Un Transport en commun de Dyana Gaye

Un Transport en commun de Dyana Gaye

Déjà en compétition pour le César du Meilleur Court Métrage en 2008 avec « Deweneti », Dyana Gaye retente cette année de décrocher le prestigieux prix avec sa dernière réalisation : « Un Transport en Commun ». Le film avait déjà rencontré le succès en 2010 lors de sa sortie en salle, de même que dans les nombreux festivals qui l’ont accueilli à travers le monde.

Love & Theft d’Andreas Hykade

Love & Theft d’Andreas Hykade

« Love & Theft » d’Andreas Hykade, film allemand en compétition Labo à Clermont, témoigne de l’actuelle inventivité de la patrie de Goethe dans le domaine de l’animation. Constituée d’un morphing animé de célèbres figures de cartoons, de formes extravagantes et de symboles issus autant de l’inconscient collectif que de l’histoire de l’art, cette œuvre est visuellement scotchante. Ses dessins, animés ensemble, créent un univers inédit, totalement psychédélique et monstrueux.

Itt Vagyok (Here I am) de Bàlint Szilmer

Itt Vagyok (Here I am) de Bàlint Szilmer

Bàlint Szilmer a réalisé « Itt Vagyok » lors de sa troisième année d’étude à l’Université d’Art du Spectacle de Budapest. Le film raconte l’errance de Viktor (Viktor Vida) dans la capitale : ses rencontres, ses sorties, ses visites… En voyant la qualité tant esthétique que scénaristique de ce troisième court-métrage, on ne peut qu’être impatient de voir aboutir le nouveau film que le réalisateur a en projet : son premier long-métrage. En effet, déjà avec « Itt Vagyok », le jeune réalisateur prouve qu’il est capable de bien s’entourer.

La Petite Sirène d’Adrien Beau

La Petite Sirène d’Adrien Beau

Ce court-métrage muet semble tombé d’une étagère poussiéreuse de l’un des premiers bureaux de production cinématographique. Tout prête en effet à croire qu’il date d’une période révolue : le noir et blanc, les intertitres, les décors, les costumes… Cet OVNI nous plonge un siècle en arrière et s’il n’était pas de 2010, on jurerait que David Lynch se serait passé la bobine avant de réaliser « Eraserhead ».

Nous trois de Annick Ghijzelings

Nous trois de Annick Ghijzelings

En regardant « Nous trois », on ne peut s’empêcher de penser au cinéma d’avant-garde français des années 1920 ou même au réalisme poétique des années 1930, justement pour ce que ce documentaire a d’expérimental et de poétique. La politique n’est cependant pas l’objet de « Nous trois » mais les sentiments, l’amour, l’attachement, le détachement et, encore, les sentiments.