Clermont-Ferrand, la sélection internationale
Cette année, pas moins de 5118 titres ont été inscrits à Clermont-Ferrand, dans l’espoir de figurer dans la compétition internationale. 76 d’entre eux ont été retenus. Les voici…
Cette année, pas moins de 5118 titres ont été inscrits à Clermont-Ferrand, dans l’espoir de figurer dans la compétition internationale. 76 d’entre eux ont été retenus. Les voici…
Difficile de se rendre au Festival de Poitiers, cette année, pour voir des films d’étudiants ? Réjouissez-vous, la Cinémathèque française projettera, le lundi 14 décembre, la reprise du Palmarès, un jour après la clôture des Rencontres Henri Langlois.
La première rencontre remonte à mai, les pieds dans le sable, à proximité de l’Espace Miramar, le fief de la Semaine de la Critique. La dernière date de décembre, en baskets, sous la pluie, devant le Balzac, après la projection des films sélectionnés aux César. En faisant connaissance à la Fémis, Claire Burger, la monteuse, et Marie Amachoukeli, la scénariste, se sont trouvées « meilleures à deux que seules ».
Primé dans de nombreux festivals, dont ceux de Clermont-Ferrand et de Cannes, « Forbach » est le film de fin d’études de la réalisatrice lorraine, Claire Burger, monteuse diplômée de la Fémis. Délicatement équilibré entre documentaire et fiction, le film s’inspire librement de l’histoire de Samuel Theis, l’acteur principal et ami d’enfance de la réalisatrice, et se construit autour de son retour dans sa ville natale et sa famille.
Le Festival International de Courts Métrages d’Aix-en-Provence et du Pays d’Aix est fini. En un clic, découvrez le verdict du Jury composé de Chicca Bergonzi, Laurent Trémeau, Yves de Bujadoux, Eric Cartier, et Laurent Lafran…
Depuis dix ans, la série Prends ça court! est à l’avant-garde de la diffusion du court métrage au Québec. Véritable référence, PCC! est l’événement de courts métrages le plus populaire au Canada et contribue à la promotion, distribution, diffusion et à la production de court métrage indépendant et professionnel, en plus de permettre le rayonnement international des artistes et artisans du court métrage québécois. Le 10 décembre, Prends ça court! fêtera ses 10 ans, dans le cadre du festival Cinéma du Québec à Paris.
En collaboration avec Format Court et l’Actor’s Studio, l’asbl Artatouille vous convie à sa deuxième projection de courts métrages sur grand écran, le 16 décembre. Le temps d’une soirée, cinq films & cinq regards s’articuleront autour de la thématique de l’animal social. Voici le programme en images.
Les 55 films français sélectionnés au 32ème Festival de Clermont-Ferrand (29/1-6/2) ne sont plus tenus secrets. Et un, et deux, et un, deux, trois…
En collaboration avec Format Court et l’Actor’s Studio, l’asbl Artatouille vous convie à sa deuxième projection de courts métrages sur grand écran, le 16 décembre prochain. Le temps d’une soirée, cinq films, cinq regards s’articuleront autour de la thématique de l’animal social.
Autant vous l’annoncer tout de suite : le technicien d’octobre n’a jamais été retrouvé. Incertain quant à son retour, Format Court a choisi d’éteindre momentanément la télévision et de dépoussiérer les touches de son clavier. Oui, mais dans quel but ?
Journée portes-ouvertes au club des femmes expatriées. Welcome to America. Autour de la mayonnaise et des petits fours, Hélène s’agite, furète, s’essaie à la conversation. Et Michael qui s’en va…
Réal. : Julien Monfajon
Fiction, 15′, 2009
Belgique
Après avoir co-réalisé « Suzanne » et avant de s’éloigner de l’IAD, Julien Monfajon a tourné « Goodbye Gift », un film plus basé sur le ressenti que la narration classique. Un an après « Suzanne », il retrouve sa comédienne, Lara Persain, précédemment mutine derrière une pomme rouge, dorénavant intimidée dans une cuisine américaine. Un samedi, avant de se rendre à Paris, il s’arrête devant une caméra, à Bruxelles.
La liste des films nominés aux Lutins 2010 est connue. Issus du vote d’un premier électorat composé de 25 spécialistes du court, ces 29 films concourront pour les 15 prix remis lors de la prochaine Nuit des Lutins, en juin 2010. Une participation au vote du second électorat sera prochainement offerte au public, moyennant une adhésion aux Lutins 2010. L’info, bientôt sur le site…
Un homme est attiré par la tentation d’être uni avec son obsession. Confronté à l’objet de son désir, pourrait-il se contrôler? Un conte de la lutte interne entre l’amour et le désir.
Réal. : Demian Albers
Animation, 5′, 2009
Belgique
Diplômé depuis peu du département animation à la Kask (Gand), le Hollandais Demian Albers est l’auteur de « Pygmalion », un court explorant la relation complexe qui lie artiste et oeuvre. Face à la caméra, il raconte son parcours dans le monde de l’animation, ses études, ses inspirations, ses projets et son intérêt obsédant pour le thème de l’obsession. Entretien (progressivement) ensoleillé.
Très prochainement, le cinéma le Balzac, qui accueille le Goût du court, projettera l’intégralité des courts métrages sélectionnés pour les César 2010. Cela se passe les samedis 5 et 12 décembre, en matinée. Soyez (r)éveillés.
Après avoir vu bon nombre de K7 vidéo, Jérôme Guiot s’est orienté vers la sociologie avant d’opter définitivement pour le cinéma. Pendant ses études en montage à l’INRACI, il co-écrit un scénario, celui de « Retour simple » qu’il pense monter, mais qu’il finit par réaliser. Tourné avec peu de moyens, son film traite d’éloignement, de différences, d’amour et de non-dits.
Marie, 24 ans, rentre en Belgique après un long voyage pour assister aux funérailles de son père.
Réal. : Jérôme Guiot
Fiction, 20′, 2009
Belgique
Les 32èmes Rencontres Henri Langlois démarrent bientôt. Du 4 au 12 décembre, le jeune cinéma international sera mis en valeur à Poitiers. Parmi 1284 films reçus, le Festival n’en a retenu que 40 pour figurer dans sa compétition. Pour les départager : un Jury composé de Nassim Amaouche, Laurence Briaud, Claire Burger, Sébastien de Fonseca, et Frédérique Moreau.
Au centre du film de fin d’études de Simon Van Rompay, se trouve Geppino Cerqua, un personnage sensible et tendre. Le jeune réalisateur, fraîchement sorti du Rits, dresse dans son documentaire, un portrait doux-amer de celui qui fut l’un des protagonistes du très beau film de Paul Meyer « Déjà s’envole la fleur maigre ». Loin d’être une peinture sociale dénonciatrice et engagée, « Geppino chante » retentit au contraire comme une mélodie romantique à travers les terrils disparus d’un Borinage à réinventer.