G comme Goodbye gift

Fiche technique

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Synopsis : Journée portes-ouvertes au club des femmes expatriées. Welcome to America. Autour de la mayonnaise et des petits fours, Hélène s’agite, furète, s’essaie à la conversation. Et Michael qui s’en va…

Genre : Fiction

Durée : 15’

Pays : Belgique

Année : 2009

Réalisation : Julien Monfajon

Scénario : Julien Monfajon

Images : Stéphane Boissier

Son : Marion Guillemette, Pierre Pinteaux

Montage image, son : Marie Beauné

Montage son et mixage : Maxime Vercruyssen, Quentin Wittner

Décor : Laurette Massant

Interprétation : Lara Persain, Davis Freeman, Emmanuelle Bonmariage

Production : IAD

Article associé : l’interview de Julien Monfajon

Côté Court #1 : Julien Monfajon

Après avoir co-réalisé « Suzanne » et avant de s’éloigner de l’IAD, Julien Monfajon a tourné « Goodbye Gift », un film plus basé sur le ressenti que la narration classique. Un an après « Suzanne », il retrouve sa comédienne, Lara Persain, précédemment mutine derrière une pomme rouge, dorénavant intimidée dans une cuisine américaine. Un samedi, avant de se rendre à Paris, il s’arrête devant une caméra, à Bruxelles.

L’interviewé

julien

Le film

Nominations – Lutins 2010

LISTE DES FILMS NOMINES

Films de fiction

L’année de l’Algérie de May Bouhada – La Luna Productions
Annie de Francia de Christophe Le Masne – Glaski Productions
Les astres noirs de Yann Gonzalez – Sedna Films
Bonne nuit de Valérie Rosier – Pétrouchka Films
C’est gratuit pour les filles de Marie Amachoukeli et Claire Burger – Dharamsala
Citizen versus Kane de Shaun Severi – Why us ?
Dans nos veines de Guillaume Senez – Les films Velvet
¿ Donde esta Kim Basinger ? de Edouard Deluc – Bizibi
L’endroit idéal de Brigitte Sy – Mezzanine Films
Faiblesses de Nicolas Giraud – Kazak Productions
Le genou blessé et l’homme debout de Yann Chayia – Les Films du requin
La harde de Kathy Sebbah – Ecce Films
L’Histoire de l’aviation de Balint Kenyeres – Bizibi
Icara de Alejandra Rojo – Ecce Films
Malika s’est envolée de Jean-Paul Civeyrac – Les Films du Bélier
Marcher de Jeanne Herry – Onyx Films
Montparnasse de Mikael Hers – Les Films de la Grande Ourse
La raison de l’autre de Foued Mansour – C’est à voir
La route du nord de Carlos Chahine – 13 Productions
Schéma directeur de Bernard Tanguy – Rezina Productions
Si seulement de Hélène Abram – La vie est belle Films Associés
Un transport en commun de Dyana Gaye – Andolfi
Vostok’ de Jan Andersen – Les rêves brisés d’Icare
Voyage autour de ma chambre de Olivier Smolders – Le Scarabée ASBL

Films d’animation

Dix de Bif – Autour de Minuit (animation – fiction)
L’homme à la gordini de Jean-Christophe Lie – Prima Linéa Productions
Madagascar, carnet de voyage de Bastien Dubois – Sacrebleu Productions
Malban de Élodie Bouedec – Les films Velvet
Le petit dragon de Bruno Collet – Vivement Lundi !

Le site des Lutins : www.leslutins.com/du_court_metrage/

P comme Pygmalion

Fiche technique

Synopsis : Un homme est attiré par la tentation d’être uni avec son obsession. Confronté à l’objet de son désir, pourrait-il se contrôler? Un conte de la lutte interne entre l’amour et le désir.

Genre : Animation

Durée : 5’

Pays : Belgique

Année : 2009

Réalisation :  Demian Albers

Scénario : Demian Albers

Musique : Jon Adamich

Son : Louk van Kalmthout, Marc Clements

Montage : Demian Albers

Production : APVIS, KASK

Article associé : l’interview de Demian Albers

Côté court #1 : Demian Albers

Diplômé depuis peu du département animation à la Kask (Gand), le Hollandais Demian Albers est l’auteur de « Pygmalion », un court explorant la relation complexe qui lie artiste et oeuvre. Face à la caméra, il raconte son parcours dans le monde de l’animation, ses études, ses inspirations, ses projets et son intérêt obsédant pour le thème de l’obsession. Entretien (progressivement) ensoleillé.

L’interviewé

demian

L’interview

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Le film en ligne

La fiche technique du film

César 2010 : Projection au Balzac des courts métrages sélectionnés

Très prochainement, le cinéma le Balzac, qui accueille le Goût du court, projettera l’intégralité des courts métrages sélectionnés pour les César 2010. Cela se passe les samedis 5 et 12 décembre, en matinée. Soyez (r)éveillés.

Samedi 5 décembre 2009 à 9h30

C’est gratuit pour les filles de  Claire Burger et Marie Amachoukeli / 23 min
Voyage autour de ma chambre de Olivier Smolders/ 26 min
Lila de Broadcast Club / 12 min
La raison de l’autre de Foued Mansour / 25 min
La harde de Kathy Sebbah / 21 min
Séance familiale de Cheng Chui Kuo / 28 min

Samedi 12 décembre 2009 à 9h30

Le Feu, le Sang, les Étoiles de Caroline Deruas / 15 min
Mei Ling de François Leroy et Stéphanie Lansaque / 15 min
Les Williams de Alban Mench/ 14 min
Montparnasse de Mikhaël Hers / 58 min
Masques de Jérôme Boulbes / 7 min
Dónde está Kim Basinger ? d’Edouard Deluc / 30 min

Infos : Le Balzac  : 1 rue Balzac (Paris 8e) www.cinemabalzac.com, info@cinemabalzac.com
Tarif unique : 5 euros (par séance)

Lien associé : César 2010 : les douze courts métrages en lice

Côté Court # 1 : Jérôme Guiot

Après avoir vu bon nombre de K7 vidéo, Jérôme Guiot s’est orienté vers la sociologie avant d’opter définitivement pour le cinéma. Pendant ses études en montage à l’INRACI, il co-écrit un scénario, celui de Retour simple qu’il pense monter, mais qu’il finit par réaliser. Tourné avec peu de moyens, son film traite d’éloignement, de différences, d’amour et de non-dits.

L’interviewé

Le film en ligne

La fiche technique du film

R comme Retour simple

Fiche technique

Synopsis : Marie, 24 ans, rentre en Belgique après un long voyage pour assister aux funérailles de son père.

Genre : Fiction

Durée : 20’

Pays : Belgique

Année : 2009

Réalisation : Jérôme Guiot

Scénario : Jérôme Guiot

Images : Pierre Gilles

Musique : Faustine Hollander, Jérôme Guiot

Son : Thibaud Rérolle

Montage : Jérôme Guiot

Production : Les Ateliers INRACI

Interprétation : Stéphanie Van Vyve, Gaël Maleux, Carole Trévoux, Cécile Brohez, Romain Clavareau, Brigitte Grandchamps, Audrey Coart, Albert Jeunehomme

Article associé : le film en ligne

Rencontres Henri Langlois, les 40 films d’écoles en compétition

Les titres sélectionnés

Anna de Runar Runarsson – fiction – Den Danske Filmskole – Danemark – 2009- 35’
Goodbye Mr Pink de Helen Piercy – Animation  -National Film and Television School – Royaume-Uni – 2009 – 10’
The Go-between (Posrednikat) de Dragomir Sholev – Fiction – National Academy for Theatre and Film Arts – Bulgarie – 2009 – 25’
Noche adentro de Pablo Lamar  – Fiction – Universidad del Cine – Argentine –2009 – 17’
La Chirola de Diego Mondaca Gutierrez – Documentaire – Escuela International de Cine y Television – Cuba – 2008 – 26’
Never drive a car when you’re dead de Gregor Dashuber – Animation – Hochschule für Film und Fernsehen Konrad Wolf – Allemagne – 2009 – 10’
Mexico de Olga Sitovotaky – Fiction – Tel Aviv University of TV and Film Department – Israël – 2008 – 32’
The Last Page de Kevin Acevedo – Fiction – Chapman University, Dodge College of Film and Media Arts – Etats-Unis – 2008 – 21’
Le Géomètre
(Maanmittari) de Kai Tuomola – Fiction – University of Lapland – Finlande – 2008 – 23’
Liebermans in the sky de Richard Vilensky – Fiction –  Australian Film Television and Radio School – Australie – 2008 – 18’
Cocon (Kokon) de Till Kleinert – Documentaire –  Deutsche Film und Fernsehakademie Berlin – Allemagne – 2009 – 7’
La Chanson des enfants morts (La Cancion de los niños muertos) de David Pablos – Fiction – Centro de Capacitación Cinematográfica – Mexique – 2008 – 42’
Sur le départ (Regila) de Asaf Saban – Fiction – Beit Berl Academic College of Arts – Israël – 2009 – 15’
Facteur mineur de Marc Czerwiec, Geoffrey Skrajewski, Arnaud Joli, François Ruiz – Animation – Supinfocom Valenciennes – France – 2008 – 6’
Mother of Exiles de Damian John Harper – Documentaire – Hochschule für Fernsehen und Film München – Allemagne – 2008 – 55’
Colchones de Lucía Garibaldi – Fiction – Escuela de Cine del Uruguay – Uruguay – 2009 – 15’
Away (Gaandeweg) de Margot Schaap – Fiction – Nederlandse Film en Televisie Academie – Pays-Bas – 2008 – 23’
Murder de Son Ye-eun, Kim Bong-seop, Nam Tack-woo, Moon Ye-joon, Ham Eun-sun – Animation – Kaywon School of Art & Design – Corée du sud – 2008 – 7’
Hazo Mena. Les Hommes du bois rouge de Federico Varrasso – Documentaire – Université Paris X – Nanterre – France – 2009 – 52’
Amoklove de Julia C. Kaiser – Fiction -Filmakademie Baden-Württemberg – Allemagne – 2008 – 10’
Der Die Das, The Amount of Small Things de Sophie Narr – Documentaire – Hochschule für Film und Fernsehen Konrad Wolf – Allemagne – 2008 – 92’
Echo de Magnus Von Horn – Fiction – Panstwowa Wyzsza Szkola Filmowa Telewizyjna i Teatralna – Pologne – 2009 – 14’
Samsa – Hommage à F. Kafka (Samsa – Hommage an Franz Kafka) de René Lange – Expérimental –  Hochschule für Film und Fernsehen Konrad Wolf – Allemagne -2008 – 5’
Elkland de Per Hanefjord – Fiction – Dramatiska institutet – Suède – 2008 – 58’
L’Électricien (The Electrician) de Miina Alajärvi – Fiction – Tampere University of Applied Sciences, School of Art and Media – Finlande – 2009 – 14’
Suzanne de Julien Monfajon, Baptiste Janon – Fiction –  Institut des Arts de Diffusion – Belgique – 2008 – 11’
Blackwater de Konstantinos Frangopoulos – Fiction – National Film and Television School – Royaume-Uni – 2009 – 30’
A Tear is Needed (Usnula Jsem) de Kristina Dufková – Animation – Film Akademie Muzickych Unemi – République Tchèque – 2009 – 19 min
Nurse Ines (Schwester Ines) de Christiane Lilge – Fiction – Deutsche Film und Fernsehakademie Berlin – Allemagne – 2009 – 27’
Ollo de Marc Héricher – Animation –  Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs – France – 2008 – 15’
Pour Miriam (Für Miriam) de Lars-Gunnar Lotz – Fiction –  Filmakademie Baden-Württemberg – Allemagne – 2008 – 57’
Grown-up (Vzroslaya) de Ramune Cekuolyte – Fiction – Higher Courses of Scriptwriters and Film Directors – Russie – 2008 – 15’
Racines de Eileen Hofer – Fiction – Université de Genève – Médias Unis – Suisse – 2008 – 18’
Signalis de Adrian Flückiger – Animation –  Hochschule Luzern Design & Kunst, Stud. Video (HSLU) – Suisse – 2008 – 5’
L’Hymne (Himnon) de Elad Keidan – Fiction – Sam Spiegel Film and Television School – Israël – 2008 – 36’
Janna & Liv de Thérèse Ahlbeck – Fiction – Dramatiska institutet – Suède – 2008 – 30’
Détour (Aplinkkelis) de Lawrence Tooley – Fiction –  Deutsche Film und Fernsehakademie Berlin – Allemagne – 2009 – 35’
Law of Life (Zakon Zhizni) de Rishat Gilmetdinov – Animation – St Petersburg State University of Film and Television – Russie – 2008 – 9’
Roma de Elisa Miller – Fiction –  Centro de Capacitación Cinematográfica – Mexique – 2008 – 26’
Birds Get Vertigo Too de Sarah Cunningham – Documentaire – La fémis – France – 2009 – 20’

Le site du Festival : www.rihl.org

Côté Court #1 : Simon Van Rompay

Au centre du film de fin d’études de Simon Van Rompay, se trouve Geppino Cerqua, un personnage sensible et tendre. Le jeune réalisateur, fraîchement sorti du Rits, dresse dans son documentaire,  un portrait doux-amer de celui qui fut l’un des protagonistes du très beau film de Paul Meyer « Déjà s’envole la fleur maigre ». Loin d’être une peinture sociale dénonciatrice et engagée, « Geppino chante » retentit au contraire comme une mélodie romantique à travers les terrils disparus d’un Borinage à réinventer.

L’interviewé

simon

L’interview

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Article associé : la critique du film

Consulter la fiche technique du film

G comme Geppino chante

Fiche technique

Synopsis : Geppino Cergua habite dans le Borinage, où le passé cru lié aux mines est toujours très présent. Malgré ses 67 ans, il n’a pas enterré ses rêves.

Genre : Documentaire

Durée : 25’

Pays : Belgique

Année : 2009

Réalisation : Simon Van Rompay

Images : Simon Van Rompay

Montage : Timour Changareev

Son : Wim Thijs

Post-production son : Charo Calvo

Production : RITS

Article associé : l’interview de Simon Van Rompay

Festival Tous Courts : la compétition internationale

Les films sélectionnés

*L’Histoire de l’aviation de Balint Kenyeres (A Repüles Története) – Hongrie – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 15 min
*La Harde de Kathy Sebbah – France – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 21 min
*Loop Loop de Patrick Bergeron – Canada – 2008 – animation/expérimental – couleur – vidéo – 5 min
*Bretelles, Pudding et herbes hautes de Simon Lahmani – France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 24 min
*Retour à Londres/Back to London de Cécile Ravel – France – 2008 – expérimental/documentaire – couleur/n&b – video – 10 min
*Partition oubliée de Teona Grenade – France/Géorgie – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 20 min
*Le Petit Dragon de Bruno Collet – France – 2009 – animation – couleur – 35mm – 8 min
*Cuilos de Paz Fabrega – France/Costa Rica – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 12 min
*Jeanne de Cécile Raquin – France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 23 min
*Lost Paradise de Mihal Brezis et Oded Binnum – France/Israël – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 10 min
*Gare d’Austerlitz de Lisa Martin – États-Unis/France – 2008 – Documentaire/expérimental – couleur – vidéo – 10 min
*Ils se sont tus de Khaled Benaïssa et Samir Messaoudi – Algérie – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 17 min
*The Grown-up de Ramune Cekuolyte – (Vzroslaya) – Russie/Lituanie – 2008 – fiction/documentaire – couleur – vidéo – 16 min
*Next Floor de Denis Villeneuve – Canada – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 12 min
*Le Feu, le sang, les étoiles de Caroline Deruas – France – 2008 – fiction – n&b – 35mm – 16 min
*Dix des BIF – France/Royaume-Uni – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 7 min
*L’Année de l’Algérie de May Bouhada – France – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 17 min
*Rough Cut de Firouzeh Khosrovani – Iran – 2008 – documentaire – couleur – vidéo – 22 min
*The Ground Beneath de René Hernandez – Australie – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 20 min
*Les Williams de Alban Mench – France – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 15 min
*K (exil) de Frédérique Devaux – France – 2008 – expérimental – couleur – 16mm – 9 min
*Dans nos veines de Guillaume Senez – France/Belgique – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 15 min
*Que ton souffle soit chaud de Benjamin Minot – (Damet Garm) – Belgique – 2009 – documentaire – couleur – vidéo – 22 min
*L’Échappée de Katell Quillévéré – France – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 17 min
*Écho de Magnus Von Horn – Pologne – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 15 min
*L’âge adulte de Pierre Daignière – France – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 16 min
*Hypn de Philippe Rouy – France – 2009 – expérimental – couleur – vidéo – 7 min
*Première nuit à Beijing de Olivier Meys – Belgique – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 22 min
*Nice day for a picnic de Monica Gallab – Belgique – 2008 – animation/expérimental – couleur – vidéo – 4 min
*Au Centre de la Terre de Ingrid Patetta – Niger – 2008 – documentaire – couleur – vidéo – 25 min
*Whatever turn you on de Declan Cassidy – Irlande – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 4min
*Beast de Lars Arendt – Danemark – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 15 min
*Lunch de Ana Husman (Rucak) – Croatie – 2008 – expérimental – couleur – vidéo – 17 min
*Racines de Eileen Hofer – Suisse/Turquie – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 18 min
*[vwa] de Brigitte Perotto – France – 2008 – expérimental – couleur – vidéo – 4 min
*Patrons, employés, même combat ! de Gregory Hervelin – France – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 10 min
*Coming Out de Pici Pàpai – (Vallomas) – Hongrie – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 15 min
*Le Bûcheron des mots de Izù Troin – France – 2009 – animation – couleur – 35mm – 11 min
*Short term 12 de Destin Cretton – Etats-Unis – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 22 min
*Summer Breaks de Sean Kruck – Australie – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 12 min
*Les Cowboys n’ont pas peur de mourir de Anne Laure Daffis et Léo Marchand – France – 2008 – animation – couleur/n&b – 35mm – 18 min
*Brume de Marc Giralt – (Tel) – Espagne – 2009 – fiction/expérimental – couleur – 35mm – 13 min
*Des enfants dans les arbres de Bania Medjbar – France – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 25 min
*Stupéfiant de Christophe Lebon – France – 2009 – fiction/documentaire – couleur/n&b – vidéo – 4 min
*Jeter l’ancre de Markus Beck – Anker Werfen – Allemagne – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 22 min
*Tchernobyl de Pascal-Alex Vincent -France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 6 min
*La Virée de Matanic Dalibor – Tulum – Croatie – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 15 min
*Haïku de M. Salaud-Dalibert et M. Lalande – France – 2009 – fiction/expérimental – couleur – vidéo – 7 min
*La Ligne de fuite de Alexandre Zeff – France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 26 min
*La Fente de Kristina Grozeva – Zev – Bulgarie – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 4 min
*Directions de Kasimir Burgess – Australie – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 14 min
*Petite anatomie de l’image de Olivier Smolders – Belgique – 2009 – documentaire/expérimental – couleur – 35mm – 21 min
*Les Amies qui t’aiment de Alexis Van Stratum – Belgique/France – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 20 min
*L’Honneur de Robert de Blandine Lenoir – France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 6 min
*The Fireflies de Olga Shebunyaeva – Russie – 2008 – fiction/expérimental – couleur – 35mm – 23 min
*Un goût de miel de Simon Rittmeier – (A Taste of Honey) – Allemagne/Cuba – 2008 – Expérimental/documentaire – n&b – vidéo – 10 min
*Reflux de Pauline Goasmat – France – 2009 – fiction – couleur – 35mm – 12 min
*Heureux de Thierry Van Hasselt – Belgique – 2008 – animation – couleur – vidéo – 7 min
*Cold Grove de Mihàly Schwechtie – (Hideg Berek) – Hongrie – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 16 min
*The Commute de Elias Leon Siminiani – (El transito) – Espagne – 2009 – fiction/documentaire – couleur – vidéo – 12 min
*No Way Through de Alexandra Monro et Sheila Menon – Royaume Uni – 2009 – 7 min – fiction – couleur – vidéo
*Micheline de Bruno Ballouard – France – 2009 – fiction – couleur – vidéo – 29 min
*Brûle de Sergey Kavtaradze – (Gar’) – Russie – 2008 – fiction – couleur – vidéo – 21 min
*Il n’y a pas de Colin dans le poisson de Odile Magniez, Zoé Liénard, Isabelle Taveneau – France – 2008 – documentaire/animation – couleur – vidéo – 6 min
*Un ange passe de Pierre Vinour  – France – 2008 – fiction – couleur – 35mm – 18 min

Composition du Jury : Chicca Bergonzi, Laurent Trémeau, Yves de Bujadoux, Eric Cartier, Laurent Lafran

Le site du Festival : www.aix-film-festival.com

Felix Massie : « Si on manque de confiance, il vaut mieux tenter de faire rire. On peut être aussi sot qu’on le veut, ça n’a pas d’importance »

Jeune diplômé de la Film School of Wales, Felix Massie est un animateur réservé, à l’origine de deux films pittoresques et morbides, « Keith Reynolds Can’t Make It Tonight » et « The Surprise Demise of Francis Cooper’s Mother ». Invitée au dernier Festival de Lille, cette nouvelle recrue de la boite de production The World of Arthur Cox se balade allègrement, de séance en séance, vêtu d’un t-shirt représentant un gros monstre vert fluo. Rapprochement de mise.

felix-massie

Quand t’es-tu réellement intéressé à l’animation ?

J’ai toujours dessiné. Quand j’ai découvert Wallace & Gromit et le court « The Wrong Trousers », j’ai un peu mieux compris ce qu’étaient l’animation, les maquettes, et la 3D. J’ai voulu travailler avec une caméra mais c’était trop cher, je me suis donc limité au dessin pendant tout un temps. Un jour, à l’âge de 16 ans, j’ai découvert le logiciel Flash qui m’a aidé à entrer dans l’univers de l’animation. Parallèlement, les dessins de Gary Larson m’inspiraient beaucoup, car ils racontaient des choses de façon très humoristique.

Tu t’orientais déjà vers l’humour ?

Si on manque de confiance, il vaut mieux tenter de faire rire.  On peut être aussi sot qu’on le veut, ca n’a pas d’importance. Avec l’humour, il ne faut pas être plus confiant que ça. Ça m’arrange !

Le Royaume-Uni compte d’excellentes écoles d’animation. Comment ton choix s’est porté sur l’école du Pays de Galles, la IFSW ?

Quand on veut s’inscrire dans des écoles subventionnées par le gouvernement, on peut donner six préférences, six choix d’études. À l’époque, j’étais très intéressé par le graphisme et le design, donc j’ai choisi trois écoles de graphisme et trois d’animation, car je n’étais pas encore sûr de ce que je voulais faire. En deuxième année, l’animation m’est apparue comme une évidence, sauf que ce cours était supprimé dans tous les endroits où j’avais postulé. On m’a laissé encore une possibilité, la Wales School; c’est comme ça que je l’ai choisie. J’ai eu de la chance : c’était vraiment la meilleure des écoles proposées, et je suis tombé sur la bonne par hasard, sans me renseigner à son sujet au préalable.

Pourquoi estimes-tu que c’était la bonne ?

Parce que quand j’y suis allé, on m’a montré d’excellents courts récompensés en festivals : en particulier, un film de John Williams, « Robots » tellement bien fait qu’il m’a inspiré, « Astronauts », le film de fin d’études de Matthew Walker, le réalisateur de « John and Karen », et puis « t.o.m.» de Tom Brown et Dan Gray, sélectionné à Sundance et lauréat à Annecy. Cela fait du bien de savoir qu’il y a des gens si doués dans son université…

À la IFSW, on n’apprend pas simplement l’animation et les techniques comme dans beaucoup d’écoles, on nous apprend aussi comment construire une histoire. Et puis, en troisième année, c’est la liberté totale pour le film de fin d’études.

En deuxième année, tu as co-réalisé « Satisfactory » avec Joe Paine. Comment s’est conçu le travail à plein de doigts ?

Pour le film de deuxième année, on devait se concentrer sur un medium spécifique (2D, stop motion, CGI etc) et se regrouper pour travailler en équipe. Cette expérience de travail collectif a été très bénéfique pour la suite, car dans l’industrie de films, tu es souvent cantonné à un seul poste. « Satisfactory », je l’ai co-réalisé avec Joe Paine, qui était aussi étudiant en animation, mais qui est plutôt musicien, à vrai dire. Il a composé la musique de tous mes films, de « Keith Reynolds » et de « Francis Cooper » notamment. Il comprend très bien ce que la musique peut apporter à une image.

Est-ce que tu bénéficiais d’une liberté totale de sujet pour ce film ?

Oui. La seule consigne était le titre : ‘Recodage des conventions’. Je ne sais pas du tout ce qu’on a recodé, mais ça a été accepté !

« Keith Reynolds Can’t Make It Tonight » est ton film de fin d’études. Comment l’as-tu imaginé ? Y avait-il des contraintes imposées par l’école ?

En troisième année, la seule indication était que la durée ne devait pas dépassait trois minutes. On nous a dit que c’est une durée idéale car ainsi, le film était bien cadré et la perte de qualité nulle. Je n’ai pas tout à fait respecté cette indication, car mon film fait six minutes.

Au départ, n’ayant pas d’idée précise pour ce dernier film, j’ai repensé à des vidéos réalisées plus jeune qui comprenaient des silhouettes et des stick figures (‘I can’t colour in’). J’ai décidé d’en faire une version plus élaborée et de créer plus d’interactions entre les stickmen et de jouer avec les espaces, en mettant plein de carrés partout.

À l’université, on avait l’habitude de se réunir régulièrement pour présenter nos projets et d’avoir un retour des autres élèves. Lors que j’ai présenté mon idée, un ami qui avait travaillé sur « Satisfactory » m’a suggéré de voir « Flatlife » (Jonas Geirnaert) dans lequel l’action se situait dans quatre pièces simultanément. En le voyant, j’ai eu l’idée des pièces et de l’immeuble pour mon film.

Et puis, je me suis mis à écrire l’histoire de « Keith Reynolds ». C’est ici que Joe Paine est revenu… Un ami de sa mère s’appelle Keith Reynolds et a téléphoné un jour pour dire qu’il ne pouvait pas venir ce soir-là (« I Can’t Make It Tonight »). On a trouvé que cette phrase représentait un bon titre, et j’ai commencé à inventer une histoire sur la raison pour laquelle il n’avait pas pu venir.

Dans tes films, on remarque cette technique de panoramas, soit horizontal dans « Satisfactory » soit vertical dans « Keith Reynolds ». Cela fait partie de ton style ?

En fait, quand on travaille avec Flash, on est un peu limité, donc l’animation en panorama, c’est quelque chose de relativement facile à réaliser que j’ai naturellement tendance à faire, mais qui est aussi lié à l’histoire que je désire raconter. « Satisfactory » parle du travail à la chaîne dans une usine, donc le panorama horizontal s’imposait, tandis que dans « Keith Reynolds », cette technique, verticale mais aussi horizontale, permettait de voir précisément ce qui se passait et ce qui allait arriver sans devoir couper dans l’action. Ça ajoute de l’humour au film, je pense.

Tes deux derniers films, « Keith Reynolds Can’t Make It Tonight » et « The Surprise Demise of Francis Cooper’s Mother »  reposent sur des voix-off. À l’école, vous apprend-on à travailler avec la voix, et ne vous met-on pas en garde contre les films trop bavards ?

À l’université, on ne nous décourage pas d’utiliser la voix, mais on nous avertit lors que son usage n’est pas assez bon. On ne nous apprend pas spécialement à l’utiliser, et il n’y a pas de cours de scénario ni de dialogues. Mais c’est vrai que je m’intéresse à certains films ‘vocaux’. « Astronauts » de Matthew Walker m’a peut-être influencé, même si je ne voulais pas consciemment imiter ce que les autres avaient fait avant moi. De même, un de mes films préférés est « Skhizein » (Jérémy Clapin) dans lequel le protagoniste se retrouve à côté de lui-même.

Depuis ta sortie de l’école, tu travailles pour The World of Arthur Cox, une des boîtes de production les plus en vues d’Angleterre. Comment y es-tu entré ?

J’y ai fait mon stage professionnel en troisième année, et j’ai rencontré Matthew Walker à Annecy. En novembre 2006, j’ai rencontré à l’université Sarah Cox [co-fondatrice de la boîte et réalisatrice] qui était invitée à juger les films de fin d’année. Elle a vu « Keith Reynolds » et l’a aimé. J’ai fait de l’animation sur quelques projets pour eux, puisque je savais travailler avec Flash, et un mois plus tard, elle m’a demandé si je voulais être représenté par eux. Depuis, j’ai travaillé sur plusieurs projets et j’ai réalisé « The Surprise Demise of Francis Cooper’s Mother » .

Y a-t-il selon toi une philosophie qui relie les films d’Arthur Cox ? Qu’est-ce qui les distinguent des autres productions ?

Je ne sais pas. Ils sont tous centrés sur l’histoire, je crois. Même si visuellement, tous ces films sont très différents, ils sont tous reliés par un souci de narration et même d’humour. Sinon, on aime tous la nourriture bio chez Arthur Cox !

Dans ce dernier film, tu traites avec humour de la mort, qu’elle soit provoquée par un accident, une irresponsabilité, ou la paranoïa. Est-ce que tu te reconnais dans un humour noir et morbide ?

Au début, je pensais ne raconter que l’histoire de Francis Cooper. Sa mère meurt avant son père et il est choqué par l’idée que les hommes puissent mourir avant les femmes. D’autres histoires sont apparues en parallèle. En fait, le thème du film, c’est comment faire face à la perte de quelqu’un de proche, et aux émotions liées à cette perte, et déterminer le moment où les personnages ont subitement conscience d’une vérité qui leur permet de surmonter leur agitation émotionnelle. Sauf que mes personnages en font beaucoup trop !

En faisant ce film, je pense que je me suis inspiré des animations en stick figures. Il existe sur Internet tout un genre d’animations appelé Stick Deaths dont le but est de tuer des personnages d’une manière drôle. Cette idée m’est un peu restée, « le côté amusant de la mort ».

Voudrais-tu explorer d’autres techniques, comme l’animation en volume ?

Je ne pense pas que je m’aventurerais dans la stop-motion à ce stade-ci, je m’y connais tellement peu. Aardman fait des choses géniales avec cette technique. Je me sentirais ridicule si je faisais quelque chose de médiocre ! Non, les dessins sur ordinateur, c’est plus facile pour moi.

Question de fin. Étudiant, percevais-tu correctement la réalité du milieu d’animation ?

Non pas vraiment. Dans le monde réel, on se rend très vite compte qu’on a beaucoup moins de liberté que ce qu’on aurait voulu avoir. Pendant nos études, on ne réalise pas toutes les subtilités et complexités du métier, comme le travail en freelance, par exemple. À l’école, on croit qu’on trouvera tout de suite un boulot comme animateur, mais ce n’est pas vrai. La vérité, c’est qu’on ne sait jamais quand on recevra notre prochain chèque !

Propos recueillis par Adi Chesson et Katia Bayer. Traduction, retranscription : Adi Chesson. Mise en forme : Katia Bayer

Article associé : la critique du film 

S comme The Surprise Demise of Francis Coopers Mother

Fiche technique

Synopsis : L’histoire de Francis Cooper et de sa mère, d’Emily Madison et de cet homme, de Craig MacKay et de son chat.

Genre : Animation

Durée : 7’25’

Pays : Royaume-Uni

Année : 2008

Réalisation : Felix Massie

Scénario : Felix Massie

Animation : Felix Massie, Emma Lazenby, Vibeke Cleaverley, Stephen Whittle, Simon Deshon

Compositing : Felix Massie and Jonathan Biggins

Script editor: David Bull

Musique : Joe Paine

Montage : Matt Purgaus, Tom Jobbins and Adam Dymond

Son : Will Norrie, Films@59

Voix : Alexei Sayle

Production : Aardman Animations, Arthur Cox

Le site du réalisateur : www.balancedthere.com

Article associé : l’interview de Felix Massie

F comme Flatlife

Fiche technique

Synopsis : L’histoire de quatre individus et de leurs activités quotidiennes: accrochant une peinture sur le mur, regardant la télévision, construisant un château de cartes et faisant la lessive. Toutes ces actions paraissent innocentes et inoffensives.

Genre : Animation

Durée : 11’

Pays : Belgique

Année : 2004

Réalisation : Jonas Geirnaert

Scénario : Jonas Geirnaert

Images : Jonas Geirnaert

Décors : Jonas Geirnaert

Animation : Jonas Geirnaert

Storyboard : Jerzy Kucia, Jonas Raeber, Gabor Steisinger, Daniel Szczechura

Musique : Ward Seyssens. Composée par : Jonas Geirnaert.

Son : Louis Demeyere ,Geert Vergauwe.

Montage : Jonas Geirnaert

Production : KASK.

Distribution : La Big Family

Articles associés : l’interview de Felix Massie, la critique de « Keith Reynolds Can’t Make It Tonight »

A comme Astronauts

Fiche technique

Synopsis : Deux astronautes voyagent dans l’espace. L’un d’eux découvre un gros bouton rouge où il est écrit « Ne pas appuyer ». Il appuie dessus.

Genre : Animation

Durée : 8’20’’

Pays : Royaume-Uni

Année : 2005

Réalisation : Matthew Walker

Scénario : Matthew Walker

Animation : Matthew Walker

Voix : Alec Morgan  , Glen Finick

Son : Ben Hannabuss  , Steven Evans

Montage et mixage son : Steven Evans , Ben Hannabuss

Production : Film School of Wales

Article associé : l’interview de Felix Massie

Docencourts : le documentaire à l’honneur à Lyon

affiche

Les documentaires d’école sélectionnés

– Yellow Sprite (de Wen Yang Liu, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Lyon) 7’
– Agua Viva (de Anouk Dominguez-Degen, HEAD, Genève) 25’
– Abena (de Amel Elkamle, Le Fresnoy, Tourcoing) 6’
– La Rayure rose (de Nicolas Hensel, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Lyon) 6’
– « Hiroshima mon amour » remake 2 (film collectif, HEAD, Genève15’
– Spirale (de Mélanie Dougoud, HEAD, Genève) 4’
– Third floor (de Ekaterina Deneva, NAFTA, Sofia, Bulgarie) 5’
– Passage (de Pauline Higgins, Ateliers Varan, France) 19’
– A Silent film (de Xiao Ding Guo, HEAD, Genève) 4’
– Palm tree (de Elina Talvensaari, UIAH, Helsinki) 10’
– Pas de deux (de Sarah Blum, INSAS, Bruxelles) 4’
– The Egg (de Ekaterina Deneva, NAFTA, Sofia, Bulgarie) 5’
– Faire le mur (de Bertille Bak, Le Fresnoy, Tourcoing) 17’
– Poseur (de Wen Yang Liu, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Lyon) 7’
– Lo Stretto (de Sandra Ferrara, HEAD, Genève) 30’

Films d’auteurs en compétition

* Voyage autour de ma chambre d’ Olivier Smolders, 26′, France, Belgique, 2008
* Pas de deux de Sarah Blum, 3′, Belgique, 2009
* Avant que les murs tombent, Eve Duchemin, 27’, Belgique, 2008
* Famille #150, Emmanuel Dayan, 30′, États-Unis/France, 2009
* Récits de Sam, Esther Hoffenberg, 15′, France, 2009
* Tony Conrad DreaMinimalist, Marie Losier, 28′, États-Unis/France, 2008
* Si muove, Jean-François Neplaz, 21′, France, 2009
* L’œil de verre, Frédéric Compain, 26′, France, 2009
* Les films d’Alexis, Fabien Blanchon, 24′, France, 2009
* 10 min., Jorge Leon, 19′, Belgique, 2009
* Les oiseaux d’Arabie, David Yon, 39′, France, 2009
* Jardin secret, Véronique Burési, 20′, France, 2008
* Mudanza, Pere Portabella, 20′, Espagne, 2009
* Notes pour un film au Snark, François Xavier-Drouet, 16′, Belgique, 2008
* Des briques et des rêves, Rezaei Sediqa, 27’, France/Afghanistan, 2008
* Nora, Alla Kovgan et David Hinton,35′, État-Unis – Mozambique-Royaume-Uni, 2008

Retrouvez le programme complet sur le site du Festival : www.docencourts.com

Côté Court #1 : Lucie Thocaven

Môme, Lucie Thocaven s’est gavée de Walt Disney. Plus tard, la magie des histoires et les amis d’amis l’ont incitée à pousser les portes  vert bouteille de la Cambre. Entre fantasme et réalité, son deuxième court, « Grand-mère, veux-tu ? », est une comédie graphique interrogeant les rapports entre la vieillesse et la sexualité. Rencontre sonore avec la réalisatrice.

L’interviewée

lucie

L’interview

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Interview : Katia Bayer

Le film

Consulter la fiche technique du film

G comme Grand-mère, veux-tu ?

Fiche technique

Synopsis : Une vieille dame seule et acariâtre reçoit la visite de sa petite fille et de son timide fiancé.

Genre : Animation

Durée : 06’55 »

Pays : Belgique

Année : 2009

Réalisation : Lucie Thocaven

Scénario : Lucie Thocaven

Animation : Lucie Thocaven

Technique : Ordinateur 2D

Musique : Jocelyn Defawe

Son : Romain Castéra

Montage : Lucie Thocaven

Voix : Céline Dély, Romain Castéra, Lucie Thocaven

Production : La Cambre

Distribution : Adifac

Article associé : l’interview de Lucie Thocaven

Média 10-10, the Palmarès

Palmarès 2009

Prix du Meilleur Court Métrage de Fiction : « Dans nos veines » (Guillaume Senez)

Prix du Meilleur Court Métrage Documentaire : « Tuulepealne » (Dominique Guelette)

Prix du Meilleur Court Métrage d’Animation : « Micro dortoir » (Léa Bertels)

Prix OVNI : « A place » de Jean De Lacoste

Prix des Auteurs de fiction : « La balançoire » (Christophe Hermans)

Prix de la Meilleure Bande Sonore : « Climax » (Frédéric Sojcher)

Prix de l’Image Numérique : « L’été » (Vania Leturcq)

Prix de la Meilleure Image : « Jazzed » (Anton Setola)

Prix du Public : « Le négociant » (Joachim Weissman)

Prix « RTBF » : « Mimesis » (Camille Meynard)

Prix « Be tv » : « Retour simple » (Jérôme Guiot)

Prix de la Presse : « Les amateurs » (Jean-Frédéric Eerdekens)

Prix UNICEF : « Dans nos veines » (Guillaume Senez)