Alessandro Marcionni. L’urgence, le besoin de raconter

Alessandro Marcionni. L’urgence, le besoin de raconter

Lors du dernier festival de Locarno, nous avons rencontré Alessandro Marcionni. Responsable des Pardi di domani -un programme qui s’intéresse à la découverte de nouveaux talents-, il a choisi de nous parler du court métrage, de sa place au sein du festival, ainsi que du public, toujours plus curieux et avide de découvertes visuelles. Explications.

Locarno 2011

Locarno 2011

Après Cannes et avant Venise, le festival de Locarno, 64 ans d’âge, célèbre le cinéma d’auteur pendant une dizaine de jours en été. La petite ville suisse italienne propose bon nombre de films, répartis en une dizaine de sections. Côté court métrage, le festival met en avant des films de personnalités reconnues du milieu (« Corti d’Autore”) comme des films plus expérimentaux (« Corti d’artista »).

L’Etrange Billet N°4

L’Etrange Billet N°4

Aujourd’hui, exercice de style pour Joe Tunmer et la BBC, avec un “Lip Dub domestique” sur un standard de jazz, Conversation Piece de Rex Stewart. Pendant ce temps, une jeune équipe d’animateurs français crée l’entreprise Telegraphics qui, à force d’expérimentations sur la matière, se trouve capable de reproduire l’ensemble des éléments qui constituent la réalité…

Koji Yamamura : « À chaque film, je m’attache au fait que l’acte de création peut avoir du sens et m’apprendre quelque chose sur ma propre existence »

Koji Yamamura : « À chaque film, je m’attache au fait que l’acte de création peut avoir du sens et m’apprendre quelque chose sur ma propre existence »

Poétiques sont ses films, prolifique est son œuvre. De passage à Paris cet été, Koji Yamamura, peut s’enorgueillir d’avoir un long travail en court derrière lui. Dialogue franco-japonais autour de la création et de la découverte avec l’auteur de « Mon chef » (Atama Yama, en V.O.), lauréat du Grand Prix d’Annecy en 2003.

Yamamura et la polyvalence de l’animation japonaise

Yamamura et la polyvalence de l’animation japonaise

Directeur d’animation japonais de renom, Koji Yamamura parvient à créer dans chacun de ses films un univers singulier et captivant. Même ses nombreux films de commande destinés aux jeunes spectateurs interpellent les adultes, évoquant tout l’émerveillement et la nostalgie de l’enfance. Ses autres courts, plus personnels, relèvent la marque d’un artiste qui sait narrer à travers l’image. Quelques illustrations.

Les aventures formelles de Koji Yamamura

Les aventures formelles de Koji Yamamura

En juin, pendant le Festival d’Annecy les antennes de Format Court glanaient un nom mystérieux au détour d’un déjeuner à base de salade et de melon. Koji Yamamura, animateur japonais de renom, dont le dernier film, « Les Cordes de Muybridge » n’avait pas été retenu par le comité de sélection d’Annecy, allait être en France pendant l’été, au Festival de la Rochelle, à l’occasion d’un hommage en son honneur, et à l’Abbaye de Fontevraud dans le cadre d’un Grand Atelier ouvert à tous. Un brin de curiosité et une occasion plus tard, une rencontre avec Koji Yamamura put avoir lieu à Paris avant son retour au Japon. Focus exclusif.

Croq’Anime, les moments forts

Croq’Anime, les moments forts

Format Court aime, Format Court soutient. Croq’Anime lance son 4ème festival international de courts métrages d’animation, le Festival Croq’Anime, les 9,10 et 11 septembre 2011 au Théâtre de Menilmontant dans le 20ème arrondissement de Paris. Ce festival unique en son genre à Paris, gratuit et ouvert à tous propose pendant 3 jours une programmation riche et audacieuse sous les fabuleuses teintes du cinéma d’animation. Soirées spéciales avec présence des réalisateurs et producteurs, expositions, ateliers d’initiation… ? Demandez le programme.