PISAF : Appel à candidatures

PISAF : Appel  à candidatures

Le PISAF (Puchon International Student Animation Festival) célèbre du 6 au 10 novembre 2008 sa 11ème édition dans la ville de Bucheon, en Corée du Sud. Depuis 1999, le Festival s’intéresse aux films d’étudiants en animation, et contribue à la découverte de nouveaux réalisateurs et de nouvelles tendances en animation. Dans le cadre de la programmation de sa 11ème édition, le Festival lance un double appel à candidatures.

Benoît Labourdette : films de poche & Pocket Films

Benoît Labourdette : films de poche & Pocket Films

En 2005, le Forum des Images initia le festival Pocket Films, une manifestation attentive aux films tournés exclusivement avec des téléphones portables. Au fil des éditions, les organisateurs ont ouvert leur programmation à tous les créateurs (cinéastes, photographes, musiciens, plasticiens, amateurs, …), les genres (fiction, animation, documentaire, expérimental, clips, portraits, …) et les métrages (courts, moyens voire longs).

Festival pointdoc, prolongation des inscriptions

Festival pointdoc, prolongation des inscriptions

Le Festival poindoc prolonge son appel à films documentaires d’auteur au 29 octobre 2011. Il vous reste donc un peu plus d’un mois pour nous envoyer vos créations selon les deux catégories proposées :

@ Films jamais diffusés (quelle que soit son année de réalisation)
@ Premières créations (réalisées à partir du 1er janvier 2009).

Rémi Mardini. Le travail sur l’image, celle qu’on laisse, celle qu’on a de soi-même

Rémi Mardini. Le travail sur l’image, celle qu’on laisse, celle qu’on a de soi-même

Alors qu’il recevait plusieurs prix au Festival de Saint-Jean-de-Luz (Prix du public, Prix du SFCC-prix accordé par des membres du syndicat de la critique de cinéma-, et Prix vision d’avenir) pour son très subtil premier court « En Beauté », nous avons eu l’envie d’interroger le jeune cinéaste Rémi Mardini.

Chloé Robichaud : « Je présente des personnages féminins qu’on voit moins à l’écran »

Chloé Robichaud : « Je présente des personnages féminins qu’on voit moins à l’écran »

À l’occasion du 16e festival de La-Roche-sur-Yon, Chloé Robichaud, réalisatrice et scénariste canadienne, a présenté son quatrième long-métrage, « Deux femmes en or » (titre français : « Deux femmes et beaucoup d’hommes »). Le film a reçu le Prix spécial du jury international ex-æquo. Deux courts-métrages, « Chef de meute » (2012), et « Delphine » (2019), étaient également diffusés. Nous sommes partis à sa rencontre.

Salif Cissé : « Si on ne se nourrit pas de la vie, on devient vite creux, vide »

Salif Cissé : « Si on ne se nourrit pas de la vie, on devient vite creux, vide »

Entre introspection, sincérité et lucidité, Salif Cissé parle du métier d’acteur comme d’un exercice de vérité. Formé au Conservatoire, révélé par « À l’abordage » de Guillaume Brac et désormais tenté par la réalisation, il présentait ces derniers jours au Festival de Namur « Météors » de Hubert Charuel. L’occasion de revenir sur son parcours, son intérêt pour l’identité et l’émotion, et l’envie d’inventer ses propres récits.

Lucile Hadžihalilović : « Ce qui me plaît au cinéma, c’est d’entrer dans un univers »

Lucile Hadžihalilović : « Ce qui me plaît au cinéma, c’est d’entrer dans un univers »

Cette semaine sort en salles le nouveau long-métrage de Lucile Hadžihalilović, « La Tour de glace ». Le film a reçu l’Ours d’argent de la meilleure contribution artistique à la Berlinale 2025. Une rétrospective lui était également dédiée ce week-end à la Cinémathèque française, en sa présence. Une occasion pour Format Court de partir à la rencontre de la réalisatrice, qui nous a parlé de son parcours, de son rapport entre son cinéma et l’enfance, et de son travail sur les atmosphères dans ses films.

Lasse Linder : « La clé dans le documentaire, c’est de passer du temps avec des gens intéressants »

Lasse Linder : « La clé dans le documentaire, c’est de passer du temps avec des gens intéressants »

Son nouveau court, « Air Horse One », s’intéressant à Legacy, le meilleur cheval d’obstacle au monde, parcourant la planète pour participer aux plus grands tournois sportifs, entouré mais seul et exploité par les êtres humains, fait partie des 10 titres de la compétition suisse du Festival de Locarno. Son réalisateur, Lasse Linder, avait participé à notre Festival Format Court en 2021 à l’occasion d’un focus consacré au même Festival de Locarno. Il y avait présenté son précédent court, « All Cats Are Grey in The Dark » (« Tous les chats sont gris la nuit »), son film d’école réalisé en 2019 dans le cadre de sa formation à Luzern.

Les courts au Champs-Élysées Film Festival

Les courts au Champs-Élysées Film Festival

Le rideau est tombé sur l’édition 2025 du Festival du cinéma des Champs-Élysées, qui s’est tenue cette année dans une ambiance à la fois festive et engagée. Du glamour des avant-premières aux débats houleux autour du cinéma indépendant, l’événement a une fois de plus transformé la plus célèbre avenue de Paris en un lieu de choix pour le 7ᵉ art.

Pierre-Luc Granjon : « Je suis toujours en réaction au film précédent »

Pierre-Luc Granjon : « Je suis toujours en réaction au film précédent »

Son film, « Les Bottes de la nuit », réalisé grâce à l’écran d’épingles, a remporté le Cristal du court-métrage, le Prix du Public et et le Prix André Martin au Festival d’Annecy. Pierre-Luc Granjon, qu’on a découvert il y a quelques années avec « Le Loup blanc », raconte sa découverte de l’animation en volume, la réalité du métier, l’envie d’être heureux et le besoin de se renouveler.

Émilie Tronche : « J’aime bien savoir que le monde que j’ai créé est tout près de moi »

Émilie Tronche : « J’aime bien savoir que le monde que j’ai créé est tout près de moi »

Au Festival d’Annecy, Émilie Tronche présente une petite exposition autour de « Samuel », le personnage central de sa mini-série d’animation phénomène créée pour Arte et produite par les Valseurs. Passée par l’École des métiers du cinéma d’animation d’Angoulême, la jeune femme à la fois réalisatrice, scénariste et animatrice prête sa voix et sa gestuelle aux personnages de sa série drôle et touchante qui convoque les premiers émois, des pas de danse et la forme d’un journal intime.

Tawfeek Barhom : « Les gens doivent s’habituer à écouter nos histoires »

Tawfeek Barhom : « Les gens doivent s’habituer à écouter nos histoires »

Tawfeek Barhom est connu comme acteur. Il a joué dans « Mon fils » d’Eran Riklis, « La Conspiration du Caire » de Tarik Saleh, « Les fantômes » de Jonathan Millet comme dans « The Way of the Wind », le prochain film de Terrence Malick. Pourtant, l’acteur se voit plutôt dès le départ comme un réalisateur, un raconteur d’histoires. Ayant franchi le cap, il a reçu pour son premier film, « I’m glad you’re dead now », la très convoitée Palme d’or du court-métrage 2025.