# Annecy 2017

Le Festival d’Annecy a lieu en ce moment. Retrouvez ces jours-ci nos sujets dédiés à la manifestation sympa et incontournable en termes d’animation internationale de qualité.
Le Festival d’Annecy a lieu en ce moment. Retrouvez ces jours-ci nos sujets dédiés à la manifestation sympa et incontournable en termes d’animation internationale de qualité.
Le Festival d’Annecy est en cours depuis lundi. Pour ceux qui ne peuvent s’y rendre ou qui souhaitent prolonger leurs séances, voici notre sélection de 11 courts-métrages internationaux retenus en compétition officielle et disponibles en ligne.
Alors que le joli Festival d’Annecy a commencé il y a deux jours, nous revenons sur Kijé, le très beau court-métrage de Joanna Lorho, Prix Format Court à Angers en 2015. Ce premier film professionnel est une animation poétique, quasi lunaire traversée par la maturité grandissante de son auteure qui s’est aussi essayée au clip, à l’illustration et à la BD (allez voir son site, ses mots et ses « objets finis »).
Benoît retrouve sa grand-mère et son frère Tonton Thomas pour qu’ils lui racontent la série phare qu’elle suit depuis 1989, date de sa sortie officielle en France. Celle-ci – la plus ancienne encore en activité du monde télévisuel (sa première diffusion a eu lieu en 1973 aux États-Unis) – est Les Feux de l’amour.
Après plus de 5 ans de programmation, nos séances Format Court organisées tous les mois au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) font une pause méritée pour nous permettre de nous lancer dans un tout nouveau projet (surprise !).
Après The world et Under the sun, le réalisateur chinois Qui Yang réalise avec A Gentle night son troisième court-métrage, mais aussi un clip avec l’artiste Wet et des photographies visibles sur son site internet (http://www.whosqiuyang.com/). A Gentle night, son dernier film, qui vient de remporter la Palme d’or au festival de Cannes, approfondit les visions et les émotions troublantes de ses précédentes réalisations, en radicalisant encore d’un pas ses processus narratifs.
Plus de mystère. La Palme d’or des courts métrages du 70ème Festival de Cannes a été attribuée ce soir à Xiao cheng er que (Une nuit douce) du réalisateur chinois Qiu Yang. Le film a été distingué par Cristian Mungiu et son Jury parmi les 9 films en compétition.
À qui seront remis les prix de la Queer Palm cette année ? Verdict prévu ce samedi. En attendant, faisons état des réalités homo-lesbo-bisexo-transexuelles++ au 70e Festival de Cannes. L’enjeu est de taille, malgré la discrétion des images — et des plumes — qui se risquent à en témoigner.
Aux Etats-Unis, Aadid travaille de nuit dans une laverie. Suite aux événements du 11 septembre, le nettoyage des drapeaux américains est gratuit. Aadid est amoureux de sa collègue Adela, qu’il considère, en fin connaisseur de Napoléon qu’il est, comme « sa Joséphine ».
Jean-Marc E. Roy et Philippe David Gagné, cinéastes québécois, reviennent à la Quinzaine des Réalisateurs avec leur dernière production, Crème de menthe, deux ans après la sélection de leur court métrage Bleu Tonnerre.
Il y a un an, Sylvain Desclous signait avec Vendeur son premier long-métrage, après une série de courts-métrages dont les deux derniers avaient été particulièrement remarqués : en 2012 pour Le Monde à l’envers, qui avait remporté, entre autres, le Prix Format Court en 2012 au Festival de Vendôme; et en 2014 pour Mon héros, en lice pour les Cesar.
De nombreux courts métrage sélectionnés à Cannes cette année racontent un départ ou une fuite, une trajectoire nécessaire vers l’étranger, une transition horizontale vers un ailleurs indéfini.
Si la jeune cinéaste polonaise Aleksandra Terpińska ne mâche pas ses mots, il semblerait qu’elle croque la réalité à pleines dents. À la manière de ses personnages qui, dans une métropole en guerre, se demandent comment vivre. Ou mourir.
Cette année, à Cannes, de jeunes réalisateurs de courts passent – avec succès – au long et d’autres, déjà bien installés, reviennent à la forme courte. D’autres qui tracent leur sillon dans leur long méritent qu’on revienne brièvement sur leurs très beaux courts. Identification de quelques parcours qui nous intéressent particulièrement.
Comme chaque année, Format Court vous parle de Cannes. Depuis ce mercredi 17 mai 2017, le festival le plus médiatique du monde déroule son traditionnel tapis et accueille des films, des stars, des anonymes, des pros, des curieux, mais aussi des films, bons et moins bons, courts comme longs. Format Court suit le mouvement et vous propose d’en savoir plus au quotidien sur les courts sélectionnés.
Dans un bar, un speed-dating. Naissance d’un amour improbable et miraculeux dans des circonstances peu propices…
À l’occasion de l’ouverture du 70ème Festival de Cannes ce mercredi 17 mai 2017, voici les photos prises par Stenny Sigere lors de notre deuxième After Short de l’année consacré au Festival, organisé jeudi 11 mai au Point Ephèmère (Paris, 10ème) en partenariat avec le SPI – Syndicat des Producteurs Indépendants.
Pour info/rappel, le réalisateur, scénariste et producteur Cristian Mungiu présidera le Jury de la Cinéfondation et des Courts Métrages de la 70e édition du Festival de Cannes (17-28 mai). Voici désormais la composition du jury dans son entièreté.
Madara Dišlere, cinéaste lettone, a été primée lors du dernier festival de Brest en novembre 2016 pour son film « Dārznieks ». Le jury de Format Court y avait repéré la finesse d’une cinéaste touchée par le passage du temps, donnant à voir la relation intime qu’entretient un vieux jardinier avec la nature. Dans ses précédents courts-métrages, Madara Dislere dressait déjà le portrait de personnages agissant sous l’influence de leur environnement, souvent hostile.
Filip, qui vit dans un quartier pauvre, rêve de devenir un écrivain célèbre et de mener une existence luxueuse dans un quartier huppé. Un jour quelqu’un frappe à la porte…