« Skunk » est un court métrage de fin d’études écrit et réalisé par Annie Silverstein de l’université d’Austin au Texas, présenté à la Cinéfondation, section compétitive du festival de Cannes qui regroupe des films issus de différentes écoles de cinéma à travers le monde.
Difficile de ne pas remarquer le formidable « Guy Moquet » parmi les pâles courts sélectionnés à la Quinzaine des Réalisateurs cette année. Avec cette histoire d’amour, de fierté et de jugement entre des jeunes Noirs de banlieue, Demis Herenger se singularise et nous offre un pur moment de cinéma.
Aïssa est une jeune fille congolaise en situation irrégulière. À partir de ce pitch du deuxième film de Clément Tréhin-Lalanne en compétition officielle au 67e Festival de Cannes, on imagine que l’on va encore avoir affaire à un énième film sur les sans-papiers. Pourtant, le point de vue du réalisateur est bien différent de ce que l’on a pu voir auparavant.
Info cannoise. Des Master class dédiées à l’univers du cinéma sont organisées pendant le festival, en partenariat avec WeLoveWords et le Short Film Corner, sur la plage Ciné-Guinguette, située en face du Grand Hôtel.
À l’origine, la Suissesse Jenna Hasse est comédienne et sait comment diriger les acteurs. Dans son premier film, « En Août » en sélection à la Quinzaine des Réalisateurs, l’interprétation de David Lemoine dans le rôle du père et de Clarisse Moussa dans celui de sa petite fille, est excellente.
Cette année, la Cinéfondation a choisi 16 titres parmi 1631 films présentés par les écoles de cinéma du monde entier. Sur ces 16 films en compétition, trois nous parviennent d’écoles françaises dont il n’est plus la peine de faire la réputation tant elles sont représentées dans la grande majorité des plus grands festivals. Il s’agit de La fémis, Supinfocom Arles et Le Fresnoy.
Cannes 2014, c’est parti ! Du 14 au 25 mai, l’évènement le plus suivi après la Coupe du Monde accueille pendant dix jours des films, des stars, des anonymes, des pros, des curieux, mais aussi des films, bons et mauvais, courts et longs. Format Court suit le mouvement, embarque ses tongs et son parapluie et vous propose au jour le jour sa couverture du festival, côté courts bien évidemment.
Cannes 2014, c’est parti ! Du 14 au 25 mai, l’évènement le plus suivi après la Coupe du Monde accueille pendant dix jours des films, des stars, des anonymes, des pros, des curieux, mais aussi des films, bons et mauvais, courts et longs. Format Court suit le mouvement, embarque ses tongs et son parapluie et vous propose au jour le jour sa couverture du festival, côté courts bien évidemment.
Dernière sélection de Cannes, celle de la Quinzaine des Réalisateurs. Ce matin, la conférence de presse a dévoilé les 11 titres des courts métrages retenus par la section parallèle.
La Cinéfondation a choisi seize films (14 fictions et 2 animations) parmi les 1631 qui ont été présentés cette année par les écoles de cinéma du monde entier. Le champ d’investigation s’étend encore cette année, avec 38% d’écoles en sélection pour la première fois ainsi qu’un pays, l’Egypte, jamais représenté auparavant. Autre bonne nouvelle ; plus de la moitié des films de cette édition, 9 sur 16, ont été réalisés par des femmes. Les trois Prix de la Cinéfondation seront remis lors d’une cérémonie précédant la projection des films primés le jeudi 22 mai, salle Buñuel.
La sélection officielle des courts métrages a été dévoilée aujourd’hui en avant-première de la conférence de presse du 67e Festival de Cannes, prévue ce jeudi 17 avril 2014.
Après Jane Campion, Michel Gondry et Atom Egoyan, c’est au tour de Abbas Kiarostami de prendre la présidence du Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages du prochain festival de Cannes. Le réalisateur et scénariste iranien sera entouré de Noémie Lvovsky (France), Daniela Thomas (Brésil), Mahamat-Saleh Haroun (Tchad) et Joachim Trier (Norvège).
L’information est tombée ce matin. La réalisatrice, productrice et scénariste néo-zélandaise Jane Campion présidera le Jury du prochain Festival de Cannes (14-25 mai), succédant ainsi à Steven Spielberg l’an passé. Seule réalisatrice à s’être vu décerner la Palme d’or pour « La Leçon de Piano », en 1993, Dame Jane, comme l’appelle Gilles Jacob, n’a pas reçu une mais bien deux Palmes d’Or (la première lui a été remise pour son court métrage « Peel » en 1986) – cas unique dans l’histoire du Festival de Cannes.
Ce samedi 21 décembre, le Festival de Cannes participe au Jour le plus Court. Pendant 24h, visionnez en exclusivité la Palme d’or du court métrage et les films d’écoles primés à la Cinéfondation en 2013 sur le site du festival.
Le film « Que je tombe tout le temps ? » était en sélection à la Quinzaine des Réalisateurs lors du dernier Festival de Cannes. Il s’agissait de la deuxième sélection à Cannes pour le réalisateur Eduardo Williams (après « Pude ver un puma » à la Cinéfondation 2012) et presque d’une habitude pour le producteur Amaury Ovise (Kazak Productions) d’être pris à Cannes. Si les deux hommes se sont rencontrés il y a maintenant un an avec l’envie de travailler ensemble, de notre côté, nous avions très envie de les convier à un entretien croisé sur une des plages de la Croisette.
Après s’être posé des questions sur son avenir, Gudmundur Arnar Gudmundsson a travaillé dans la restauration avant de penser sérieusement au cinéma. Son film, « Hvalfjordur » (Le Fjord des Baleines), en compétition officielle à Cannes, était l’un de nos films favoris au dernier festival pour son esthétique (paysages islandais, visage angélique) et sa dureté (rapport à la mort, traitement de la solitude). Au final, le film a obtenu l’une des deux Mentions spéciales de Cannes (l’autre allant à « 37°4S » d’Adriano Valerio). Fin mai, nous rencontrions son auteur. Mi-juin, voici son entretien.
Parallèlement à « Safe » (Corée), la Palme d’Or du court métrage, deux films ont obtenu deux Mentions Spéciales au 66ème Festival de Cannes : « 37°4S » d’Adriano Valerio (France) et « Hvalfjordur » (Le Fjord des Baleines) de Gudmundur Arnar Gudmundsson (Danemark, Islande). Ce dernier nous invite dans un fjord reculé d’Islande à suivre la relation étroite de deux frères, Arnar et Ivar.
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs 2013, « Solecito » d’Oscar Ruiz Navia est un film lumineux, touchant et pertinent sur les relations amoureuses entre deux jeunes adolescents colombiens, Maicol et Camila. Construit en deux parties (entretiens face caméra/tournage extérieur), à la croisée du documentaire et de la fiction, ce court signé Oscar Ruiz Navia fait partie de notre séance spéciale Quinzaine des Réalisateurs, programmé jeudi 13 juin au Studio des Ursulines. Juste avant sa projection, nous vous invitons à en savoir plus sur « Solecito », en compagnie du réalisateur Oscar Ruiz Navia et du co-producteur français du film, Guillaume De Seille (Arizona Films), rencontrés tous deux à Cannes.
Présenté dans un des deux programmes de courts à la Quinzaine des Réalisateurs, « Solecito », de Oscar Ruiz Navia est un film à la frontière de la fiction et du documentaire. Partant du postulat que les hasards produisent de belles rencontres, le réalisateur Oscar Ruiz Navia laisse le destin choisir la trame de son film.
Présenté à Cannes dans le cadre de la compétition officielle cette année, le court métrage iranien « Bishtar Az Do Saat » (Plus de deux heures) d’Ali Asgari est une métaphore éloquente de la confrontation entre tradition et modernité dans le contexte d’un jeune Iran renaissant des cendres de la Révolution Twitter.