Archives par mot-clé : Fiction

Y comme Yeguas y cotorras

Y comme Yeguas y cotorras

Delfina et ses deux meilleures amies se rendent à la maison de campagne familiale pour passer une journée ensemble avant que n’arrivent les invités à son mariage. Confusion et conflits féminins chez la jeune aristocratie de Buenos Aires.
Réal. : Natalia Garagiola
Fiction, 28′, Argentine
2012

A comme Abigail

A comme Abigail

À la fin de ce qu’elle espère être sa dernière journée de travail, une jeune pompiste essaie de quitter la ville pour toujours. On découvre peu à peu des détails fragmentaires de sa vie alors qu’elle arpente cette friche en plein délabrement qu’on appelle chez-soi.
Réal. : Matthew James Reilly
Fiction, 17′, 2011
Etats-Unis

Interview croisée. Jean-Baptiste Saurel, Franc Bruneau et Vanessa Guide autour de « La Bifle »

Interview croisée. Jean-Baptiste Saurel, Franc Bruneau et Vanessa Guide autour de « La Bifle »

« La Bifle » , film décalé où il est question d’un règlement de compte à coups de « bites », réalisé par Jean-Baptiste Saurel et produit par Amaury Ovise, a connu sa première sélection à la 51ème Semaine de la Critique. À cette occasion, nous avions rencontré le réalisateur et ses deux comédiens principaux, Franc Bruneau et Vanessa Guide, sur la terrasse Nespresso du Festival de Cannes pour un entretien croisé, forcément « barré » et plein d’humour second degré.

La Bifle de Jean-Baptiste Saurel

La Bifle de Jean-Baptiste Saurel

Tout commence par la définition du mot « bifler » signifiant gifler d’un coup de pénis. Ensuite, le film de Jean-Baptiste Saurel comporte pas moins de 39 fois la prononciation du mot « bite ». À partir de là, on est en droit de se demander effectivement ce que veut dire ce film aux allures un tant soit peu vulgaires voire pornographiques. Ne nous fions pas aux apparences car Jean-Baptiste Saurel nous propose un court-métrage absolument surprenant, un réel ovni que les programmateurs de la Semaine de la Critique ont récemment sélectionné pour sa 51ème édition.

B comme La Bifle

B comme La Bifle

Francis est patron d’un vidéoclub qui doit son succès aux films de Ti-Kong, star de kung-fu. Complexé par sa bite, il n’arrive pas à avouer ses sentiments à Sonia, son employée. Mais lorsqu’elle se voit offrir un rôle dans Evil Nurse -dernier opus de Ti-Kong- Francis n’a plus le choix… Il doit sauver Sonia d’un terrible danger : La Bifle.
Réal. : Jean-Baptiste Saurel
Fiction, 25’30’’, 2012
France

Sessiz-be deng (Silencieux) de Rezan Yeşilbaş

Sessiz-be deng (Silencieux) de Rezan Yeşilbaş

C’était l’un des deux films que nous avions retenus à Cannes, parmi les courts métrages de la sélection officielle (l’autre étant « Night Shift » de Zia Mandviwalla). « Sessiz-be deng (Silencieux) », Palme d’or du court métrage, nous vient de Turquie. Tout en pudeur, en silences et en échanges de regards, il évoque une situation politique forte vécue d’un point de vue personnel.

S comme Sessiz-be deng (Silencieux)

S comme Sessiz-be deng (Silencieux)

L’année 1984 à Diyarbakir. Zeynep, mère de trois enfants, veut visiter son mari en prison. Elle ne parle que kurde, sa langue maternelle, mais en prison, celle-ci est strictement interdite. Sans l’usage du turc, elle est dans l’impossibilité de prononcer même un seul mot. Sa frustration augmente lorsqu’on lui interdit aussi d’apporter une nouvelle paire de chaussure pour son mari.
Réal. : Rezan Yeşilbaş
Fiction, 14′, 2012, Turquie

W comme Wrong Cops

W comme Wrong Cops

Duke, un flic corrompu et mélomane, patrouille dans les rues de Los Angeles, musique à fond et fait la rencontre d’un jeune amateur de techno, David Dolores Frank. Consterné par les goûts musicaux du jeune adolescent, Duke s’investit d’une mission : lui donner une bonne leçon de musique.
Réal. : Quentin Dupieux
Fiction, 13′, 2012
France

Cannes, news 10 : la Palme d’Or du court métrage attribuée à « Sessiz-Be Deng » (Silencieux) de Rezan Yessilbas

Cannes, news 10 : la Palme d’Or du court métrage attribuée à « Sessiz-Be Deng » (Silencieux) de Rezan Yessilbas

Le Jury des courts métrages de Cannes, identique à celui de la Cinéfondation, composé, rappelons-le, de Jean-Pierre Dardenne, de Arsinée Khanjian, de Karim Aïnouz, d’Emmanuel Carrère et de Yu Lik-wai, a désigné hier la Palme d’Or du court métrage à « Sessiz-Be Deng » (Silencieux), un très beau film turc, tout en silences et en regards, de Rezan Yessilbas.

The Curse de Fyzal Boulifa

The Curse de Fyzal Boulifa

Quelque part au Maghreb, Fatine, jeune femme en âge d’être mariée fait l’amour avec un homme à même le sol, sur un tissu déposé sur la roche en plein « désert ». Avant que celui-ci s’en aille, elle lui fait promettre qu’il reviendra la chercher pour un ailleurs plus confortable. A leur insu, un jeune garçon assiste à la scène.