du Prix Fipresci (auquel Format Court était associé cette année), « El Empleo », de Santiago Grasso, est le tout premier film argentin primé à Annecy, depuis la création du Festival. Révélation de cette édition, il mêle subtilement passivité du quotidien, individus-objets, et sobriété du dessin.
Meuglements, aboiements, miaulements, pépiements, roucoulements, bruits de carpes, hurlements, applaudissements, … : bienvenue au Festival d’Annecy. Au rendez-vous de l’image, il est coutumier de ne pas rester tranquille sur son siège, de faire de grands signes aux copains, de chahuter devant la bande-annonce officielle, et d’envahir l’espace, avec d’improbables avions en papier. Ces rituels, potentiellement déconcertants, font partie de la popularité de l’événement. À Annecy, on ne se prend pas trop au sérieux, et ce n’est pas plus mal.
C’est l’été. On ne va pas vous recommander de porter un bermuda violet, de vous lancer dans un régime à base de soupes, de lire le dernier Marc Levy, ou d’arrêter les lardons. Même si vous êtes en tongs, et dans vos valises, on vous reparle de Cannes, bien que le festival ait éteint ses lampions depuis sacrée lurette.
Le PISAF (Puchon International Student Animation Festival) célèbre du 6 au 10 novembre 2008 sa 11ème édition dans la ville de Bucheon, en Corée du Sud. Depuis 1999, le Festival s’intéresse aux films d’étudiants en animation, et contribue à la découverte de nouveaux réalisateurs et de nouvelles tendances en animation. Dans le cadre de la programmation de sa 11ème édition, le Festival lance un double appel à candidatures.
Après Cannes, voici les images rapportées d’Annecy. Solitaires ou regroupées, elles croquent…
Du 8 au 13 septembre 2009, Fantoche, le Festival International du Cinéma d’Animation de Baden (Suisse), vivra sa septième édition. 39 œuvres, déclinées en cinq programmes, ont été retenues pour la compétition internationale.
Même si le festival d’Annecy compte de plus en plus de longs métrages dans sa sélection officielle (9 films retenus sur 45, cette année), la plateforme incontournable de l’animation reste très attachée à la forme courte. Projetés pendant la deuxième semaine de juin, les programmes courts contribuent, pour beaucoup, à la vitalité et au dynamisme de l’événement. Même “petits”, ils font preuve d’originalité et d’inventivité, et attirent l’œil pour la qualité et la richesse de leur animation, de leur histoire, et de leur univers graphique.
Son premier court, « The Last Farm » a été nominé pour les Oscars en 2006, le suivant, « Smáfuglar » a concouru pour la Palme du court métrage en 2008, et le dernier, « Anna », a été présenté, cette année, à la Quinzaine des Réalisateurs. Quand Rúnar Rúnarsson ne se balade pas du côté de Los Angeles et de Cannes, il sillonne l’Islande et le Danemark. Ce grand cinéaste, auteur de films personnels, fraichement sorti de l’école, s’intéresse aux comédiens non professionnels, aux périodes de transition, et au passage à l’âge adulte.
Elles sortent toutes deux de la Fémis. L’une a étudié le montage, l’autre a choisi le scénario. Depuis « Forbach », le film de fin d’études de Claire, elles travaillent ensemble. Leur dernier film, « C’est gratuit pour les filles », sélectionné cette année, à la Semaine de la Critique, suit les joies et les peines de deux adolescentes, Yéliz et Laetitia. À l’image de leur précédent film, les deux réalisatrices s’intéressent aux liens, aux situations de crise, à la promiscuité entre réalisme et fiction, et aux comédiens non professionnels. Entrevue à trois voix.
Comme chaque été, le festival Paris Cinéma s’associe à Serge Bromberg et Lobster Films à l’occasion du spectacle « Retour de Flamme » proposant une série de films muets, retrouvés dans des brocantes, les greniers de particuliers (ou simplement par hasard) puis restaurés et accompagnés en live au piano. Prochaine projection, lundi 13 juillet.
Début mai, Bruxelles. Le réalisateur suédois Patrik Eklund est encore un inconnu (parfait, illustre) jusqu’à ce que son troisième film, « Instead of Abracadabra », soit découvert au Festival du court métrage de Bruxelles. Mi-mai, Cannes. Patrik Eklund est invité par la Semaine de la Critique à présenter son dernier court métrage, « Slitage ». Coups de fil, SMS, e-mails : une brève rencontre s’organise dans un couloir du Marché du film, à même le sol, devant de curieuses et nombreuses portes sans issue.
Juin, mois de palmarès ? Depuis 17 éditions, le Festival Le Court en dit long a lieu, lui aussi, en juin. Son originalité : il propose à Paris une sélection de courts métrages belges francophones pour la plupart inédits, répartis en plusieurs programmes. Cette année, 46 courts métrages étaient projetés, en compétition entre le 4 et le 9 …juin. Et voici, poum poum, le palmarès…
La 33ème édition du Festival international du film d’animation d’Annecy (8-13 juin) vient de s’achever. Découvrez le palmarès lié à la forme courte.
Comme Cannes se raconte aussi par l’image, quelques clichés liés au festival le plus médiatisé du monde ont été rassemblés dans un “diaphotorama”. Légendes et situations. Alternativement, le regard se pose sur…
Taper un édito, partir en festival avec une toute petite valise, apprendre le créole en trois jours ou sortir son joker, à la deuxième ligne ? Lequel de ces exercices est-il le plus déroutant ?
Lorsqu’on invite Marion et Romain Castera pour une interview, c’est Noamir qui entre et s’installe. N O A M I R, six lettres, celles qui composent leurs deux prénoms. Frère et sœur, habitués depuis toujours à jouer ensemble, ont fusionné et prolongent ainsi leurs jeux d’enfants dans leur vie d’adultes sous forme de clips, de concerts, de films. Un corps à deux têtes en somme, artistiquement siamois. L’un a l’œil, l’autre l’oreille, et à quatre mains, ils ont réalisé « #1 », un court métrage de quatre minutes qui vient d’être sélectionné à Cannes par la Cinéfondation.