Vincent Macaigne : « Ce que j’écris, ce ne sont pas des rôles, mais plutôt ce que j’ai envie de dire. J’ai une sorte de parole qui m’est personnelle »

Vincent Macaigne : « Ce que j’écris, ce ne sont pas des rôles, mais plutôt ce que j’ai envie de dire. J’ai une sorte de parole qui m’est personnelle »

Récemment, le MK2 Beaubourg semblait très attaché au format du moyen-métrage. Exercice de style extrêmement intéressant et surtout loin des exigences commerciales, le moyen-métrage est souvent trop peu visible sur les écrans, petits ou grands ou dans les festivals malheureusement. Ce cinéma permet par conséquent de (re)découvrir le double travail de Vincent Macaigne dans deux moyens-métrages. On le connaissait certes déjà comme comédien, on aura toujours le même plaisir à le voir ou à le revoir dans « Un monde sans femmes » de Guillaume Brac, récemment nominé aux César.

Les Quatre saisons de Cinergie. Rencontre avec Jan Hammenecker le 16 mars 2012

Les Quatre saisons de Cinergie. Rencontre avec Jan Hammenecker le 16 mars 2012

Qu’est-ce un film sans comédiens ? Qu’est-ce un comédien sans personnages ? Au-delà des incarnations proposées, comment se traduit son charisme ? Où va-t-il puiser son essence pour habiller le costume qu’on lui prête? Jan Hammenecker, comédien flamand, découvert au public francophone avec « Max et Bobo », un film de Frédéric Fonteyne, et qui ne cesse de percer tant dans le cinéma belge que français, se prêtera au jeu des confidences après la projection de courts métrages auxquels il a donné sa présence.

Projection Format Court, ce jeudi au Studio des Ursulines

Projection Format Court, ce jeudi au Studio des Ursulines

Envie de fuir la civilisation, de chercher l’inspiration dans un paquet de bonbons, d’occuper votre ancien lieu de travail, de vous mettre au nudisme ou de vous munir de votre plus belle cape de magicien ? Retrouvez-nous demain à l’occasion de la soirée Format Court, en présence des équipes de films. Merci de confirmer votre présence à : info@formatcourt.com

The Dead Father de Guy Maddin

The Dead Father de Guy Maddin

Réalisé en 1986, « The Dead Father » est le premier film de Guy Maddin. Après un énigmatique prologue, le réalisateur de « The Saddest Music in the World » nous plonge dans l’intimité d’une famille qui cohabite avec le corps sans vie de leur père. Chacun paraît s’accommoder de cette présence familière ; sauf le fils aîné, témoin privilégié des retours périodiques à la vie du patriarche mort-vivant.

César & court

César & court

Vendredi soir, devant les César, vous étiez peut-être hésitants entre « The Artist », « Polisse » et « Intouchables ». Et pour le court, pronostics à la main, vous penchiez peut-être pour l’un ou l’autre nommé (« L’Accordeur », « La France qui se lève tôt », « J’aurais pu être une pute », « Je pourrais être votre grand-mère », « Un monde sans femmes »). On ne vous apprendra donc pas que les bides et que les décolletés se sont succédés, que Jean Dujardin s’est fait doubler par Omar Sy, que Maïween a pleuré comme une baleine, qu’Alice Taglioni a fait sa maligne en citant Nietzsche, que Michel Blanc s’est montré très classe face à Mathilde Seigner, et que « L’Accordeur » a glané le César, suite à de nouveaux jeux de mots bien limités sur le mot « court ».

Wild Life de Amanda Forbis et Wendy Tilby

Wild Life de Amanda Forbis et Wendy Tilby

Après le très remarqué « When the days breaks », court métrage multiprimé, nous retrouvons avec plaisir le dernier film d’Amanda Forbis et de Wendy Tilby, « Wild Life », nominé aux Oscars et sélectionné en compétition internationale à Anima cette année. Les deux réalisatrices qui nous amènent à suivre la trajectoire d’un jeune immigré anglais, parti découvrir les vastes prairies d’Alberta, au Canada en 1909. Mais son amour du badminton, du thé et son flegme naturel perdront ce gentleman.

M comme My Mother’s Coat

M comme My Mother’s Coat

Réalisatrice Marie-Margaux Tsakiri-Scanatovits livre un Documentaire sur sa mère italienne, ses expériences d’immigrée en Grèce dans les années 70 post-dicature et sa nostalgie sur sa petite ville natale.
Réal. : Marie-Margaux Tsakiri-Scanatovits
Animation/Documentaire, 6’06 », 2010
Royaume Uni, Grece

Ámár de Isabel Herguera

Ámár de Isabel Herguera

« Ámár » est la dernière animation de Isabel Herguera, présente au Festival Anima en tant que membre du jury international. Son film est comme un carnet de voyage que l’on retrouve avec émotion, après des années, un petit livre composé de fragments de visages, de noms de personnes et de lieux, d’impressions sur une ville, sur un pays, de sentiments confus pour un amour perdu puis retrouvé.