V comme La Vie parisienne

V comme La Vie parisienne

Un couple, Pierre et Marion, parisiens, enseignants tous les deux, ont une existence bien réglée. Une vie rassurante et peut-être un peu… monotone. Au cours d’une sortie au square, Pierre et Marion rencontrent Rémi, un ancien camarade de CE2 de Marion. A l’époque, Rémi et Marion étaient amoureux l’un de l’autre. Que reste-t-il de ce sentiment vingt ans plus tard ? La vie de Pierre et Marion, jusque là tranquille et sans surprise, s’éclaire d’un jour nouveau.
Réal. : Vincent Dietschy
Fiction, 34’30 », 2011, France

B comme Bagni 66

B comme Bagni 66

Comme tous les étés, Elio rejoint son père en Italie pour l’aider à gérer le petit établissement balnéaire familial, le BAGNI 66, situé sur la côte adriatique. Mais les temps de crise et les conflits permanents ont usé le vieux plagiste qui ne tarde pas à faire part à son fils de sa volonté de céder le petit commerce.
Réal. : Diego Governatori , Luca Governatori
Fiction, 54′, 2011
France

Le Cri du homard de Nicolas Guiot

Le Cri du homard de Nicolas Guiot

Lauréat du Prix du Premier Film au Festival de Brest et Prix du Meilleur Court métrage de fiction à Média 10-10 à Namur, « Le Cri du homard » de Nicolas Guiot, dont on ne compte plus les récompenses glanées au gré des sélections festivalières, est également nominé pour le prestigieux César ainsi que pour le Magritte, du Meilleur Film de Court Métrage. Un succès qui se justifie pleinement tant la réalisation de ce court belge relève d’une certaine virtuosité.

Franck Dion : « En écrivant « Edmond était un âne », je me demandais qui ça allait intéresser, et pourtant, j’avais envie de la raconter, cette histoire »

Franck Dion : « En écrivant « Edmond était un âne », je me demandais qui ça allait intéresser, et pourtant, j’avais envie de la raconter, cette histoire »

Fasciné par le personnage et l’imagination sans limite, Franck Dion est l’auteur de trois films, « L’inventaire fantôme », « Monsieur Cok » et récemment « Edmond était un âne ». Dans une brasserie parisienne, il revient longuement sur ses débuts, ce qui l’anime et son dernier film.

Edmond était un âne de Franck Dion

Edmond était un âne de Franck Dion

Pour ceux qui s’intéressent à la diffusion des films, « Edmond était un âne » est un film d’animation qui a entamé sa carrière à Annecy où il a remporté le Prix spécial du Jury. Quelques jours plus tard, nous l’avons montré à notre séance Format Court, en présence de son auteur, Franck Dion. Depuis, le film a été l’un des cinq nominés au Cartoon d’Or, il a remporté le Prix Beaumarchais au Festival Court Métrange et il a ses chances au prochain César de l’animation. Dans les jours à venir, le film sera présenté aux festivals de Vendôme et de Bruz.

E comme Edmond était un âne

E comme Edmond était un âne

Edmond n’est pas comme les autres. Petit homme discret, marié à une femme attentionnée et employé efficace, il n’en ressent pas moins pleinement sa différence. Lorsque des collègues, par moquerie, l’affublent d’un bonnet d’âne, il a soudainement la révélation de sa vraie nature… et s’il semble s’épanouir dans sa nouvelle identité, celle-ci creuse toutefois entre lui et les autres un fossé d’incompréhension, qui va s’élargissant jusqu’à devenir infranchissable.
Réal. : Franck Dion
Animation, 15’04 », 2012
France

M comme Monsieur Cok

M comme Monsieur Cok

Monsieur Cok est le propriétaire d’une grande usine de fabrication d’obus. Sa passion pour le rendement et son goût du profit le conduisent à remplacer ses employés par des automates très perfectionnés. Résignés, les anciens ouvriers assistent impuissants au labeur de leur remplaçants mécaniques.
Réal. : Franck Dion
Animation, 9’47 », 2007
France

I comme L’ inventaire fantôme

I comme L’ inventaire fantôme

L’huissier Soms se rend chez un vieil homme qui collectionne les souvenirs dont plus personne ne veut. Dans l’appartement vide et misérable le fonctionnaire ouvre une porte dérobée et découvre un grenier gigantesque où sont entreposés des milliers d’objets. L’huissier entreprend alors un étrange inventaire…
Animation, 9′, 2004
France

Compétition internationale au FIFF 2012. Portraits de la jeunesse francophone

Compétition internationale au FIFF 2012. Portraits de la jeunesse francophone

Au FIFF cette année, pas moins de 11 films sur les 13 en compétition internationale traitaient explicitement de la jeunesse et des questions de quête d’identité, d’exploration de soi et de prise de conscience s’y rapportant. La sélection impressionnante par sa qualité a su mettre à l’honneur un sujet délicat et difficile à maîtriser. A l’heure actuelle où les multiples crises sociopolitiques, économiques et environnementales nous menacent, il est plus que nécessaire de nous interroger sur la place qu’occupe la génération de demain dans le monde d’aujourd’hui et sur l’avenir que nous leur léguons.

Palmarès, festival Paris Courts Devant 2012

Palmarès, festival Paris Courts Devant 2012

Dimanche, s’est clôturé au le 8ème festival Paris Courts Devant, au Cinéma des Cinéastes. Voici les films distingués par le Jury officiel (Radu Mihaileanu, Thierry Jousse, Corinne Bernard, Artus de Penguern, Guillaume Rieu, Christine Citti, Angèle Paulino) et le Jury presse (Leonard Haddad/Technikart, Gauthier Jurgensen/Allociné, Charles-Pierre Vallière/France Musique, Stéphane Bou/France Inter et Katia Bayer/Format Court).

Paris Courts Devant, les sélections en compétition

Paris Courts Devant, les sélections en compétition

Paris Courts Devant, le festival « des films courts qui avancent », commence ce soir, au Cinéma des Cinéastes, avec la programmation « Si loin, si proche » (19h45). Différentes sections proposent bon nombre de films en compétition, dont voici les titres. Format Court, présent dans le Jury presse, vous livrera dans les jours à venir son propre regard sur cette huitième édition.

Emma de Swaef. Créer son propre monde, susciter la curiosité et installer le yéti sur le sofa

Emma de Swaef. Créer son propre monde, susciter la curiosité et installer le yéti sur le sofa

Emma de Swaef est la co-réalisatrice du mystérieux et textile « Oh Willy… », Grand Prix du festival Silhouette et Cartoon d’Or (meilleur film d’animation européen) 2012. Avec Marc Roels, repéré il y a quelques années pour son atypique et absurde « Mompelaar », elle fait des films où il est question de marionnettes, de douceur, de fantastique et de monde parallèle. Rencontre à Malines, en Belgique, au studio Beast Animation où Emma tourne actuellement une publicité et où demeurent quelques restes de « Oh Willy… ».

3 Dni Wolności (3 jours de liberté) de Lukasz Borowski

3 Dni Wolności (3 jours de liberté) de Lukasz Borowski

On a beau être parti en vacances, l’effet d’un film montré au festival Silhouette, il y a près de trois semaines, n’est pas resté à Paris. Si les films en compétition, les plus suivis, bénéficient des premières pages du catalogue, les programmations clips, hybrides et documentaires sont reléguées aux dernières pages. Et c’est regrettable tant un film comme « 3 Dni Wolności » (3 jours de liberté, page 47) de Lukasz Borowski vaut la peine d’être mis en avant.

Documentaire sur grand écran

Documentaire sur grand écran

Créée il y a environ 20 ans, l’association Documentaire sur grand écran (DSGE) s’est donné pour mision de défendre le cinéma documentaire à une époque où il était trop peu visible. Peu à peu, ses objectifs se sont adaptés aux changements technologiques et médiatiques. Documentaire sur grand écran s’est ainsi ouvert à la distribution, à la programmation et à l’édition DVD à travers ses “Collections particulières” qui regroupent un choix ciblé de films rassemblés selon un concept précis, mêlant sujets forts et vision artistique du monde.