W comme The Werepig
Deux Américains vont en Espagne et découvrent une nouvelle façon de manger ou de se faire manger.
Réal. : Sam
Animation, 17′, 2008
Espagne
Deux Américains vont en Espagne et découvrent une nouvelle façon de manger ou de se faire manger.
Réal. : Sam
Animation, 17′, 2008
Espagne
Encarna est une femme de ménage au bord de la crise de nerfs.
Réal. : Sam
Animation, 9’33 », 2003
Espagne
Alfredo est mort sans avoir révélé à sa femme la cachette d’une fabuleuse fortune gagnée à la loterie. Vicenta a cherché partout, en vain ; sa dernière chance est de demander à son mari décédé. Ramener les morts à la vie n’a jamais été chose facile, mais avec l’aide de son neveu tout est possible.
Réal. : Sam
Animation, 22′, 2010
Espagne
Qu’ont en commun Pedro Almodóvar et Peter Lord ? Pas grand chose a priori et pourtant, c’est bien à eux que l’on pense quand on découvre les films de Samuel Orti Marti (dit Sam), l’un des maîtres de la pâte à modeler. Au premier, il emprunte le côté folklorique et au second, la technique. Le Festival Anima qui met l’Espagne à l’honneur, n’allait pas faire l’impasse sur cet ingénieux hidalgo de l’animation ibérique.
Une vieille femme vit seule dans sa ferme en attendant que la Mort l’amène auprès de son défunt mari. Une nuit pendant le sommeil, la Mort l’invite à la rejoindre. Alors qu’elle est sur le point de revoir son mari, la vieille femme se réveille dans la salle d’urgence d’un hôpital.
Réa: Javier Recio Gracia
Animation, 8′, 2009
Espagne
Une terrible catastrophe industrielle va bouleverser la vie de la petite Dinki à jamais.
Réa: Alberto Vázquez et Pedro Rivero
Animation, 13 min, 2010
Espagne
Pommades, élixirs et potions. Enriqueta et Ramoneta vous serviront avec discrétion, réserve et éducation, rue de Ponent, numéro 17A , Barcelone.
Réa: Marc Riba et Ana Solanas
Animation, 13 min, 2010
Espagne
Oh mon dieu, il y a une chose noire horrible et dégoûtante dans le coin … mais est-ce bien vrai que tu ne la vois pas ?
Réal: Zoe Berriatúa
Animation, 10′, 2011
Espagne
A la table des convives privilégiés du Festival Anima cette année, nous retrouvons le plus castillan des pays de la péninsule ibérique. L’Espagne s’offre une jolie mise en valeur avec deux programmes de courts métrages, des avant-premières de longs, un focus sur Sam Orti, l’un des maîtres de la pâte à modeler et une rétrospective consacrée au pionnier de l’animation espagnole, Segundo de Chomón.
Cette année encore, Anima donne beaucoup à voir et à découvrir. Pendant plus d’une semaine, les projecteurs des trois salles du Flagey tournent à plein régime pour offrir, une fois de plus, la crème de la crème. Anima 2012, ce sont, entre autres, huit programmes de courts métrages en compétition internationale, quinze nouveaux longs métrages internationaux, trois programmes de courts métrages belges inédits, mais bien plus encore. Anima met deux pays européens à l’honneur: la Suisse et l’Espagne.
8 mars prochain. Jour de la femme, deuxième jeudi du mois, Saint-Machin, … Mais aussi, première projection de courts métrages, organisée par Format Court au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Si l’envie vous prend de fuir la civilisation, de chercher l’inspiration dans un paquet de bonbons, d’occuper votre ancien lieu de travail, de vous mettre au nudisme et de mettre votre plus belle cape de magicien, cette séance est bel et bien pour vous.
Lorsqu’un chanteur d’opéra chante dans la rue enneigée et et froide, nous assistons à la rencontre entre un homme et une femme à travers des rideaux en dentelle. La musique est marquée par une tristesse, tout comme les émotions des personnages. Ceux-ci s’approchent tandis que le chanteur sombre dans une mélancolie.
Guy Maddin
Expérimental, 4″, 2004
Canada
Avec Louis Negin et ses Chochottes de Chippewa, 6 minutes qui montrent ce qui arrive lorsqu’on laisse les chochottes toutes seules. Un mélange de Three Stooges et de Kenneth Anger…
Réal. : Guy Maddin
Expériemental, 4′, Canada
1995
Par une étouffante après-midi d’été, de jeunes marins lascifs et désœuvrés paressent dans la torpeur d’une improbable jungle tropicale. Le vieil homme qui semble veiller sur cette joyeuse troupe s’absente pour faire quelques emplettes. Il n’en faut pas plus pour réveiller les instincts de ces vilains garçons… Malgré les recommandations du plus vieux d’entre eux ; à peine sortis de leur sommeil, ils sont soudain pris d’une furieuse envie de se gifler mutuellement ! S’en suit d’irrésistibles distributions de claques : une véritable Sissy Boy Slap Party.
« A trip to the Orphanage » (Voyage à l’orphelinat) fait partie de ces court métrages fascinants et énigmatiques dont la beauté poétique vous saisit à la gorge et vous coupe le souffle. En seulement quatre minutes, Guy Maddin parvient à nous propulser dans la puissance de son univers cinématographique. Entre vision onirique et force émotionnelle, le film nous mystifie par sa symbolique visuelle et la profondeur de sa dimension musicale.
Cinéaste culte originaire de Winnipeg (Canada), Guy Maddin revient en France avec une double actualité : la sortie événement en salles de son nouveau long métrage « Ulysse, souviens-toi !» (Keyhole en VO) et « Spiritismes », une proposition très alléchante qui consiste en une réalisation de 17 courts métrages en public, inspirés de scénarios de films « perdus » (Hitchcock, Von Stroheim, Lubitsch, etc.) et tournés avec des comédiens confirmés (Mathieu Amalric, Maria de Medeiros, Udo Kier, Géraldine Chaplin, Charlotte Rampling, André Wilms, etc.), du 22 Février au 12 Mars au Centre Pompidou.
Cette année, nous avons oublié de fêter notre anniversaire. Le 13 janvier est passé comme une boule dans le fil et nous n’avons rien vu. Peut-être parce que notre quotidien a changé, que l’agenda 2012 a eu du mal à nous trouver ou que nous récupérons encore du festival de Clermont-Ferrand.
Le héros (l’acteur Vincent La Torre) du court métrage « Love Collection », réalisé par Antoine Lhonoré-Piquet, vit de son métier de comédien et tente de survivre à sa cassure sentimentale : « Si, à moins de 40 ans, on n’a pas les moyens de s’offrir une puissante relation sentimentale, c’est qu’on a raté sa vie… » semble-t-il se dire. Préférant s’en sortir par lui-même plutôt que de s’en remettre aux services certifiés de l’émission de téléréalité « On n’est pas poussé », le héros choisit d’avoir trois maîtresses.
La 4ème édition de ce concours est lancée. Réalisateurs confirmés ou amateurs, envoyez vos courts-métrages de moins de 5 minutes (fiction, animation, expérimental ou documentaire) avant le 31 mai 2012. Après sélection, une vingtaine de films sera soumise tout l’été aux internautes, sur la plateforme ma-tvideo de France 3 à partir du mois de juin. Les 12 films les mieux notés passeront devant un jury de professionnels qui élira les 3 gagnants. Une diffusion sur France 3 dans l’émission Libre Court est à gagner.
Sélectionné en compétition nationale au Festival international de Clermont-Ferrand, « In Loving Memory » est le quatrième court métrage d’un homme de cinéma touche-à-tout qui aime travailler dans l’urgence et l’improvisation.