Festival pointdoc, prolongation des inscriptions

Festival pointdoc, prolongation des inscriptions

Le Festival poindoc prolonge son appel à films documentaires d’auteur au 29 octobre 2011. Il vous reste donc un peu plus d’un mois pour nous envoyer vos créations selon les deux catégories proposées :

@ Films jamais diffusés (quelle que soit son année de réalisation)
@ Premières créations (réalisées à partir du 1er janvier 2009).

Jan Czarlewski. Comment j’ai provoqué mon père

Jan Czarlewski. Comment j’ai provoqué mon père

Jan Czarlewski est le grand vainqueur des Léopards de demain : il a reçu le Pardino d’or pour son court documentaire « L’Ambassadeur & moi ». Filmant son père, ambassadeur de Pologne, durant plusieurs jours dans les hauts lieux de la diplomatie, il revient sur les rapports houleux qu’il a entretenus avec lui et le besoin qu’il a éprouvé de se rapprocher de l’homme intime à travers le prisme du cinéma. Rencontre.

A comme L’Ambassadeur & moi

A comme L’Ambassadeur & moi

Son excellence, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Pologne auprès du Royaume de Belgique a consacré toute sa vie à son pays. En contrepartie, il n’a jamais vraiment eu de temps pour moi, son fils. A Bruxelles, je viens passer quelques jours avec lui afin d’essayer de rattraper le temps perdu.
Réal. : Jan Czarlewski
Documentaire, 15′, 2011
Suisse

Carmen Jaquier. Entre féminité partagée et langue commune

Carmen Jaquier. Entre féminité partagée et langue commune

Carmen Jaquier a reçu le Pardino d’argent au dernier festival de Locarno. Jeune réalisatrice suisse, elle nous raconte les destinées de deux sœurs dans « Le tombeau des filles ». Partageant la même chambre, elles découvrent, à leur rythme, ce que recouvre le terme de féminité. A partir de quel moment peut-on s’affirmer femme ? Agnès Varda, à travers des témoignages de la gent féminine, y apportait déjà quelques réponses en 1977…dans un court-métrage, « Réponse de femmes ».

Alessandro Marcionni. L’urgence, le besoin de raconter

Alessandro Marcionni. L’urgence, le besoin de raconter

Lors du dernier festival de Locarno, nous avons rencontré Alessandro Marcionni. Responsable des Pardi di domani -un programme qui s’intéresse à la découverte de nouveaux talents-, il a choisi de nous parler du court métrage, de sa place au sein du festival, ainsi que du public, toujours plus curieux et avide de découvertes visuelles. Explications.

Locarno 2011

Locarno 2011

Après Cannes et avant Venise, le festival de Locarno, 64 ans d’âge, célèbre le cinéma d’auteur pendant une dizaine de jours en été. La petite ville suisse italienne propose bon nombre de films, répartis en une dizaine de sections. Côté court métrage, le festival met en avant des films de personnalités reconnues du milieu (« Corti d’Autore”) comme des films plus expérimentaux (« Corti d’artista »).

L’Etrange Billet N°4

L’Etrange Billet N°4

Aujourd’hui, exercice de style pour Joe Tunmer et la BBC, avec un “Lip Dub domestique” sur un standard de jazz, Conversation Piece de Rex Stewart. Pendant ce temps, une jeune équipe d’animateurs français crée l’entreprise Telegraphics qui, à force d’expérimentations sur la matière, se trouve capable de reproduire l’ensemble des éléments qui constituent la réalité…

Koji Yamamura : « À chaque film, je m’attache au fait que l’acte de création peut avoir du sens et m’apprendre quelque chose sur ma propre existence »

Koji Yamamura : « À chaque film, je m’attache au fait que l’acte de création peut avoir du sens et m’apprendre quelque chose sur ma propre existence »

Poétiques sont ses films, prolifique est son œuvre. De passage à Paris cet été, Koji Yamamura, peut s’enorgueillir d’avoir un long travail en court derrière lui. Dialogue franco-japonais autour de la création et de la découverte avec l’auteur de « Mon chef » (Atama Yama, en V.O.), lauréat du Grand Prix d’Annecy en 2003.

Yamamura et la polyvalence de l’animation japonaise

Yamamura et la polyvalence de l’animation japonaise

Directeur d’animation japonais de renom, Koji Yamamura parvient à créer dans chacun de ses films un univers singulier et captivant. Même ses nombreux films de commande destinés aux jeunes spectateurs interpellent les adultes, évoquant tout l’émerveillement et la nostalgie de l’enfance. Ses autres courts, plus personnels, relèvent la marque d’un artiste qui sait narrer à travers l’image. Quelques illustrations.

Les aventures formelles de Koji Yamamura

Les aventures formelles de Koji Yamamura

En juin, pendant le Festival d’Annecy les antennes de Format Court glanaient un nom mystérieux au détour d’un déjeuner à base de salade et de melon. Koji Yamamura, animateur japonais de renom, dont le dernier film, « Les Cordes de Muybridge » n’avait pas été retenu par le comité de sélection d’Annecy, allait être en France pendant l’été, au Festival de la Rochelle, à l’occasion d’un hommage en son honneur, et à l’Abbaye de Fontevraud dans le cadre d’un Grand Atelier ouvert à tous. Un brin de curiosité et une occasion plus tard, une rencontre avec Koji Yamamura put avoir lieu à Paris avant son retour au Japon. Focus exclusif.