Locarno 2019, compte-rendu

Locarno 2019, compte-rendu

Alors que Venise bat encore son plein, Format Court revient sur la 72ème édition de Locarno qui vient d’avoir lieu du 7 au 17 août 2019. Locarno, situé dans le Tessin en Suisse italienne, est connu pour son Lac Majeur, ses montagnes magnifiques, ses projections en plein air sur l’écran géant de la Piazza Grande (la grand place, au coeur de la ville, qui peut accueillir jusqu’à 8.000 spectateurs), ses différents directeurs artistiques, son goût pour le cinéma d’auteur et son attention accordée à la relève.

Short Screens #80 : Je, tu, il, elle

Short Screens #80 : Je, tu, il, elle

Qui suis-je ? Réponse à dimension variable et plurielle. La quête de l’identité sous de multiples formes occupe le devant de la scène lors de cette 80ème séance de Short Screens. Pas moins de 8 courts métrages issus d’univers et styles différents nous emmènent à la découverte de soi et de l’autre.
Rendez-vous le jeudi 29 mars à 19h30, au cinéma Aventure, Galerie du Centre, Rue des Fripiers 57, 1000 Bruxelles

Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 9 mars 2017

Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 9 mars 2017

Format Court a le plaisir de vous inviter le jeudi 9 mars 2017 à 20h30 à sa nouvelle soirée de courts-métrages au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Cette projection mettra en avant cinq films français, britanniques et croates (documentaires, fictions, animations) sélectionnés et primés en festivals, en présence de deux équipes, dont « Vers la tendresse » d’Alice Diop, Cesar du Meilleur Court Métrage 2017 ex aequo.

Reizegers in de nacht de Ena Sendijarević

Reizegers in de nacht de Ena Sendijarević

Si Muybridge et Marey, tous deux nés et morts aux mêmes dates (1830-1904), décomposent le mouvement des corps humains et des animaux, c’est avant tout pour comprendre scientifiquement, mais non sans conséquence poétique, la subtilité invisible d’un déploiement. Et puis les démarches du cinématographe naissant entérinent la possibilité de restituer par le défilement, à l’aide de perforations, le temps donné d’un geste. S’ensuit un triple étirement : celui du cadre (dévoyant la profondeur pour l’horizontalité), puis celui du temps filmé (substituant au plan fixe la menace d’un travelling infini) et enfin celui de l’expérience du spectateur (passant de la série enchaînant les sketchs spectaculaires à l’exploration d’une intimité vécue dans sa continuité). Mais il ne faut pas voir dans cette généalogie une quelconque résolution des contrastes.

A comme L’Amour bègue

A comme L’Amour bègue

Tim a 23 ans. Il est intelligent, plutôt beau garçon mais il est bègue. Séduire une fille est un calvaire pour lui. Poussé par son ami, il va tenter de décrocher le graal – Victoria, une jolie fille qu’il croise à la boxe. Mais Tim est incapable d’aligner deux mots correctement.
Réal. : Jan Czarlewski
Fiction, 20′, 2012
Suisse

Babelle/ trois courts métrages/au Balzac

Babelle/ trois courts métrages/au Balzac

Trois films, trois histoires, trois femmes perdues dans la ville. Voici Babelle, un projet né d’une rencontre entre trois courts métrages : “Ata”, de Cagla Zencirci et Guillaume Giovanetti (2007, 26′) “Taxi Wala”, de Lola Frederich (2007, 16′), et “Corps étrangers”, de Naël Marandin (2007, 20′). Individuels à l’origine, ils sont réunis le temps d’une projection à Paris. Plus qu’une juxtaposition de trois métrages, ils se répondent, par leurs côtés intimes, personnels, et féminins.