Archives par mot-clé : Belgique

B comme La Balançoire

B comme La Balançoire

Une station-essence autoroutière plantée entre deux-mondes, celui d’un père et celui d’une mère… L’histoire d’un petit garçon encombré d’une balançoire qu’il faudra bien fixer quelque part. C’est sa balançoire, à lui. Mais c’est où, chez lui, justement ?
Réal. : Christophe Hermans
Fiction, 18′, 2008
Belgique

Focus Festival du court métrage de Bruxelles

Focus Festival du court métrage de Bruxelles

Du 30 avril au 10 mai, avait lieu le 12ème festival du court métrage de Bruxelles. Pendant 10 jours, 250 films de moins de 30 minutes, répartis en de nombreuses séances, étaient proposés aux spectateurs et aux professionnels (acheteurs et programmateurs). Outre la compétition nationale (24 films belges) et internationale (56 films), la programmation avait misé sur le « off ».

P comme Le Pont

P comme Le Pont

Un homme et son fils vivent au sommet d’un pic escarpé. Le seul accès au monde extérieur se fait par un pont ; celui-ci étant détruit, les deux personnages sont entièrement isolés du reste de l’humanité. Le père a veillé à tenir son fils éloigné des réalités du monde des hommes. Mais une nuit, l’enfant aperçoit au loin, en bas de la falaise, une ville dont les lumières brillent. Il devient alors fasciné par cette ville, dont son père veut le préserver à tout prix.

Réal. : Vincent Bierrewaerts
Animation, 14′, 2007
Belgique, France

E comme l’Évasion

E comme l’Évasion

Un homme est en prison. Son compagnon de cellule est torturé jusqu’à la mort. Quand ses geôliers viennent le chercher à son tour, il parvient à s’enfuir dans l’enceinte du bâtiment. Geste désespéré car il s’agit d’un vrai labyrinthe. Il échappe pourtant à ses poursuivants jusqu’au toit du bâtiment. Du haut des miradors, un militaire le tient en joue. Là il exprime devant eux toute la mesure de sa liberté.
Réal.: Arnaud Demuynck
Animation, 10′, 2007, France, Belgique

Il neige sur Liège…mais y’a des poules… Petit billet d’humeur sur le court métrage belge à Anima

Il neige sur Liège…mais y’a des poules… Petit billet d’humeur sur le court métrage belge à Anima

Certes, c’est la crise, le réchauffement de la planète, la catastrophe écologique, les émeutes de la faim, la guerre en Irak, au Darfour, au Congo, à Madagascar, en France (ben oui, les amis, en France aussi !)… Certes, certes, certes ! Et quand bien même, pas un seul des courts métrages belges d’animation présentés à Anima cette année ne s’ancrait dans le réel de nos jours difficiles – « Persepolis » est loin des préoccupations de notre plat pays dirait-on -, la plupart de ces films pourtant, étaient tristes, mais d’un triste ! – version condition de l’homme moderne, ab abstracto, entre solitude, folie, isolement, dérèglement, absurde…

J comme Jazzed

J comme Jazzed

À la tombée de la nuit, Jack quitte son appartement. Au club de jazz du coin, il rencontre une très jolie jeune femme, Jill. Ils prennent un verre ensemble… Jack se noie dans son regard… Elle l’entraîne à l’extérieur de la ville, dans une folle virée nocturne qui les amènent aux portes d’un cimetière.
Réal. : Anton Setola
Animation, 7′, 2008
Belgique, France

D comme Dji vou veu volti

D comme Dji vou veu volti

Sous le balcon de sa belle, un troubadour vient chanter sa romance en wallon. Soudain, le sous-titre du film, excédé par les paroles niaises de la chanson, se rebelle contre autant de guimauve. Jusqu’à ce qu’il tombe, lui aussi, sous le charme de la belle.
Réal. : Benoît Féroumont
Animation, 12’48”, 2007
Belgique

S comme Suzanne

S comme Suzanne

Suzanne, 37 ans, travaille dans une usine de moutarde. Aujourd’hui, tout au long de la journée de travail à la chaîne, elle va recevoir des messages SMS d’un inconnu. Des messages qui la flatte, qui l’invite, qui la déstabilise.
Réal.: Julien Monfajon, Baptiste Janon
Fiction, 11’05’’, 2008
Belgique

Domino de Sandy Claes

Domino de Sandy Claes

Créé et présenté dans le cadre du Festival International du Court Métrage de Louvain de 2007, « Domino » retrace, en moins de deux minutes, le mécanisme de l’animation et du cinématographe. Sous son aspect simple, se cache un jeu sémantique sophistiqué. La forme rectangulaire du domino sert de cadre pour une série de plans dessinés, tel un flip-book. À l’instar de l’effet domino et conformément au jeu de hasard, défile une succession bruyante de formes aléatoires (dominos, homme, ballon, arbre…) pour créer une animation quasi fantasmagorique.