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Lkhagvadulam Purev-Ochir : « Les acteurs avec qui je travaille sont ceux qui ne peuvent pas cacher ce qu’ils ressentent »

Lkhagvadulam Purev-Ochir : « Les acteurs avec qui je travaille sont ceux qui ne peuvent pas cacher ce qu’ils ressentent »

Trois mois avant la sortie française de son long-métrage Un jeune chaman (City of Wind) dévoilé en septembre dernier à la Biennale de Venise (et récompensé du Prix d’interprétation masculine pour l’acteur Tergel Bold-Erdene), la réalisatrice mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir revient pour Format Court sur son parcours et son court-métrage Snow in September, actuellement en compétition pour les César 2024 après une très belle carrière en festivals (Prix du meilleur court à Venise, Toronto, Palm Springs, Format Court, …).

S comme Snow in September

S comme Snow in September

Davka est un adolescent qui vit dans les immeubles soviétiques délabrés de Oulan-Bator. Avec sa camarade de classe, Anuka, ils parlent de mangas et de sexe. Quand Davka rencontre une femme plus âgée, sa vision des rapports intimes et des relations amoureuses est forcée de changer.
Réal. : Lkhagvadulam Purev-Ochir
Fiction, 29′, 2022
Mongolie, France

Snow in September de Lkhagvadulam Purev-Ochir

Snow in September de Lkhagvadulam Purev-Ochir

Prix du meilleur court-métrage Orizzonti à la Mostra de Venise 2022 et présent dans la sélection officielle des 24 courts-métrages en lice pour les César 2024, Snow in September est un court-métrage de 19 minutes, une coproduction France-Mongolie réalisée par la cinéaste mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir. En 2020, la scénariste-réalisatrice s’était déjà faite remarquer avec Shiluus (Mountain Cat), en compétition courts-métrages au festival de Cannes, qui explorait les thèmes de la quête d’identité et de la spiritualité à travers le personnage d’une jeune fille forcée de voir un chaman pour guérir des esprits qui la hantaient.