C comme Condom Lead
En écho à la violente opération militaire « Plomb durci » (Cast Lead en anglais), le film évoque la difficulté de faire l’amour en temps de guerre…
Réal. : Arab et Tarzan Nasser
Fiction, 14′, 2013
Palestine
En écho à la violente opération militaire « Plomb durci » (Cast Lead en anglais), le film évoque la difficulté de faire l’amour en temps de guerre…
Réal. : Arab et Tarzan Nasser
Fiction, 14′, 2013
Palestine
Entre deux projections au Studio des Ursulines, Format Court vous propose un nouveau cycle de rendez-vous, les After Short, des soirées de networking réunissant la profession et les cinéphiles.
Huit courts métrages, instantanés éphémères de fantasmes inavoués, d’utopies réinventées et de douces nostalgies qui permettront, le temps d’une séance, une belle échappée cinéphilique. Rendez-vous le jeudi 26 février au cinéma Aventure, Galerie du Centre, Rue des Fripiers 57, 1000 Bruxelles
Réalisateur du sublime « The Weatherman and the Shadowboxer », Prix Format Court au Festival du Nouveau Cinéma 2014, Randall Lloyd Okita est un jeune auteur de Toronto ayant déjà réalisé plusieurs courts. Son dernier film, projeté ce soir aux Ursulines dans le cadre de la séance spéciale autour du FNC, évoque avec mystère et émotion le parcours de deux frères ayant mené deux vies différentes, séparés par un événement survenu dans leur enfance.
Dans le cadre de son Prix Procirep du Producteur de Court-Métrage, Frédéric Dubreuil a bénéficié d’une carte blanche lors de la 37e édition du Festival de Clermont-Ferrand. Il y a présenté une sélection de courts-métrages produits au sein de sa société Envie de tempête Productions ainsi que des films qu’il apprécie particulièrement.
Présenté au sein du focus Québec du Festival Nouveau Cinéma (FNC) de Montréal, le film d’animation « The Weatherman and the Shadowboxer », de Randall Lloyd Okita, a séduit l’équipe de Format Court par son style personnel et novateur, et la maîtrise de sa narration. Le film, lauréat de notre Prix Format Court au festival, présente deux personnages, deux frères qui ont pris des chemins séparés, suite à une enfance bafouée dont les faits restent ambigus : l’un, un présentateur de météo, entretient une image publique mondaine qu’il porte comme un masque, l’autre devient un « shadowboxer », un combattant de l’ombre qui refuse de fuir la vérité et la violence qui est en lui.
L’histoire envoûtante de deux frères profondément marqués par un événement dont ils se souviennent différemment. Alliant des images saisissantes à une direction artistique impressionnante, ce film est une ode élégiaque à l’appartenance et à la survie.
Réal. : Randall Lloyd Okita
Animation, 10′, 2014
Canada
Hier soir, tout le monde était aux Bafta (équivalent des César/Oscars au Royaume-Uni) : Julianne Moore, Léa Seydoux, David Beckam, Richard Linklater & tous leurs copains. Mais aussi Daisy Jacobs (son interview réalisée à Clermont sera bientôt en ligne) et Michael Lennox et Ronan Blaney, les réalisateurs de courts-métrages primés.
Après une nuit de tournage, le chef opérateur du son et le perchman finalisent leur travail par l’enregistrement d’une série de sons seuls.
Réal. : Nina Maïni
Fiction, 15′, 2014
France
Prix de la Meilleure Première Œuvre de Fiction (SACD) au dernier Festival de Clermont-Ferrand, le court-métrage « Son Seul » de Nina Maïni fait partie des films de fin d’études du dernier cru de la prestigieuse Fémis. La jeune cinéaste, issue du département son, livre un court-métrage humble, émouvant et drôle dont la qualité première est de prendre pour sujet le cinéma comme artisanat et pour héros deux figures discrètes et connues des plateaux de tournages : l’ingénieur du son et son perchman.
Seule dans l’agitation urbaine humide et persistante, Jeanne tente de retrouver le nord.
Le 37ème Festival international du Court Métrage s’est achevé à Clermont-Ferrand ce samedi 7 février 2015. En voici le palmarès.
Le 37ème Festival de Clermont-Ferrand s’est terminé ce soir. En voici un premier aperçu animé croqué par les réalisateurs que nous avons rencontrés, en prélude de leurs interviews.
Lors du 37ème Festival International du court-métrage de Clermont-Ferrand, Tony Gatlif et les membres du Jury ont remis jeudi 5 février, le Prix France Télévisions du Court-métrage 2015 ex aequo à « La Maison de Poussière » de Jean-Claude Rozec et « Une Chambre Bleue » de Tomasz Siwinski. Le jury a également attribué une mention spéciale pour l’interprétation féminine à Laure Calamy pour « La Contre-Allée » de Cécile Ducrocq.
Le film nous projette dans un paysage fantastique, une transposition architecturale de deux villes, Téhéran et Los Angeles, dans laquelle les néons grésillants de la capitale iranienne s’incrustent de façon anarchique sur les vues aériennes des quartiers de la Cité des Anges.
Fiction, 18’09 », 2014
France
Incroyable plongée dans un territoire fantastique, le film d’écoles d’Arash Nassiri s’attache à transposer une certaine image de Téhéran dans le paysage urbain de Los Angeles créant ainsi une utopie cinématographique des plus envoûtantes.
Grand habitué des sélections Labo du Festival de Clermont-Ferrand, Olivier Smolders présente cette année « La Légende Dorée », un nouveau projet qui adopte la forme du portrait documentaire pour mieux explorer la psyché d‘un patient d’institut psychiatrique à travers un livre de collages d’images, dont il est l’auteur et qui se trouve rempli d’histoires violentes et de personnages décadents.
Collectionneur de musiciens maudits, d’assassins déraisonnables, de monstres de foire, de révolutionnaires paranoïaques, de pétomanes ou d’anachorètes suicidaires, un patient en institution psychiatrique présente une galerie de personnages historiques qui le hantent.
Réal. : Olivier Smolders
Expérimental, 25′, 2015
Belgique
Le cinéma indien évoque dans un premier temps des images plutôt invraisemblables débordant de kitsch et le « mélodrame sur le mode de l’excès » comme dirait Peter Brooks. Le terme Bollywood suggère également une industrie faramineuse, la plus grosse production cinématographique du monde, exportée autant que son équivalent américain.
« Chaud Lapin », film d’animation de cinq élèves de Supinfocom Arles, évoque en quelques minutes une histoire vieille comme le monde : celle de la femme délaissée et humiliée qui décide de re-prendre sa vie en mains.