La Voix Humaine de Pedro Almodóvar
Pathé a récemment édité un DVD du dernier court-métrage d’Almodovar, adaptation de La Voix humaine de Jean Cocteau. Format Court vous en propose 3 exemplaires.
Pathé a récemment édité un DVD du dernier court-métrage d’Almodovar, adaptation de La Voix humaine de Jean Cocteau. Format Court vous en propose 3 exemplaires.
Nommé au César du meilleur court-métrage 2021, Un Adieu de Mathilde Profit, est le premier film de cette réalisatrice issue de La Femis. Une œuvre touchante et personnelle, à travers laquelle, Mathilde Profit a tenu à rendre hommage à son père décédé. Format Court est allé à sa rencontre.
Le réalisateur Loïc Barché vient de connaître sa première nomination aux César. Son film L’Aventure atomique, le troisième produit par ses amis de Punchline Cinéma, est en lice pour le César du meilleur court-métrage 2021. Format Court est allé à sa rencontre où, en dehors du nucléaire, il a été question de l’Algérie, des Trente Glorieuses, mais aussi des… vélibs et des Playmobil.
Elle a réalisé Je serai parmi les amandiers, un court franco-belge nommé aux César 2021 (verdict ce vendredi). Il joue dans son film. Marie Le Floc’h est une cinéaste française. Jalal Al Tawil est un acteur syrien. Installés à Bruxelles, ils discutent autour d’un thé noir de liberté, de geste politique, d’instinct, et de graines à retrouver.
Format Court a rencontré la réalisatrice franco-marocaine Sofia Alaoui. Son dernier film Qu’importe si les bêtes meurent a obtenu le César du Meilleur Court-Métrage 2021. On évoquera notamment le poids des dogmes, la liberté de penser, sa vision du cinéma ou encore l’influence du documentaire dans la mise en scène.
Jeanne emmène sa fille en weekend à Majorque, mais se préoccupe surtout de photographier la peluche mascotte de la classe. De plus, des soucis financiers font surface.
Réal. : Alexe Poukine
Fiction, 39′, 2020
France, Belgique
Comment le monde peut-il être aussi dur que doux ? Dans la violence, Alexe Poukine trouve toujours la tendresse. Son film Palma, récompensé ce weekend du Prix Spécial du Jury national au festival de Clermont-Ferrand, en témoigne…
Après avoir été sélectionné au TIFF et au dernier Festival de Clermont-Ferrand, Yandere fait partie des courts-métrages présélectionnés aux César 2021. Le court-métrage de William Laboury raconte le parcours de Maïko, la petite amie holographique de Tommy qui va voir ce dernier la quitter pour une fille bien réelle.
Il y a maintenant un mois se clôturait l’édition 2020 du festival de Cannes, l’occasion idéale de découvrir David, un court métrage réalisé par l’Américain Zach Woods. Sélectionné en compétition officielle du festival et retenu aussi en compétition internationale au prochain Festival de Clermont-Ferrand, David est le tout premier court métrage réalisé par Zach Woods, connu notamment pour ses rôles dans diverses séries comiques à succès comme The Office ou encore Silicon Valley.
David a besoin d’aide.
Réal. : Zachary Woods
Fiction, 12′, 2020
États-Unis
Synopsis : Éloigné de celle qu’il aime depuis quatre-vingt-deux jours, Adam est prêt à tout pour braver la distance qui les sépare.
Genre : Fiction
Durée : 15′
Pays : France / Egypte
Année : 2020
Réalisation : Sameh Alaa
« Je crains d’oublier ton visage » : c’est autour de cette peur que ce court-métrage de Sameh Alaa, Palme d’or à Cannes 2020, est construit. Son précédent film Fifteen (2017) avait été sélectionné en Première Mondiale au Festival de Toronto 2017 (section Shorts Cuts). Le réalisateur égyptien nous livre à nouveau un film sobre, qui nous fait suivre le parcours d’Adam, bien décidé à rendre un dernier hommage à la femme qu’il aime.
Un homme se rase méticuleusement, peu à peu il se coupe. Un bain de sang finit par se répandre dans cette salle de bain d’une blancheur éclatante.
Réal. : Martin Scorsese
Fiction, 5’10’, 1967
États-Unis
Un jeune homme reçoit un appel d’un mystérieux garçon fantomatique.
Fiction, 02’59 », Japon, 1998
Réal. : Takashi Shimizu
Synopsis : Deux écolières sont victimes d’un horrible fantôme.
Fiction, 03’24 », 1998, Japon
Réal. : Takashi Shimizu
Une petite fille aux longs cheveux noirs et à la robe déchirée, l’œil révulsé, rampe au dehors d’un puits. Ses os craquent, ses membres s’agitent, désarticulés, en une chorégraphie macabre. Inéluctablement, le spectre progresse, à travers la télévision, vers sa futur victime…
Une bande de 4 adolescentes mettent au point un plan secret, nom de code : « Lick the Star », objectif : empoisonner les garçons.
Fiction, 14′, 1998
États-Unis
L’adolescence est un thème amplement représenté dans le cinéma, s’appuyant trop souvent sur une projection de clichés, de stéréotypes et d’imaginaires sociaux infidèles à la réalité. Elle renvoie à cet âge trop lointain des adultes, dont il est plus simple de ne retenir que la superficialité et la légèreté.
En 1981, la bande-dessinée franco-belge connaît son âge d’or. La science-fiction et la fantaisie ont le vent en poupe. Bilal, Bourgeon, ou les frères Schuiten se révèlent les uns après les autres. Mœbius et Jodorowsky publient le premier tome de L’Incal, RanXerox montre enfin le bout de sa carcasse cybernétique, et Loisel planche déjà, avec Le Tendre, sur ce qui deviendra La Quête de l’Oiseau du Temps.
Réal. : Lynne Ramsay
Fiction, 11′, 1996
Royaume-Uni