S comme Sous le soleil
La Chine d’aujourd’hui. Un incident. Deux familles impliquées. Rien de nouveau sous le soleil
Réal. : Qiu Yang
Fiction, 19’02 », 2015
Australie, Chine
La Chine d’aujourd’hui. Un incident. Deux familles impliquées. Rien de nouveau sous le soleil
Réal. : Qiu Yang
Fiction, 19’02 », 2015
Australie, Chine
Une femme trébuche en sortant du bus. Un adolescent témoin de la scène accompagne à l’hôpital la blessée qui sombre dans le coma. La famille de la victime accuse alors le garçon d’avoir lui-même provoqué l’accident et demande une réparation monétaire à ses parents… En dépit d’un pitch qui devrait d’ordinaire donner suite à une enquête et au triomphe de la vérité, le réalisateur Qiu Yang préfère effectuer une étude des mœurs et des comportements de ses compatriotes.
Jeudi 18 février 2016, à 20h30, Format Court vous invite à sa nouvelle séance de courts-métrages au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Pour l’occasion, 4 films français fictionnels & animés, sélectionnés & primés en festival, seront projetés sur grand écran, en présence de 3 équipes. On vous y attend nombreux avec nos films, nos invités & nos traditionnels Carambar !
Troisième film et deuxième sélection au festival de Clermont-Ferrand pour Tornike Bziava qui, avec « Wake Man », concourant en compétition nationale, plonge à nouveau au cœur de ses racines pour dresser un portrait tendre et naturaliste d’une Géorgie post-soviétique où il est difficile de trouver sa place.
Rezo, vieil homme symbolisant la profonde pérennité d’un certain nombre de coutumes orthodoxes géorgiennes, s’invite lors d’un office mortuaire dans une ville post-soviétique.
Réal. : Tornike Bziava
Fiction, 29′, 2015
Georgie
Organisé depuis une dizaine d’années par la Société des réalisateurs de films (SRF) pour favoriser les liens entre les réalisateurs et les différents acteurs de la filière court métrage, le Bar des réalisateurs est un lieu incontournable pendant le festival de Clermont-Ferrand pour tous ceux qui souhaitent rencontrer des professionnels dans une ambiance conviviale.
Le festival de Clermont-Ferrand s’est ouvert ce vendredi 5 février 2016. Pour cette nouvelle édition, le festival propose ses traditionnelles sélections de courts en compétition (nationale, labo, internationale), offre un panorama à la Suède et une carte blanche à Takami Productions, et s’intéresse de près à la guerre d’Indochine, aux Regards d’Afrique et aux films en région.
Le jeu de mot est facile et nous ne l’éviterons pas : « Teeth » (Dents) est un film mordant. Mordant au sens d’incisif (incisives ?) : qui touche juste et qui fait mal.
Un homme qui déteste ses dents met tout en œuvre pour les détruire.
Réal. : Tom Brown, Daniel Gray
Animation, 6’56 », 2015
Hongrie, Royaume-Uni, États-Unis
Format Court, partenaire du Festival d’Angers, vous invite à découvrir une sélection de courts métrages primés lors de la 28e édition du Festival Premiers Plans qui s’est achevée à Angers le 31 janvier dernier. La reprise du palmarès aura lieu le jeudi 11/2, à 19h au Forum des images. Si vous souhaitez assister à cette séance, contactez-nous. Nous avons 5×2 places à vous offrir !
Un jour d’école ordinaire dans la vie d’une adolescente, et ses rencontres avec trois hommes différents : sur le chemin du lycée, sur un terrain de basketball, et dans le bus du retour.
Réal. : Ziya Demirel
Fiction, 12′, 2015
Turquie, France
« Sali », premier court métrage du jeune réalisateur turc Ziya Demirel présenté ces derniers jours au festival Premiers Plans d’Angers, raconte le parcours d’une adolescente parsemé de rencontres et d’embûches dans Istanbul.
Afin de donner plus de visibilité aux jeunes talents du court métrage francophone, le laboratoire numérique Média Solution, le partenaire de nos Prix Format Court, a lancé en mars 2015 le Coup de pouce DCP. Le principe de ce concours est simple : permettre à un réalisateur ou une réalisatrice de voir son court-métrage diffusé en salle de cinéma et en festival en lui offrant le DCP de son film (encodage au format Cinéma Numérique).
Parmi les courts-métrages retenus dans la catégorie des Plans animés de la 28ème édition du Festival d’Angers, le jury Format Court (composé cette année de Fanny Barrot, Katia Bayer, Agathe Demmanneville, Gary Delepine et Lola L’Hermite) a choisi de récompenser « Mr Madila » de Rory Waudby-Tolley.
Le Festival BD6Né est un festival entièrement consacré aux apports de la BD au Cinéma et à toute la richesse des échanges entre ces deux arts. La 4ème édition du Festival BD6Né se déroulera du 10 au 12 juin 2016 à Paris, à la Médiathèque Marguerite Duras (20ème).
« In uns das universum » est le premier court-métrage de Lisa Krane. Sélectionné au 36ème festival du film court de Villeurbanne, le film y a obtenu le Prix Format Court. Il a été projeté à notre séance anniversaire de janvier 2016, en présence de sa réalisatrice. Pour nous, Lisa Krane revient sur son film de fin d’études de l’Academy of Media arts de Cologne et la réalisation de ce premier court plein d’oppositions et de contrastes revendiqués. L’histoire ? Celle de Li, jeune danseuse, confrontée à la découverte d’un deuxième coeur dans sa poitrine.
Jeune cinéaste allemande, Lisa Krane promet une carrière intéressante. Née aux États-Unis, ayant grandi en Allemagne et étudié en Angleterre et au Ghana, elle a le profil d’une artiste originale. Son premier film, « In uns das Universum » a obtenu le Prix Format Court en novembre dernier au Festival du film court de Villeurbanne. Ce court-métrage poétique suit le parcours d’une jeune danseuse confrontée au dilemme de poursuivre sa passion jusqu’au bout ou de veiller à sa santé.
Ce matin, l’Académie des César a dévoilé la liste des nominations de la 41e cérémonie des César. Du côté des courts, voici les neuf films nommés.
Comédienne/productrice, Julie Gayet clôt notre cycle d’interviews filmés (Roland Nguyen, Catherine Bizern) réalisés au Carreau du Temple, fin 2015, à l’occasion du « Cinéma, c’est jamais trop court ». Elle revient pour Format Court sur ses débuts face à la caméra, son passage par le montage, son envie d’accompagner certains réalisateurs dans leur passage au long, l’écriture propre au court, son problème de diffusion et l’absolue nécessité de raconter des histoires.
Donner une place au rêve rugueux quand l’histoire requiert de l’être sa docilité, c’est à ce principe que les courts-métrages du cinéaste iranien Abbas Kiarostami semblent répondre. Essentiellement centrés sur l’enfance, ces films ne se donnent pas pour ambition de témoigner du temps historique mais, par des biais poétiques, de faire du cinéma l’abri miraculeux de trajectoires hasardeuses.