W comme The Winter Boy

W comme The Winter Boy

Une mère tente de réconforter son fils, mais il se renferme de plus en plus dans le silence à chacune de ses tentatives. Leur relation troublée devient encore plus tendue lors d’une visite à un aquarium voisin. Jusqu’au moment où le fils découvre une raison de s’ouvrir à nouveau à sa mère.
Réal. : Rachel House
Fiction, 8′, 2010
Nouvelle-Zélande

Focus Femmes/Créteil 2011

Focus Femmes/Créteil 2011

Créé en 1979, le Festival International de Films de Femmes de Créteil accueille des réalisatrices du monde entier, avec près de 150 films qui défendent avec talent le regard des femmes sur leur société. Sa 33ème édition a commencé le 25 mars et se poursuit jusqu’au 3 avril avec 27 courts en compétition. Ces points de vue de femmes, ces films sensibles, engagés et humanistes nous intéressent. Focus.

Festival Courtisane : Bienvenue aux formats visuels alternatifs

Festival Courtisane : Bienvenue aux formats visuels alternatifs

Le Festival Courtisane fête ses 10 ans! Une raison d’être fier mais pas une excuse pour se reposer sur ses lauriers. Courtisane a le regard rivé vers le futur tout en ayant les pieds bien ancrés dans le présent. La recherche de formats cinématographiques originaux et alternatifs ainsi que l’expérience apportent une fois encore leur lot de belles surprises à cette 10ème édition qui se déroule à Gand du 30 mars au 3 avril 2011.

Short Screens #5: Films d’écoles belges

Short Screens #5: Films d’écoles belges

Jeudi 31 mars. Cinquième édition de Short Screens, projections mensuelles de courts métrages en salle de cinéma, avec une séance consacrée aux films d’écoles belges réalisés en 2010, avec les contributions du KASK, de La Cambre, du Rits, de l’INRACI, de NARAFI, de l’IAD, et de l’INSAS.

Participez au Concours Génération Kubrick

Participez au Concours Génération Kubrick

A l’occasion de l’exposition Kubrick (mars-juillet 2011), la Cinémathèque française organise un grand concours avec DailyMotion, et propose aux internautes de réaliser un court-métrage de moins de 5 minutes autour de Stanley Kubrick et de son œuvre. Fiction, animation, expérimental, 3D, exercices typographiques… tous les formats sont les bienvenus, l’essentiel étant de ne pas recycler d’images tirées des films de Kubrick.

R comme Ring of Fire

R comme Ring of Fire

Deux cow-boys passent leurs journées à l’ombre d’un rocher, mais, à la nuit tombée, ils rejoignent une contrée qui recèle leurs fantasmes érotiques. Ils s’y enfoncent toujours un peu plus loin, à la rencontre d’êtres dangereux et ensorcelants.
Réal. : Andreas Hykade
Animation, 15′, 2000
Allemagne

Andreas Hykade : « Animer, faire bouger les dessins, voir une chose en devenir une autre, est le moment le plus épanouissant pour moi »

Andreas Hykade : « Animer, faire bouger les dessins, voir une chose en devenir une autre, est le moment le plus épanouissant pour moi »

Simplicité complexe. Poésie psychédélique. Abstraction torturée. Musicalité pour enfants comme pour adultes. Noir, blanc et autres couleurs. Le travail d’Andreas Hykade, récompensé du Grand Prix à Anima pour “Love & Theft”, ne manque pas de combinaisons multiples. Entretien en fin de séance et en ouverture d’un nouveau chapitre.

Gil Alkabetz : « I feel every film I make is the first and the last one. I never believe I can make another. »

Gil Alkabetz : « I feel every film I make is the first and the last one. I never believe I can make another. »

Filmmaker of some renown, Gil Alkabetz has wowed the animation world on several occasions, notably with his riotously hilarious « Rubikon », winner of the Funniest Film Award at Annecy, and more recently with « Der Da Vinci Timecode », an incomparable experience that redefines the perception of classical art by subjecting it to the specificity of film language.

Gil Alkabetz : « C’est comme si chaque film que je faisais était le premier et le dernier. Je ne crois jamais que je pourrai en faire un autre. »

Gil Alkabetz : « C’est comme si chaque film que je faisais était le premier et le dernier. Je ne crois jamais que je pourrai en faire un autre. »

Le cinéaste Gil Alkabetz a impressionné le monde de l’animation à plusieurs reprises, entre autres avec « Rubicon », court hilare qui remporta le prix du film le plus drôle à Annecy, et « Der Da Vinci Timecode », expérience unique qui redéfinit la lecture d’une œuvre d’art classique en le soumettant aux spécificités du langage cinématographique. Membre du jury international lors du dernier Festival Anima à Bruxelles, l’animateur nous a consacré un moment pour aborder l’univers de l’animation en constante évolution et le fait que certains n’apprennent jamais de leurs expériences.

Anita Killi : « Le plus important pour moi, c’est de faire des films que les enfants puissent regarder en se posant des questions »

Anita Killi : « Le plus important pour moi, c’est de faire des films que les enfants puissent regarder en se posant des questions »

Auréolée en 2010 à Clermont-Ferrand et à Annecy notamment, pour son court métrage « Sinna Mann », la réalisatrice norvégienne Anita Killi, fidèle aux méthodes traditionnelles de l’animation, aime opposer dans ses films une forme simple et naïve à des sujets forts, tels que la guerre ou la violence domestique dans le but de susciter le débat.