Fiches techniques

M comme Mon amoureux

M comme Mon amoureux

Romain, c’est mon amoureux. On s’embrasse avec la langue. On va se marier, on va vivre ensemble et on va avoir des enfants. On va même avoir des rapports sexuels. Mais bon, aux Eglantines c’est interdit. Entre résidents, on peut pas. Alors samedi, ma petite sœur elle va venir nous chercher avec sa voiture, et elle va nous emmener en week-end à la campagne. En amoureux.
Réal. : Daniel Metge
Fiction, 22’40 », 2011
France

B comme Boro in the Box

B comme Boro in the Box

De sa conception épique à sa mort cinématographique, le portrait fantasmé et fictif du cinéaste Walerian Borowczyk (dit Boro). Boro-in-the-Box découvre un monde cruel et obscène, de la Pologne à Paris, au cœur d’un abécédaire fantasmagorique.
Réal. : Bertrand Mandico
Fiction, 41′, 2011
France

P comme Pucha vida

P comme Pucha vida

Pucha est une révolutionnaire exemplaire ; elle mène une vie heureuse, dans un décor qu’elle a elle-même aménagé, et chaque chose qu’elle possède a sa place dans l’univers qui est le sien. Néanmoins, il y a conflit entre ses idéaux et la réalité. Sa petite-fille adorée est partie vivre dans le pays de l’ennemi et a changé de nationalité.
Réal. : Nazly López Díaz
Documentaire, 12′, 2007
Cuba

S comme Le Songe de Poliphile

S comme Le Songe de Poliphile

Comme une enquête inspirée par cette proposition de Karl Jung: l’Inde est «un pays comme celui des rêves»; énoncée également par le psychanalyste indien Sudhir Kakar: «L’Inde est l’inconscient de l’Occident». Le film tresse la relation entre des séquences d’activités humaines (un pèlerinage, la fabrication d’un anxiolytique, l’extraction du venin des serpents), toutes liées à des stratégies de défense de l’homme contre la peur.
Réal. : Camille Henrot
Expérimental, 10′, 2011
France

O comme Oh Willy…

O comme Oh Willy…

À la mort de sa mère, Willy retourne dans la communauté de naturistes au sein de laquelle il a grandi. Rendu mélancolique par ses souvenirs, il décide de fuir dans la nature où il trouve la protection d’une grosse bête velue.
Réal. : Emma de Swaef et Marc Roels
Animation, 16’52 », 2011
Belgique, France, Pays-Bas

W comme We’ll become oil

W comme We’ll become oil

Des étendues désertiques portent les stigmates d’un méta-conflit, au delà des controverses politiques ou idéologiques visibles. Un état de crise continue et inexplicable envahit l’espace, transformant des paysages minéraux en scènes de guerre. L’histoire du pétrole prend le dessus sur l’Histoire.
Réal. : Mihai Grecu
Animation, Expérimental, 8′, 2011
Roumanie

C comme Ce qu’il restera de nous

C comme Ce qu’il restera de nous

Une histoire tragique, celle de deux frères qui font face à la mort de leur père. L’un a été aimé et l’autre injustement délaissé par le père qui ne lui laisse rien. Le favori, celui qui en a le moins besoin et qui est le plus désintéressé par l’argent, hérite de tout.
Réal. : Vincent Macaigne
Fiction, 40′, 2011
France

N comme Noise

N comme Noise

Un travail audiovisuel où le son tient le rôle principal. Les bruits qui s’immiscent dans l’appartement du protagoniste font l’objet de son interprétation, générant des images aléatoires qui entrent en interaction. Privés de leur corrélation visuelle, les sons évoquent des images qui sont souvent à cent lieues de leur source réelle.
Réal. : Przemyslaw Adamski
Animation, 7′, 2011
Pologne

N comme Natpwe, le festin des esprits

N comme Natpwe, le festin des esprits

Taugbyon, minuscule village du centre de la Birmanie. Lieu de pèlerinage annuel pour des dizaines de milliers de croyants. Pendant cinq jours, fidèles et médiums célèbrent le culte des nats, les esprits du panthéon birman. Cinq jours d’offrandes, de cérémonies, de rituels de possession. Cinq jours de liberté, dans une société verrouillée à l’extrême.
Réal. : Tiane Doan na Champassak et Jean Dubrel
Documentaire, 30′, 2011
France

T comme Le temps de quelques jours

T comme Le temps de quelques jours

Ce film est l’une des rares expériences d’une rencontre avec des moniales cloîtrées, dans l’abbaye de Bonneval, dans l’Aveyron. Il se présente sous la forme d’une déambulation contemplative. Le film esquisse quelques portraits de femmes et interroge le spectateur sur son rapport aux autres, à la nature et au temps.
Réal. : Nicolas Gayraud
Documentaire, 62′, 2011
France

A comme l’amour à trois têtes

A comme l’amour à trois têtes

Une exploration des relations amoureuses entre hommes et femmes au travers de trois générations de figures féminines de la même famille: la grand-mère, la mère et la petite-fille – la réalisatrice du film. Ninette, Sylviane et Elsa: trois époques, trois visions, trois expériences qui s’affrontent et se confrontent. Derrière ces histoires d’amour, se dessine un questionnement autour de la transmission intergénérationnelle, de l’image féminine et du rapport mère-fille.
Réal. : Elsa Levy
Documentaire, 26′, 2011
Suisse