Archives par mot-clé : Festival de Brest

Johanna Caraire : « L’amitié transcende les humains »

Johanna Caraire : « L’amitié transcende les humains »

À l’occasion de la 37ème édition du Festival de Brest, Johanna Caraire, réalisatrice de Sardine, lauréat du Prix de la jeunesse, est revenue sur son parcours, ses débuts en réalisation et sur la conception de son premier court métrage. Le film raconte l’histoire de Eve, jeune trentenaire qui se rend sur l’ile-caillou de Lanzarote alors que s’y déroule un festival local : l’Enterrement de la Sardine.

Max Lesage : « Le plateau de cinéma est un endroit où tout peut arriver »

Max Lesage : « Le plateau de cinéma est un endroit où tout peut arriver »

Lors de la 37ème édition du Festival de Brest, le jeune réalisateur Max Lesage a remporté le prix Bref Cinéma de la meilleure réalisation dans la catégorie « Compétition Bretagne ». À cette occasion, le lauréat s’est exprimé sur son parcours, son approche d’écriture et plus particulièrement sur son troisième court-métrage Titou pour lequel il a été primé. L’histoire tourne autour de Titou, un jeune homme plein d’ambitions qui souhaite réaliser des clips de rap. Il embarque son ami rappeur avec lui pour aller dans la maison de sa grand-mère, récemment décédée, afin de créer un morceau et d’en tourner le clip. À leur arrivée, les deux jeunes hommes découvrent que l’aide soignante de la défunte squatte la maison, une rencontre qui signe le début d’une suite de mésaventures qui vont perturber le tournage et mettre à l’épreuve le jeune réalisateur.

Retour sur le Festival de Brest 2022

Retour sur le Festival de Brest 2022

En novembre dernier, a eu lieu la 37ème édition du festival du court-métrage de Brest. Originellement créé en 1987 par Olivier Bourbeillon et soutenu par l’association Côte Ouest, ce festival permet aux professionnels, aux scolaires et au grand public de découvrir des courts-métrages français et européens, avec une mention spéciale pour la région Bretagne.

Madara Dišlere : « Après la chute de l’Union soviétique, il n’y avait pas d’écoles de cinéma. Ceux qui voulaient étudier le cinéma devaient aller à Moscou »

Madara Dišlere : « Après la chute de l’Union soviétique, il n’y avait pas d’écoles de cinéma. Ceux qui voulaient étudier le cinéma devaient aller à Moscou »

Après le festival du court métrage européen de Brest où le jury Format Court a remis un prix à Madara Dišlere en novembre dernier pour son film « The Gardener », nous avons rencontré cette réalisatrice lettone nourrie au cinéma dès son plus jeune âge. Alors que Madara est actuellement en préparation de son premier long-métrage, « Paradise 89 », cet interview propose un retour sur cette nouvelle expérience et sur les perspectives de diffusion et de carrière cinématographique en Lettonie.

Madara Dišlere, Prix Format Court à Brest 2016

Madara Dišlere, Prix Format Court à Brest 2016

Madara Dišlere, cinéaste lettone, a été primée lors du dernier festival de Brest en novembre 2016 pour son film « Dārznieks ». Le jury de Format Court y avait repéré la finesse d’une cinéaste touchée par le passage du temps, donnant à voir la relation intime qu’entretient un vieux jardinier avec la nature. Dans ses précédents courts-métrages, Madara Dislere dressait déjà le portrait de personnages agissant sous l’influence de leur environnement, souvent hostile.

Madara Dišlere, cinéaste de l’intime

Madara Dišlere, cinéaste de l’intime

Madara Dišlere, jeune réalisatrice lettone, a marqué le jury Format Court lors du dernier festival du film court de Brest (en novembre 2016) avec son court-métrage, « Dārznieks » (Le Jardinier). Dans ce quatrième et dernier court-métrage, elle plonge le spectateur au cœur de la nature lettone, magnifiée à travers les yeux de son personnage principal. Ce qui séduit dans cette histoire, emplie à la fois de tendresse et de dureté, c’est surtout son rapport au temps. À celui, cyclique, des saisons qui reviennent et à celui, linéaire, de la vieillesse qui s’empare des hommes.

Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 8 décembre 2016

Nouvelle Soirée Format Court, jeudi 8 décembre 2016

Format Court a le plaisir de vous inviter le jeudi 8 décembre 2016 à 20h30 à sa dernière soirée de l’année au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Cette projection mettra en avant cinq courts-métrages français et étrangers (Belgique, Royaume-Uni, Suède, Lettonie) sélectionnés et primés en festivals, dont pas moins de trois Prix Format Court récemment attribués par notre équipe.

Kordian Kądziela : « J’adore les films dont les personnages sont tiraillés entre deux mondes – le monde réel et leur univers mental »

Kordian Kądziela : « J’adore les films dont les personnages sont tiraillés entre deux mondes – le monde réel et leur univers mental »

Alors qu’il sort tout juste de l’École de cinéma Krzysztof Kieślowski à Katowice, en Pologne, nous avons pu interviewer cet été Kordian Kądziela, que nous suivons depuis novembre dernier, suite à la découverte de son film d’école « Larp », présenté au dernier Festival du court métrage européen de Brest et primé par Format Court.

Kordian Kądziela. Le vrai du faux

Kordian Kądziela. Le vrai du faux

Kordian Kądziela, le réalisateur-scénariste, primé par Format Court avec son « Larp » à la trentième édition du festival du film court de Brest, instille chez le spectateur d’abord, et chez ses personnages ensuite, un doute entre le vrai et le faux. Pour ce faire il a su créer un concept innovant : « la comédie Mockumentaire », il s’agit d’utiliser les caractéristiques propres au documentaire pour raconter des histoires entièrement fictionnelles. Il s’efforce ainsi, de chambouler le régime de croyances qui conditionne notre capacité à recevoir une œuvre cinématographique.