La Ville s’endormait de Thibault Le Goff et Owen Morandeau

« Ma belle, je te croyais déjà morte. Je te l’aurais payé moi, ton calva. Je t’offrirai tous les calvas du monde. Je distillerai mon propre calva, et il portera ton nom, ma belle… »
« Ma belle, je te croyais déjà morte. Je te l’aurais payé moi, ton calva. Je t’offrirai tous les calvas du monde. Je distillerai mon propre calva, et il portera ton nom, ma belle… »
Aux Etats-Unis, Aadid travaille de nuit dans une laverie. Suite aux événements du 11 septembre, le nettoyage des drapeaux américains est gratuit. Aadid est amoureux de sa collègue Adela, qu’il considère, en fin connaisseur de Napoléon qu’il est, comme « sa Joséphine ».
Dans un bar, un speed-dating. Naissance d’un amour improbable et miraculeux dans des circonstances peu propices…
Filip, qui vit dans un quartier pauvre, rêve de devenir un écrivain célèbre et de mener une existence luxueuse dans un quartier huppé. Un jour quelqu’un frappe à la porte…
Des Vendéennes. Des voix au ciel, des nuages dans la bouche.
Dans sa chaise roulante, déguisé en tank, Lasse est impatient d’aller à la soirée du nouvel an organisée par la fille qu’il convoite. Le grand frère de Lasse, Simon, est là pour l’aider en tant qu’assistant personne handicapé. Quand Lasse a l’opportunité de se retrouver seul avec cette fille, un malaise s’installe entre les deux frères.
La salle d’attente d’un établissement médical, crépusculaire, inquiétante, aux pas et aux paroles feutrés, aux chuchotements indistincts : des lignes noires verticales barrent la lumière, une musique planante esquisse un sentiment d’irréalité.
Une quête pour le développement spirituel mène à la romance et au désespoir.
Dans ce documentaire expérimental, nous observons, à travers des scènes du quotidien, les dégénérescences d’une société où la technologie grandissante à permis de réaliser le rêve ultime de tous les hommes : L’immortalité.
Un écrivain en panne d’inspiration essaie d’écrire un poème. L’énergie négative qu’il dégage se matérialise en corbeaux noirs, que seule sa fille Millie semble être capable de voir.
Après vous avoir proposé comme film de la semaine « The Mad Half Hour » du réalisateur argentin Leonardo Brzezicki, sélectionné il y a deux ans à la Berlinale et lauréat de notre Prix Format Court au Festival IndieLisboa, nous avons demandé à Maike Mia Höhne, la responsable des courts de la Berlinale de nous soumettre son film de la semaine. Le voici.
Il y a deux ans, notre tout premier Prix Format Court remis au Festival IndieLisboa au sein de la section « Silvestre », regroupant des films à part et inattendus réalisés par de jeunes auteurs comme des cinéastes établis, distinguait « The Mad Half Hour » du réalisateur argentin Leonardo Brzezicki.
Avec la capacité de voyager dans le temps, une fille seule trouve l’amour et le confort en se connectant avec son moi passé. Finalement confrontée au rejet, elle lutte avec son identité et son sexe, et comme le temps se replie sur lui-même, seul l’un des deux peut rester.
Sonámbulo est un voyage surréaliste à travers les formes et les couleurs, inspiré du poème « Romance Somnambule » de Federico García Lorca; une poésie visuelle qui se déploie au rythme d’étranges rêves et de nuits passionnantes.
À la recherche de leurs limites physiologiques, les apnéistes imposent à leur corps un régime différent de l’exercice habituel et régulier de leurs poumons. Il y a les corps et cette retenue qu’ils choisissent, acceptent et expérimentent.
Utilisant sa vie privée comme source de son art, dans ce court métrage, Emin raconte les années de son adolescence en bord de mer où elle a grandi.
Le film dépeint une relation étroite entre deux frères vivant avec leurs parents dans un fjord reculé. Nous pénétrons dans leur monde à travers le regard du plus jeune frère et nous l’accompagnons dans un voyage qui marquera un tournant dans leur vie.
Un père, sa sœur et son fils, en voyage, s’arrêtent au bord de la route pour une histoire d’épluchure.
Le couple de cinéastes Jonathan Vinel et Caroline Poggi nous donne de ses nouvelles au travers d’un clip réalisé pour le groupe Grand Blanc.
Hugo, six ans, rencontre pour la première fois le nouveau compagnon de sa mère… qui s’avère être un drôle d’oiseau.