The 48th New York Film Festival – la sélection des courts

The 48th New York Film Festival – la sélection des courts

Connu pour sa sélection non compétitive de la crème de la crème (en français dans le texte) des longs métrages glanés dans les festivals du monde entier, le 48e Festival du Film de New York (24 sept-10 oct) présentera en avant programme de certains de ces films neuf courts métrages dont les dernières œuvres de l’iranien Jafar Panahi et de l’américain Jonathan Caouette, auteur de « Tarnation ». Un peu invisibles sur le site du festival, Format Court s’est donné pour mission de les réunir ici et en anglais, s’il vous plait !

The 48th New York Film Festival – le programme avant-garde

The 48th New York Film Festival – le programme avant-garde

Découvrez le programme sur l’avant-garde qui sera projeté pendant le festival du film de New York du 30 septembre au 3 octobre. Les films présentés sont majoritairement américains et récents mais on aura aussi l’occasion d’y découvrir des rushs inédits de Pierre Clémenti, les derniers films de Jean-Marie Straub et un focus sur le travail de l’Allemande Helga Fanderl et de l’Anglais Jeff Keen.

B comme Le ballon rouge

B comme Le ballon rouge

Dans un Paris des années 50, un petit garçon trouve un gros ballon rouge accroché à un réverbère. Commence alors une histoire d’amitié avec ce ballon qui suit de lui-même le petit garçon dans les rues de Paris. La jalousie d’une bande de garçons de son âge vont mener ce film vers une fin à la fois tragique et magique.
Réal. : Albert Lamorisse
Fiction, 36′, 1956
France

Lia Bertels : « Il m’arrive d’animer des trumpfs dans ma cuisine ! »

Lia Bertels : « Il m’arrive d’animer des trumpfs dans ma cuisine ! »

Lia est à l’image de ses films, un feu follet, une étincelle, légère, toute légère. Vivante surtout… Lia s’agite, explique, manque de renverser un verre, le rattrape au vol, esquisse un geste. Et si, comme elle aime à le dire, son métier n’est pas de parler mais d’animer, elle s’anime aussi très bien quand elle parle.

M comme Magic for Beginners

M comme Magic for Beginners

« Magic for Beginners » examine les mythologies dans l’univers des fans, de l’obsession aux connexions psychiques. Il explore le besoin d’avoir ce genre de connexions (réelles ou imaginaires) ainsi que celui d’une libération d’émotions que seule la fantaisie peut livrer.
Réal. : Jesse McLean
Expérimental, 20′, 2010
États-Unis

Magic for Beginners de Jesse McLean

Magic for Beginners de Jesse McLean

Présenté à la Mostra de Venise, dans le cadre de « Orrizonti : nouvelles tendances dans le cinéma mondial », « Magic for Beginners » répond pleinement aux exigences de qualité réclamées par cette compétition. En revisitant la télévision et les nouveaux médias qui font intégralement partie de notre vécu, l’artiste américaine Jesse McLean dévoile comme par magie son regard inédit sur le phénomène omniprésent du spectateur sujet à l’émotion déléguée.

Les Barbares de Jean-Gabriel Périot

Les Barbares de Jean-Gabriel Périot

Déjà producteur de la Palme d’or du court métrage (« Chienne d’histoire », Serge Avédikian, 2010) Ron Dyens de Sacrebleu productions a eu la judicieuse idée de faire appel à Jean-Gabriel Périot pour une série sur la désobéissance. Le court né de cette commande, « Les Barbares », vient d’être présenté à la Mostra de Venise. Coup double.